Ces fonds provenaient d'une caisse de secours mutuel, l'Epim, créée en 1972 et destinée à soutenir les entreprises adhérentes ayant subi des préjudices lors de conflits sociaux. Les fonds non-utilisés de cette caisse sont aujourd'hui valorisés à environ 600 millions d'euros, selon l'UIMM.
M. Gautier-Sauvagnac, dit "DGS", a reconnu avoir effectué ces dernières années des retraits en liquide dans cette caisse de l'ordre de "2 millions d'euros par an" depuis sa prise de fonction en 2000, en précisant que le système existait avant lui.
Les policiers de la brigade financière cherchent à connaître la destination de 17 de ces 22 millions d'euros retirés - 2 millions ont été saisis dans les coffres de l'UIMM et 3 millions versés à des salariés - et à savoir si elle peut être ou non constitutive d'un abus de confiance, relever de la corruption ou du financement de partis politiques.
La piste d'un financement politique a été formellement démentie par M. Gautier-Sauvagnac selon qui l'UIMM "n'a apporté aucune aide aux partis".
Parmi les autres pistes envisagées par les enquêteurs, celle d'un financement syndical - démenti par ces organisations - semble pour l'heure privilégiée, selon des sources concordantes. Le président démissionnaire de l'UIMM a lui même indiqué que ces retraits en liquide avaient contribué principalement "au financement de différents organismes qui font partie de notre vie sociale". Son prédécesseur, Daniel Dewavrin, a expliqué qu'il s'agissait de "fluidifier les relations sociales".
Dans un article paru dans le Nouvel Obs le 17/10/07:
Interrogé sur la destination des fonds, et en particulier s'ils étaient destiné aux syndicats, Daniel Dewavrin répond que "l'emploi de ces fonds était fait dans le respect de l'objet social de l'UIMM".
Tel est le problème: par delà l'objet social de l'IUMM, les enquêteurs traquent l'abus de confiance.
Lire de détail de ces infos sur Edicom.ch
M. Gautier-Sauvagnac, dit "DGS", a reconnu avoir effectué ces dernières années des retraits en liquide dans cette caisse de l'ordre de "2 millions d'euros par an" depuis sa prise de fonction en 2000, en précisant que le système existait avant lui.
Les policiers de la brigade financière cherchent à connaître la destination de 17 de ces 22 millions d'euros retirés - 2 millions ont été saisis dans les coffres de l'UIMM et 3 millions versés à des salariés - et à savoir si elle peut être ou non constitutive d'un abus de confiance, relever de la corruption ou du financement de partis politiques.
La piste d'un financement politique a été formellement démentie par M. Gautier-Sauvagnac selon qui l'UIMM "n'a apporté aucune aide aux partis".
Parmi les autres pistes envisagées par les enquêteurs, celle d'un financement syndical - démenti par ces organisations - semble pour l'heure privilégiée, selon des sources concordantes. Le président démissionnaire de l'UIMM a lui même indiqué que ces retraits en liquide avaient contribué principalement "au financement de différents organismes qui font partie de notre vie sociale". Son prédécesseur, Daniel Dewavrin, a expliqué qu'il s'agissait de "fluidifier les relations sociales".
Dans un article paru dans le Nouvel Obs le 17/10/07:
Interrogé sur la destination des fonds, et en particulier s'ils étaient destiné aux syndicats, Daniel Dewavrin répond que "l'emploi de ces fonds était fait dans le respect de l'objet social de l'UIMM".
Tel est le problème: par delà l'objet social de l'IUMM, les enquêteurs traquent l'abus de confiance.
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