France: découverte d'un corps

Lille: Découverte du corps d'un jeune homme disparu, enterré dans un jardin
Il avait été signalé à tort à Lille ou ailleurs. Simon Cordier n'était en réalité pas très loin de chez lui. Ce jeune homme d'Hellemmes était porté disparu depuis le 30 décembre. L'énigme vient d'être résolue de manière dramatique par la sûreté urbaine de Lille. Tenant compte des indications d'un témoin, elle a en effet déterré, mardi soir, le corps de Simon Cordier, enfoui dans le jardin d'une petite maison de la rue Gutenberg, à Fives, à deux pas du domicile de la victime. Son corps a pu être formellement identifié grâce aux papiers d'identité retrouvés. Un différend. La police n'avait pas sonné à la porte de cette maison par hasard. «Un proche de Simon avait expliqué qu'ils avaient eu tous deux un différend», explique une source proche de l'enquête. Sur place, les policiers retrouvent des stupéfiants et surtout des vêtements appartenant à Simon Cordier.(20minutes.fr) Pourquoi l'Homme tiens tant à tuer son prochain?

Le procureur Courroye mis en examen
Le procureur de Nanterre, Philippe Courroye, a été mis en examen mardi après-midi dans l'enquête des "fadettes" de journalistes du Monde, indique Le Figaro. Celui-ci "conteste vigoureusement sur la forme et sur le fond" cette mise en examen par la juge parisienne Sylvia Zimmermann, pour "collecte illicite de données à caractère personnel par un moyen frauduleux déloyal et illicite" et pour "violation du secret des correspondances", comme il l'indique dans un communiqué. Début décembre, la Cour de Cassation avait considéré que "l'atteinte portée au secret des sources des journalistes n'était pas justifiée par l'existence d'un impératif prépondérant d'intérêt public et (que) la mesure n'était pas strictement nécessaire et proportionnée au but légitime poursuivi", confirmant l'annulation de la procédure ouverte par le procureur de Nanterre dans l'affaire Bettencourt, afin d'identifier les auteurs de fuites.(lepost.fr) Heureusement que des lois existes pour canaliser les abus de pouvoirs des puissants d'un pays.

Quand la dangerosité devient le grand critère de la justice pénale
Nul ne sait si, dans les semaines qui précéderont l’élection présidentielle de mai 2012, un crime particulièrement horrible surviendra ou non. En revanche, il nous semble utile de formuler dès maintenant des recommandations sur les questions qui se posent sur le fonctionnement de la justice pénale et les attentes de nos concitoyens à ce sujet car les prises de positions des responsables politiques, mandatés ou non par les candidats à l’élection présidentielle pour s’exprimer sur les questions pénales, ont en effet pris jusqu’à présent un tour réellement préoccupant, quel que soit le bord d’où elles venaient.(liberation.fr)La justice pénale devrait être assimilée à une thérapie pour les crimes grave.

Source: Yahoo actualités