Hypothèse scientifique : Vous pouvez vous passer des masques en extérieur
Selon les dires de la directrice des Centres de prévention et de lutte contre les maladies (CDC) Rochelle Walensky, être vacciné vous permet d’assister à divers évènements à l’extérieur de chez vous sans masque, sans pour autant être contaminé de nouveau. Cette affirmation est fondée sur des données scientifiques bien établies.
Par contre, cette dernière poursuit en mettant l’accent sur l’importance des masques dans les espaces où siège un fort taux de présence humaine (stade ou les espaces de concert).
En février 2021, des biologistes britanniques ont donné à penser dans une prépublication, qui n’a donc pas encore été révisée par d’autres chercheurs, qu’une seule dose du vaccin de Pfizer était assez puissante pour réduire considérablement les possibilités d’une infection asymptomatique. L’ensemble de ces hypothèses engendre la confusion qui plane sur les populations.
Toujours en février, une nouvelle analyse des données recueillies jusqu’à un mois après sa validation au sujet du vaccin d’Astra Zeneca a été publiée dans The Lancet. Celle-ci indique qu’après une seule injection du vaccin, les possibilités d’infection s’affaiblissent de plus de 67 %. Dans le même temps, selon la même revue, deux injections du vaccin avec une observation d’un écart de quatre semaines entre les injections engendrent moins de 70 % d’infection.
Ce n’est pas parfait, mais c’est significatif. En gros, le vaccin protège le vacciné. L’affirmation de Rochelle Walensky amplifie ces résultats. Le masque est sensé couvrir le nez et la bouche, les deux voies de sortie d’air respiratoire chez un être humain. Une manière d’empêcher un présumé atteint de contaminer son entourage. Pourtant, plusieurs vaccins montrent leur efficacité depuis quelques mois. De plus, celui qui se fait vacciner est considéré comme moins vulnérable au virus. Le masque reste obligatoire chez les Américains, et ce, chez tous les Américains, sauf chez les vaccinés.
Par contre, cette dernière poursuit en mettant l’accent sur l’importance des masques dans les espaces où siège un fort taux de présence humaine (stade ou les espaces de concert).
En février 2021, des biologistes britanniques ont donné à penser dans une prépublication, qui n’a donc pas encore été révisée par d’autres chercheurs, qu’une seule dose du vaccin de Pfizer était assez puissante pour réduire considérablement les possibilités d’une infection asymptomatique. L’ensemble de ces hypothèses engendre la confusion qui plane sur les populations.
Toujours en février, une nouvelle analyse des données recueillies jusqu’à un mois après sa validation au sujet du vaccin d’Astra Zeneca a été publiée dans The Lancet. Celle-ci indique qu’après une seule injection du vaccin, les possibilités d’infection s’affaiblissent de plus de 67 %. Dans le même temps, selon la même revue, deux injections du vaccin avec une observation d’un écart de quatre semaines entre les injections engendrent moins de 70 % d’infection.
Ce n’est pas parfait, mais c’est significatif. En gros, le vaccin protège le vacciné. L’affirmation de Rochelle Walensky amplifie ces résultats. Le masque est sensé couvrir le nez et la bouche, les deux voies de sortie d’air respiratoire chez un être humain. Une manière d’empêcher un présumé atteint de contaminer son entourage. Pourtant, plusieurs vaccins montrent leur efficacité depuis quelques mois. De plus, celui qui se fait vacciner est considéré comme moins vulnérable au virus. Le masque reste obligatoire chez les Américains, et ce, chez tous les Américains, sauf chez les vaccinés.
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