"J'ai expliqué au président de la République que, ma démarche (lors de la mission sur la réforme du lycée, ndlr), elle n'avait de sens que s'il y avait de la gratuité et du désintéressement dedans", précise le directeur de Sciences-Po mercredi sur RMC.
L'énarque a remis mardi des premières "préconisations", dans lesquelles il plaide pour un lycée plus juste, avec une orientation améliorée et un rééquilibrage des filières du baccalauréat.
"Dans les milieux bien parisiens, on n'imagine plus aujourd'hui qu'on puisse s'engager dans l'action publique, non pas pour guigner un poste, même aussi beau que celui de ministre de l'Éducation nationale, mais parce qu'on a épousé une cause, un combat", ajoute-t-il.
Et de conclure : "Ce serait ruiner le sens même de ma démarche que de prendre le ministère de l'Éducation nationale, à supposer qu'on me le propose."
Source: Le Point via Yahoo News
L'énarque a remis mardi des premières "préconisations", dans lesquelles il plaide pour un lycée plus juste, avec une orientation améliorée et un rééquilibrage des filières du baccalauréat.
"Dans les milieux bien parisiens, on n'imagine plus aujourd'hui qu'on puisse s'engager dans l'action publique, non pas pour guigner un poste, même aussi beau que celui de ministre de l'Éducation nationale, mais parce qu'on a épousé une cause, un combat", ajoute-t-il.
Et de conclure : "Ce serait ruiner le sens même de ma démarche que de prendre le ministère de l'Éducation nationale, à supposer qu'on me le propose."
Source: Le Point via Yahoo News
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