Le «dispositif de sécurisation» mis en place comprend «80 policiers dont des CRS», a détaillé le ministre. Le reste étant assuré par des membres du service régional de la police des transports. Ces effectifs sont en action depuis 3 heures du matin sur les lignes de bus concernées par les agressions. «Nous maintiendrons ce dispositif autant que ce sera nécessaire», a ajouté Brice Hortefeux. La veille, il avait déjà affirmé, lors d'un déplacement au commissariat de Villepinte (dont dépend Tremblay) ville de que ce n'était «pas aux petites crapules» de faire la loi dans les cités.
«Je vais mettre le paquet pour trouver les auteurs»
Vendredi, les chauffeurs de TRA ont décidé de reprendre leur travail, après l'avoir cessé pour protester contre l'agression. En revanche, les chauffeurs de l'autre entreprise de transport routier en commun de Villepinte, les «Courriers d'Ile-de-France» exerçaient toujours en milieu de journée leur droit de retrait.
Dans l'après-midi, Nicolas Sarkozy a reçu une heure durant une délégation des chauffeurs de bus des compagnies concernées. Le président s'est déclaré «très choqué» d'avoir vu un bus brûler. «Je m'occupe très sérieusement de ce dossier et je vais mettre le paquet pour retrouver les auteurs» des faits, a-t-il assuré. Le chef de l'Etat demandé au ministre de l'Intérieur d' «intensifier les opérations coups de poing dans les cités sensibles dont aucun espace ne doit échapper à l'autorité de la loi».
Source: lefigaro.fr via Yahoo
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