Les photos de fiançailles du prince William ont été retouchées
Les deux photos officielles de fiançailles du prince William et de Kate Middleton ont subi des retouches "minimales" avant d'être publiées, ont reconnu mardi les services du prince. L'apparence du couple n'a pas été modifiée, mais la lumière et le contraste ont été modifiés car les deux clichés sont "des oeuvres d'art" comme les portraits peints qui représentaient jadis les souverains, explique le palais. Les deux photos ont été réalisées par le photographe de mode péruvien Mario Testino au palais de St. James le 25 novembre, peu après l'annonce des fiançailles du couple. (AP)
Critique sur l'aide aux propriétaires américains endettés
Le département américain du Trésor n'a pas su gérer efficacement un programme destiné à venir en aide aux propriétaires de logements en difficulté, dénonce une commission parlementaire dans un rapport très critique diffusé mardi. Selon le Comité de contrôle du Congrès, la mauvaise gestion de ce programme baptisé HAMP va aboutir à l'inverse de ce qui était recherché, et les propriétaires qui seront en mesure de renégocier en leur faveur leurs prêts immobiliers avec leurs banques seront bien moins nombreux qu'on ne le pensait. Conséquence, les saisies immobilières réalisées par les banques seront plus nombreuses. "Si les tendances actuelles se poursuivent, seules 700.000 à 800.000 saisies seront évitées grâce au HAMP, bien moins que les trois à quatre millions de saisies que le Trésor voulait initialement empêcher, et énormément moins que les huit à 13 millions de saisies attendues d'ici 2012", peut-on lire dans ce rapport. Le HAMP, ou Home Affordable Modification Program, un programme d'aide aux propriétaires en difficultés, a été créé dans le cadre du plan de sauvetage de 700 milliards de dollars mis en place pour faire face à la crise financière de 2007-2009. (Reuters)
Le gouvernement Gbagbo met la communauté internationale en garde
La communauté internationale ne doit pas agiter le chiffon rouge des sanctions contre la Côte d'Ivoire pour essayer d'installer Alassane Ouattara au pouvoir, déclare le ministre des Affaires étrangères de Laurent Gbagbo. Dans une déclaration transmise mardi à Reuters à Paris, Alcide Djédjé dénonce "l'instrumentalisation" du Conseil de sécurité de l'ONU et de l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) "à des fins partisanes" selon lui. L'Union européenne a décidé lundi d'imposer des sanctions ciblées contre le président de la Côte d'Ivoire sortant, Laurent Gbagbo, qui conteste à son adversaire Alassane Ouattara la victoire à l'élection présidentielle du 28 novembre. Comme l'UE, les Etats-Unis, l'Union africaine et le Conseil de sécurité des Nations unies ont tous reconnu la victoire d'Alassane Ouattara. Le président américain Barack Obama s'est dit lui aussi prêt à prendre des sanctions. Laurent Gbagbo, qui s'est maintenu au pouvoir cinq ans après le terme de son mandat à mesure que le scrutin présidentiel était repoussé, rejette les pressions exercées sur lui en les qualifiant d'ingérences étrangères. "La France, les États-Unis, l'ONU et l'Union Européenne ne doivent pas agiter le chiffon rouge des sanctions contre le président de la République de Côte d'Ivoire Laurent Gbagbo", dit Alcide Djédjé. Il répète que Laurent Gbagbo "est la victime d'un complot international ourdi par un candidat malheureux soutenu diplomatiquement, financièrement et militairement par ses parrains occidentaux". (Reuters)
Medvedev confirme la construction d'une autoroute contestée
Le président russe Dmitri Medvedev a confirmé mardi la construction d'une autoroute à travers une forêt proche de Moscou dont les écologistes contestent le bien-fondé. Ce projet, à travers la forêt de Khimki, au nord de la capitale, avait soulevé un tel tollé parmi les défenseurs de l'environnement que le chef de l'Etat l'avait suspendu en août dernier. Mais, après avoir examiné toutes les alternatives possibles, le gouvernement "a rendu compte au président de sa décision" en faveur du tracé initial, a déclaré Natalia Timakova, porte-parole de Medvedev. (Reuters)
Julian Assange défie Washington avant une demande de libération
Le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, continue de défier les Etats-Unis en qualifiant d'agents de la diplomatie américaine les entreprises s'étant retournées contre lui et promet de poursuivre la publication des télégrammes diplomatiques confidentiels. Ses avocats doivent demander ce mardi à Londres sa libération sous caution, Julian Assange, qui est citoyen australien, étant incarcéré depuis la semaine dernière en Grande-Bretagne en raison d'accusations d'agressions sexuelles portées à son encontre en Suède. Il a transmis à sa mère, lors d'une visite à sa prison londonienne, un communiqué diffusé mardi par la chaîne de télévision australienne Network Seven. "Mes convictions n'ont pas changé. Je reste fidèle à mes idéaux. Ils ne vacilleront pas malgré ces circonstances", écrit-il. "Nous savons maintenant que Visa, Mastercard, Paypal et d'autres sont des instruments de la politique étrangère américaine. J'appelle le monde entier à protéger mon travail et mes proches de ces attaques illégales et immorales", ajoute-t-il. Le site internet WikiLeaks, spécialisé dans la divulgation d'informations confidentielles, a commencé fin novembre à transmettre à la presse des télégrammes diplomatiques américains. Il a annoncé qu'il diffuserait les 250.000 documents en sa possession. (Reuters)
