Il ne s'agit ni d'adhésion à la Fédération Syndicale Mondiale, ni de statut d'observateur. C'est trop tôt car la bataille ne fait que commencer.
Mais le 52ème congrès valide à 61,4% un amendement où la CGT doit échanger avec toutes les organisations internationales dont la FSM (Fédération syndicale mondiale) et non plus exclusivement avec la CES (Confédération européenne des syndicats) et la CSI (Confédération syndicale internationale).
C’est donc contre l’avis de la direction du congrès que l’amendement ajoutant la mention de la FSM (au texte suivant : « Pour la CGT, il s’agit de rechercher constamment l’échange et l’unité avec toutes les organisations syndicales possibles, affiliées ou non à la CES et à la CSI. ») a été largement adopté par 469 voix contre 294 et une centaine d’abstentions.
Philippe Martinez avait pris largement position contre, notamment le 7 mai, lorsqu'il déclarait « Je ne pense pas que la FSM soit une organisation de masse, une organisation démocratique, mais c’est ma vision ». Or, les mouvements révolutionnaires portent en eux un profond esprits démocratique.
Il reste maintenant aux structures syndicales (dont certaines sont à l'avant garde) à s'identifier dans le syndicalisme internationaliste de classe et à la FSM de continuer à incarner la lutte sans faille contre le capitalisme et l'impérialisme.
Mais le 52ème congrès valide à 61,4% un amendement où la CGT doit échanger avec toutes les organisations internationales dont la FSM (Fédération syndicale mondiale) et non plus exclusivement avec la CES (Confédération européenne des syndicats) et la CSI (Confédération syndicale internationale).
C’est donc contre l’avis de la direction du congrès que l’amendement ajoutant la mention de la FSM (au texte suivant : « Pour la CGT, il s’agit de rechercher constamment l’échange et l’unité avec toutes les organisations syndicales possibles, affiliées ou non à la CES et à la CSI. ») a été largement adopté par 469 voix contre 294 et une centaine d’abstentions.
Philippe Martinez avait pris largement position contre, notamment le 7 mai, lorsqu'il déclarait « Je ne pense pas que la FSM soit une organisation de masse, une organisation démocratique, mais c’est ma vision ». Or, les mouvements révolutionnaires portent en eux un profond esprits démocratique.
Il reste maintenant aux structures syndicales (dont certaines sont à l'avant garde) à s'identifier dans le syndicalisme internationaliste de classe et à la FSM de continuer à incarner la lutte sans faille contre le capitalisme et l'impérialisme.