Quelques heures plus tôt, un membre du gouvernement israélien avait indiqué qu'aucun appel d'offres en vue de la construction de nouveaux logements dans les implantations juives n'avait été émis depuis que le Premier ministre Benjamin Netanyahu a pris ses fonctions, il y a cinq mois.
Le chef du gouvernement s'est jusqu'ici refusé à déclarer le gel complet des activités de colonisation, malgré l'insistance du président américain et le sujet a donné lieu à des tensions sans précédent depuis dix ans entre l'Etat juif et Washington.
"Il y a eu des gestes dans la bonne direction", a déclaré Barack Obama, lors d'une conférence de presse en compagnie de son homologue égyptien Hosni Moubarak à la Maison blanche.
Les deux chefs d'Etat, qui se rencontrent pour la troisième fois en trois mois, ont évoqué les moyens de relancer le processus de paix au Proche-Orient, l'une des priorités diplomatiques de la nouvelle administration américaine.
En disgrâce auprès de George Bush, qui lui reprochait sa conception de la démocratie, Hosni Moubarak ne s'était pas rendu aux Etats-Unis depuis 2004. Sa visite coïncide avec les efforts entrepris par Washington pour amener les pays arabes modérés à faire le premier pas en direction d'Israël pour l'inciter à geler le développement des colonies.
Le président égyptien a toutefois indiqué que les Etats de la région n'accepteront de jouer un rôle plus actif qu'après la reprise d'un dialogue direct entre négociateurs israéliens et palestiniens.
Source: Reuters via Yahoo News
Le chef du gouvernement s'est jusqu'ici refusé à déclarer le gel complet des activités de colonisation, malgré l'insistance du président américain et le sujet a donné lieu à des tensions sans précédent depuis dix ans entre l'Etat juif et Washington.
"Il y a eu des gestes dans la bonne direction", a déclaré Barack Obama, lors d'une conférence de presse en compagnie de son homologue égyptien Hosni Moubarak à la Maison blanche.
Les deux chefs d'Etat, qui se rencontrent pour la troisième fois en trois mois, ont évoqué les moyens de relancer le processus de paix au Proche-Orient, l'une des priorités diplomatiques de la nouvelle administration américaine.
En disgrâce auprès de George Bush, qui lui reprochait sa conception de la démocratie, Hosni Moubarak ne s'était pas rendu aux Etats-Unis depuis 2004. Sa visite coïncide avec les efforts entrepris par Washington pour amener les pays arabes modérés à faire le premier pas en direction d'Israël pour l'inciter à geler le développement des colonies.
Le président égyptien a toutefois indiqué que les Etats de la région n'accepteront de jouer un rôle plus actif qu'après la reprise d'un dialogue direct entre négociateurs israéliens et palestiniens.
Source: Reuters via Yahoo News
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