Enquête en Russie sur des soupçons de marchés publics truqués
La justice russe a ouvert mardi une enquête criminelle sur des achats de médicaments par le ministère de la Santé en 2008 et 2009, en raison de leur coût jugé trop élevé. Les services du procureur général de Russie déclarent dans un communiqué que leur enquête a mis au jour des infractions à la loi contre les monopoles, dont des ententes entre dirigeants de plusieurs fournisseurs de médicaments. Selon le ministère public, les médicaments auraient été surfacturés de 3,4 milliards de roubles (82,3 millions d'euros). Il accuse le ministère de la Santé de ne pas avoir autorisé l'accès aux appels d'offre à des entreprises qui "ne rentraient pas dans ce plan" et d'avoir fixé des prix exagérément hauts. Le parquet n'a pas précisé l'identité des personnes et des entreprises soupçonnées dans cette affaire. (Reuters)
Hommage de Washington après le décès de Richard Holbrooke
Les hommages de la classe politique se sont multipliés lundi aux Etats-Unis après l'annonce du décès de Richard Holbrooke, grand nom de la diplomatie américaine depuis les années 1960, disparu à l'âge de 69 ans. Richard Holbrooke, représentant spécial du président Barack Obama en Afghanistan et au Pakistan, se trouvait dans un état critique à Washington depuis ce week-end après une intervention chirurgicale samedi pour une déchirure de l'aorte. Surnommé le "Bulldozer" ou "Raging Bull" en raison de son style énergique, Richard Holbrooke avait débuté sa carrière diplomatique en 1962 au Vietnam. Il avait depuis servi sous toutes les administrations démocrates depuis celle de John F. Kennedy. Il était notamment l'architecte des accords de Dayton qui avaient mis fin à la guerre de Bosnie en 1995, et sur lesquels il était revenu dans ses mémoires "To End a War", parus en 1998. Barack Obama a rendu hommage à "un véritable géant de la politique étrangère américaine" et à "une figure véritablement unique dont on se souviendra pour sa diplomatie infatigable, l'amour de son pays, et la recherche de la paix". (AP)
Source : Yahoo Actualités
Les deux photos officielles de fiançailles du prince William et de Kate Middleton ont subi des retouches "minimales" avant d'être publiées, ont reconnu mardi les services du prince. L'apparence du couple n'a pas été modifiée, mais la lumière et le contraste ont été modifiés car les deux clichés sont "des oeuvres d'art" comme les portraits peints qui représentaient jadis les souverains, explique le palais. Les deux photos ont été réalisées par le photographe de mode péruvien Mario Testino au palais de St. James le 25 novembre, peu après l'annonce des fiançailles du couple. (AP)
Critique sur l'aide aux propriétaires américains endettés
Le département américain du Trésor n'a pas su gérer efficacement un programme destiné à venir en aide aux propriétaires de logements en difficulté, dénonce une commission parlementaire dans un rapport très critique diffusé mardi. Selon le Comité de contrôle du Congrès, la mauvaise gestion de ce programme baptisé HAMP va aboutir à l'inverse de ce qui était recherché, et les propriétaires qui seront en mesure de renégocier en leur faveur leurs prêts immobiliers avec leurs banques seront bien moins nombreux qu'on ne le pensait. Conséquence, les saisies immobilières réalisées par les banques seront plus nombreuses. "Si les tendances actuelles se poursuivent, seules 700.000 à 800.000 saisies seront évitées grâce au HAMP, bien moins que les trois à quatre millions de saisies que le Trésor voulait initialement empêcher, et énormément moins que les huit à 13 millions de saisies attendues d'ici 2012", peut-on lire dans ce rapport. Le HAMP, ou Home Affordable Modification Program, un programme d'aide aux propriétaires en difficultés, a été créé dans le cadre du plan de sauvetage de 700 milliards de dollars mis en place pour faire face à la crise financière de 2007-2009. (Reuters)
Le gouvernement Gbagbo met la communauté internationale en garde
