Lors d'une conférence de presse, Ahmed Brahim, candidat à la présidentielle, a "tiré la sonnette d'alarme" face à des développements qu'il a qualifiés de "graves" et "préoccupants".
Il a élevé une "vive protestation" contre les obstacles mis, selon lui, par les autorités régionales à des activités ordinaires de son parti en le privant d'accès aux espaces publics.
"En une semaine seulement, nous avons été en butte à une obstruction totale ou à un empêchement déguisé pour tenir une université d'été, une conférence intellectuelle et une rencontre estivale de jeunesse", a-t-il notamment déploré.
Tout en affichant sa détermination à "ne pas céder à ces pratiques rétrogrades", il a appelé les autorités à favoriser un climat de libre compétition et d'égalité entre tous les candidats.
"Pour le bien du pays, il est grand temps qu'il soit mis fin à l'esprit du parti unique et au totalitarisme qui ne peuvent conduire qu'à l'impasse", a-t-il martelé.
M. Brahim est le cinquième opposant à postuler à la magistrature suprême face à l'actuel chef de l'Etat, Zine El Abidine Ben Ali.
Candidat du parti au pouvoir, le Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD), qui compte plus de deux millions d'adhérents sur une population de 10 millions d'habitants, M. Ben Ali briguera en octobre prochain un cinquième mandat de cinq ans qu'il est sûr de remporter vu le déséquilibre des forces en présence.
Source: Associated Presse via Yahoo News
Il a élevé une "vive protestation" contre les obstacles mis, selon lui, par les autorités régionales à des activités ordinaires de son parti en le privant d'accès aux espaces publics.
"En une semaine seulement, nous avons été en butte à une obstruction totale ou à un empêchement déguisé pour tenir une université d'été, une conférence intellectuelle et une rencontre estivale de jeunesse", a-t-il notamment déploré.
Tout en affichant sa détermination à "ne pas céder à ces pratiques rétrogrades", il a appelé les autorités à favoriser un climat de libre compétition et d'égalité entre tous les candidats.
"Pour le bien du pays, il est grand temps qu'il soit mis fin à l'esprit du parti unique et au totalitarisme qui ne peuvent conduire qu'à l'impasse", a-t-il martelé.
M. Brahim est le cinquième opposant à postuler à la magistrature suprême face à l'actuel chef de l'Etat, Zine El Abidine Ben Ali.
Candidat du parti au pouvoir, le Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD), qui compte plus de deux millions d'adhérents sur une population de 10 millions d'habitants, M. Ben Ali briguera en octobre prochain un cinquième mandat de cinq ans qu'il est sûr de remporter vu le déséquilibre des forces en présence.
Source: Associated Presse via Yahoo News
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