L'Inde déploie l'armée au Cachemire, deux morts dans de nouveaux heurts
L'Inde a déployé son armée au Cachemire, vendredi 17 septembre, pour appuyer les forces paramilitaires et de police. De nouveaux heurts ont fait deux morts et 19 blessés dans cet Etat à majorité musulmane secoué par de violentes manifestations séparatistes. Des troupes ont été aperçues sur la route à Srinagar menant à l'aéroport, selon un journaliste de l'AFP. Des habitants ont également fait état de la présence de soldats dans des villages des districts de Budgam (centre) et de Baramulla (nord), théâtres de nouveaux incidents vendredi. L'armée avait déjà été appelée en renfort en juillet. Le gouvernement local et l'armée se sont refusés à tout commentaire. Les responsables de la police, des forces paramilitaires et de l'armée avaient annoncé mercredi soir à l'issue d'une réunion avoir redéfini une "nouvelle stratégie" pour rétablir l'ordre dans l'Etat himalayen, sans fournir plus de précisions. La police a ouvert le feu vendredi sur des manifestants qui ont défié le couvre-feu strict imposé dans l'Etat descendant dans la rue et jetant des pierres sur les forces de sécurité qui ont répliqué en tirant sur la foule, a indiqué un policier s'exprimant sous couvert d'anonymat. Le Pakistan dénonce l'attitude de New Delhi. Le Cachemire indien est secoué depuis trois mois par de violentes manifestations contre l'administration de New Delhi provoquées par la mort le 11 juin d'un étudiant de 17 ans tué par une grenade lacrymogène lancée par la police. Le bilan des victimes est désormais d'au moins 96 morts. La plupart des défilés de protestation à l'appel de dirigeants séparatistes rassemblent des centaines de jeunes hommes masqués qui jettent des pierres sur les forces de sécurité, recevant invariablement en réponse des tirs de gaz lacrymogène, des coups de bâton et des tirs à balles réelles.(lepoint)
Cinq suspects arrêtés à Londres, le pape Benoît XVI reste "calme"
Cinq personnes ont été arrêtées vendredi à Londres pour "suspicion d'actes de terrorisme" en liaison avec la visite en cours du pape Benoît XVI, a indiqué la police en précisant que le dispositif de sécurité autour du souverain pontife a été réexaminé. A 05 h 45 (06 h 45 heure de Paris), cinq hommes âgés entre 26 et 50 ans ont été interpellés dans le centre de Londres pour "suspicion de commission, préparation et instigation d'actes de terrorisme" et ont été emmenés dans un commissariat du même endroit où "ils seront interrogés par des inspecteurs", a précisé Scotland Yard dans un communiqué. "A la suite des arrestations, les arrangements effectués pour la sécurité du pape ont été passés en revue et nous sommes convaincus que les dispositions actuelles restent appropriées", a précisé la police. "L'itinéraire n'a pas été modifié. Il n'y a pas de changement dans le niveau de sécurité au Royaume-Uni", a-t-elle ajouté. "De premières fouilles n'ont pas permis de découvrir de matériel dangereux", a précisé un porte-parole de Scotland Yard. Il a ajouté que les interpellations avaient été effectuées par l'unité antiterroriste de Scotland Yard "à la suite d'une information reçue par la police". Cette dernière n'a pas fourni d'autres informations, refusant de préciser si la menace avait visé directement le souverain pontife, ou qui en était à l'origine. Dans un communiqué, le Vatican a assuré que "le pape est calme" et que la situation n'est "pas particulièrement dangereuse". L'État pontifical a "confiance dans la police, qui prend les mesures nécessaires".(lepoint)
Source: Yahoo Actualités
L'Inde a déployé son armée au Cachemire, vendredi 17 septembre, pour appuyer les forces paramilitaires et de police. De nouveaux heurts ont fait deux morts et 19 blessés dans cet Etat à majorité musulmane secoué par de violentes manifestations séparatistes. Des troupes ont été aperçues sur la route à Srinagar menant à l'aéroport, selon un journaliste de l'AFP. Des habitants ont également fait état de la présence de soldats dans des villages des districts de Budgam (centre) et de Baramulla (nord), théâtres de nouveaux incidents vendredi. L'armée avait déjà été appelée en renfort en juillet. Le gouvernement local et l'armée se sont refusés à tout commentaire. Les responsables de la police, des forces paramilitaires et de l'armée avaient annoncé mercredi soir à l'issue d'une réunion avoir redéfini une "nouvelle stratégie" pour rétablir l'ordre dans l'Etat himalayen, sans fournir plus de précisions. La police a ouvert le feu vendredi sur des manifestants qui ont défié le couvre-feu strict imposé dans l'Etat descendant dans la rue et jetant des pierres sur les forces de sécurité qui ont répliqué en tirant sur la foule, a indiqué un policier s'exprimant sous couvert d'anonymat. Le Pakistan dénonce l'attitude de New Delhi. Le Cachemire indien est secoué depuis trois mois par de violentes manifestations contre l'administration de New Delhi provoquées par la mort le 11 juin d'un étudiant de 17 ans tué par une grenade lacrymogène lancée par la police. Le bilan des victimes est désormais d'au moins 96 morts. La plupart des défilés de protestation à l'appel de dirigeants séparatistes rassemblent des centaines de jeunes hommes masqués qui jettent des pierres sur les forces de sécurité, recevant invariablement en réponse des tirs de gaz lacrymogène, des coups de bâton et des tirs à balles réelles.(lepoint)
Cinq suspects arrêtés à Londres, le pape Benoît XVI reste "calme"
Cinq personnes ont été arrêtées vendredi à Londres pour "suspicion d'actes de terrorisme" en liaison avec la visite en cours du pape Benoît XVI, a indiqué la police en précisant que le dispositif de sécurité autour du souverain pontife a été réexaminé. A 05 h 45 (06 h 45 heure de Paris), cinq hommes âgés entre 26 et 50 ans ont été interpellés dans le centre de Londres pour "suspicion de commission, préparation et instigation d'actes de terrorisme" et ont été emmenés dans un commissariat du même endroit où "ils seront interrogés par des inspecteurs", a précisé Scotland Yard dans un communiqué. "A la suite des arrestations, les arrangements effectués pour la sécurité du pape ont été passés en revue et nous sommes convaincus que les dispositions actuelles restent appropriées", a précisé la police. "L'itinéraire n'a pas été modifié. Il n'y a pas de changement dans le niveau de sécurité au Royaume-Uni", a-t-elle ajouté. "De premières fouilles n'ont pas permis de découvrir de matériel dangereux", a précisé un porte-parole de Scotland Yard. Il a ajouté que les interpellations avaient été effectuées par l'unité antiterroriste de Scotland Yard "à la suite d'une information reçue par la police". Cette dernière n'a pas fourni d'autres informations, refusant de préciser si la menace avait visé directement le souverain pontife, ou qui en était à l'origine. Dans un communiqué, le Vatican a assuré que "le pape est calme" et que la situation n'est "pas particulièrement dangereuse". L'État pontifical a "confiance dans la police, qui prend les mesures nécessaires".(lepoint)
Source: Yahoo Actualités
À lire également :
-
La Géorgie s'enflamme : le rêve européen attise les tensions
-
Donald Trump voit ses options en Ukraine
-
Restructuration massive chez Nissan : enjeux et perspectives
-
L'élection présidentielle américaine de 2024 : enjeux politiques et dynamiques entre Trump et Harris
-
Gérard Depardieu : L'Ombre du Scandale - Accusations et Procès