La communauté internationale ne doit pas agiter le chiffon rouge des sanctions contre la Côte d'Ivoire pour essayer d'installer Alassane Ouattara au pouvoir, déclare le ministre des Affaires étrangères de Laurent Gbagbo. Dans une déclaration transmise mardi à Reuters à Paris, Alcide Djédjé dénonce "l'instrumentalisation" du Conseil de sécurité de l'ONU et de l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) "à des fins partisanes" selon lui. L'Union européenne a décidé lundi d'imposer des sanctions ciblées contre le président de la Côte d'Ivoire sortant, Laurent Gbagbo, qui conteste à son adversaire Alassane Ouattara la victoire à l'élection présidentielle du 28 novembre. Comme l'UE, les Etats-Unis, l'Union africaine et le Conseil de sécurité des Nations unies ont tous reconnu la victoire d'Alassane Ouattara. Le président américain Barack Obama s'est dit lui aussi prêt à prendre des sanctions. Laurent Gbagbo, qui s'est maintenu au pouvoir cinq ans après le terme de son mandat à mesure que le scrutin présidentiel était repoussé, rejette les pressions exercées sur lui en les qualifiant d'ingérences étrangères. "La France, les États-Unis, l'ONU et l'Union Européenne ne doivent pas agiter le chiffon rouge des sanctions contre le président de la République de Côte d'Ivoire Laurent Gbagbo", dit Alcide Djédjé. Il répète que Laurent Gbagbo "est la victime d'un complot international ourdi par un candidat malheureux soutenu diplomatiquement, financièrement et militairement par ses parrains occidentaux". (Reuters)
Medvedev confirme la construction d'une autoroute contestée
Le président russe Dmitri Medvedev a confirmé mardi la construction d'une autoroute à travers une forêt proche de Moscou dont les écologistes contestent le bien-fondé. Ce projet, à travers la forêt de Khimki, au nord de la capitale, avait soulevé un tel tollé parmi les défenseurs de l'environnement que le chef de l'Etat l'avait suspendu en août dernier. Mais, après avoir examiné toutes les alternatives possibles, le gouvernement "a rendu compte au président de sa décision" en faveur du tracé initial, a déclaré Natalia Timakova, porte-parole de Medvedev. (Reuters)
Julian Assange défie Washington avant une demande de libération
Le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, continue de défier les Etats-Unis en qualifiant d'agents de la diplomatie américaine les entreprises s'étant retournées contre lui et promet de poursuivre la publication des télégrammes diplomatiques confidentiels. Ses avocats doivent demander ce mardi à Londres sa libération sous caution, Julian Assange, qui est citoyen australien, étant incarcéré depuis la semaine dernière en Grande-Bretagne en raison d'accusations d'agressions sexuelles portées à son encontre en Suède. Il a transmis à sa mère, lors d'une visite à sa prison londonienne, un communiqué diffusé mardi par la chaîne de télévision australienne Network Seven. "Mes convictions n'ont pas changé. Je reste fidèle à mes idéaux. Ils ne vacilleront pas malgré ces circonstances", écrit-il. "Nous savons maintenant que Visa, Mastercard, Paypal et d'autres sont des instruments de la politique étrangère américaine. J'appelle le monde entier à protéger mon travail et mes proches de ces attaques illégales et immorales", ajoute-t-il. Le site internet WikiLeaks, spécialisé dans la divulgation d'informations confidentielles, a commencé fin novembre à transmettre à la presse des télégrammes diplomatiques américains. Il a annoncé qu'il diffuserait les 250.000 documents en sa possession. (Reuters)
Enquête en Russie sur des soupçons de marchés publics truqués
La justice russe a ouvert mardi une enquête criminelle sur des achats de médicaments par le ministère de la Santé en 2008 et 2009, en raison de leur coût jugé trop élevé. Les services du procureur général de Russie déclarent dans un communiqué que leur enquête a mis au jour des infractions à la loi contre les monopoles, dont des ententes entre dirigeants de plusieurs fournisseurs de médicaments. Selon le ministère public, les médicaments auraient été surfacturés de 3,4 milliards de roubles (82,3 millions d'euros). Il accuse le ministère de la Santé de ne pas avoir autorisé l'accès aux appels d'offre à des entreprises qui "ne rentraient pas dans ce plan" et d'avoir fixé des prix exagérément hauts. Le parquet n'a pas précisé l'identité des personnes et des entreprises soupçonnées dans cette affaire. (Reuters)
Hommage de Washington après le décès de Richard Holbrooke
Les hommages de la classe politique se sont multipliés lundi aux Etats-Unis après l'annonce du décès de Richard Holbrooke, grand nom de la diplomatie américaine depuis les années 1960, disparu à l'âge de 69 ans. Richard Holbrooke, représentant spécial du président Barack Obama en Afghanistan et au Pakistan, se trouvait dans un état critique à Washington depuis ce week-end après une intervention chirurgicale samedi pour une déchirure de l'aorte. Surnommé le "Bulldozer" ou "Raging Bull" en raison de son style énergique, Richard Holbrooke avait débuté sa carrière diplomatique en 1962 au Vietnam. Il avait depuis servi sous toutes les administrations démocrates depuis celle de John F. Kennedy. Il était notamment l'architecte des accords de Dayton qui avaient mis fin à la guerre de Bosnie en 1995, et sur lesquels il était revenu dans ses mémoires "To End a War", parus en 1998. Barack Obama a rendu hommage à "un véritable géant de la politique étrangère américaine" et à "une figure véritablement unique dont on se souviendra pour sa diplomatie infatigable, l'amour de son pays, et la recherche de la paix". (AP)
Source : Yahoo Actualités
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