"La deuxième audition de M. Jacques Chirac dans l'affaire des chargés de mission de la Ville de Paris a permis d'achever l'examen des structures et des rouages de la Mairie", a indiqué son avocat, Me Jean Veil dans un communiqué.
Selon l'avocat, son client "a confirmé en tous points les explications rappelées par les anciens directeurs de cabinet dans la lettre conjointe qu'ils ont adressée au juge dinstruction le 7 novembre dernier".
Il a annoncé que "l'examen des cas individuels des chargés de mission" soupçonnés d'avoir bénéficié d'emplois fictifs "devrait intervenir au cours du premier semestre de l'année 2008".
Au total, 21 personnes sont pour l'heure mises en examen dans cette enquête, dirigée par la juge financière, soit pour avoir bénéficié d'un emploi présumé fictif au cabinet du maire de Paris, soit pour avoir fourni un ou plusieurs de ces emplois.
Parmi les bénéficiaires présumés d'emplois fictifs se trouvent la femme de l'ancien ministre Hervé de Charette, François Debré, frère de Jean-Louis Debré, l'ancien secrétaire général de FO Marc Blondel ou encore Raymond-Max Aubert, l'ancien maire RPR de Tulle (Corrèze). Le 15 mai dernier, la juge Simeoni a fait entendre Alain Juppé, à l'époque adjoint aux Finances à la Ville et secrétaire général du RPR, et donc bras droit de Jacques Chirac.
M. Chirac a déjà été entendu au mois de juillet comme témoin assisté dans le dossier des emplois fictifs présumés du RPR instruit à Nanterre dans lequel Alain Juppé a été condamné.
Source: http://fr.news.yahoo.com/
Selon l'avocat, son client "a confirmé en tous points les explications rappelées par les anciens directeurs de cabinet dans la lettre conjointe qu'ils ont adressée au juge dinstruction le 7 novembre dernier".
Il a annoncé que "l'examen des cas individuels des chargés de mission" soupçonnés d'avoir bénéficié d'emplois fictifs "devrait intervenir au cours du premier semestre de l'année 2008".
Au total, 21 personnes sont pour l'heure mises en examen dans cette enquête, dirigée par la juge financière, soit pour avoir bénéficié d'un emploi présumé fictif au cabinet du maire de Paris, soit pour avoir fourni un ou plusieurs de ces emplois.
Parmi les bénéficiaires présumés d'emplois fictifs se trouvent la femme de l'ancien ministre Hervé de Charette, François Debré, frère de Jean-Louis Debré, l'ancien secrétaire général de FO Marc Blondel ou encore Raymond-Max Aubert, l'ancien maire RPR de Tulle (Corrèze). Le 15 mai dernier, la juge Simeoni a fait entendre Alain Juppé, à l'époque adjoint aux Finances à la Ville et secrétaire général du RPR, et donc bras droit de Jacques Chirac.
M. Chirac a déjà été entendu au mois de juillet comme témoin assisté dans le dossier des emplois fictifs présumés du RPR instruit à Nanterre dans lequel Alain Juppé a été condamné.
Source: http://fr.news.yahoo.com/
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