La décision de la présidence doit encore être entérinée par le conseil d'administration de l'université, qui se réunira en session extraordinaire le 2 juin, a précisé l'université.
Les étudiants ont voté mardi en assemblée générale le maintien des piquets de grève jusqu'au 2 juin.
"Malgré les propositions et les demandes formulées par la présidence, l'ouverture du campus n'a pas été obtenue (mercredi) matin, ce qui rend impossible (...) l'organisation de la session de juin. La première session des examens est reportée au mois de septembre", a dit M. Filâtre dans un communiqué.
Les organisations syndicales de la FSU (SNESUP, SNASUB et SNCS) de l'université ont "condamné" pour leur part dans un communiqué "l'irresponsabilité" de celui de la présidence, estimant qu'elle "choisit la politique du pire (...), une politique d'affrontement".
"La FSU demande un médiateur au recteur d'académie pour sortir de la crise", poursuit le texte.
"Le conseil d'administration devra avaliser la décision" de reporter les examens", a déclaré Côme, un des porte-parole du comité de lutte de l'université du Mirail.
"Nous, entre-temps, on va faire une proposition qui serait beaucoup plus acceptable et qui ne pénaliserait pas la majorité des étudiants", a-t-il ajouté.
Les étudiants les plus radicaux, a-t-il souligné, demandent "une validation automatique du second semestre", ce que refuse catégoriquement le président de l'université qui proposait une session d'examens sur la base du "programme révisé" du second semestre. Le syndicat étudiant Unef plaide, de son côté, pour que les examens "portent sur le contenu du 1er semestre".
Dimanche, le président de Toulouse-II...... lire la suite de l'article sur Lepoint.fr
Source: Le Point via Yahoo News
Les étudiants ont voté mardi en assemblée générale le maintien des piquets de grève jusqu'au 2 juin.
"Malgré les propositions et les demandes formulées par la présidence, l'ouverture du campus n'a pas été obtenue (mercredi) matin, ce qui rend impossible (...) l'organisation de la session de juin. La première session des examens est reportée au mois de septembre", a dit M. Filâtre dans un communiqué.
Les organisations syndicales de la FSU (SNESUP, SNASUB et SNCS) de l'université ont "condamné" pour leur part dans un communiqué "l'irresponsabilité" de celui de la présidence, estimant qu'elle "choisit la politique du pire (...), une politique d'affrontement".
"La FSU demande un médiateur au recteur d'académie pour sortir de la crise", poursuit le texte.
"Le conseil d'administration devra avaliser la décision" de reporter les examens", a déclaré Côme, un des porte-parole du comité de lutte de l'université du Mirail.
"Nous, entre-temps, on va faire une proposition qui serait beaucoup plus acceptable et qui ne pénaliserait pas la majorité des étudiants", a-t-il ajouté.
Les étudiants les plus radicaux, a-t-il souligné, demandent "une validation automatique du second semestre", ce que refuse catégoriquement le président de l'université qui proposait une session d'examens sur la base du "programme révisé" du second semestre. Le syndicat étudiant Unef plaide, de son côté, pour que les examens "portent sur le contenu du 1er semestre".
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Source: Le Point via Yahoo News