La livraison de combustible nucléaire pour la centrale de recherche médicale de Téhéran constituerait une occasion d'évaluer "l'honnêteté" des grandes puissances de l'Agence internationale de l'énergie atomique sur ce dossier, a-t-il dit.
Le chef d'Etat iranien a fait ces déclarations alors que l'Iran devrait donner dans la journée sa réponse à un projet d'accord international présenté par l'AIEA, qui prévoit le transfert en Russie puis en France du stock d'uranium faiblement enrichi pour le traiter puis le convertir en combustible.
"Tant que ce gouvernement sera au pouvoir, je ne reculerai pas d'un iota sur les droits incontestables de la nation iranienne", a dit Mahmoud Ahmadinejad dans un discours donné à Mashhad, dans le nord-est du pays, et télévisé en direct.
"Heureusement, les conditions ont été préparées en vue d'une coopération internationale dans le domaine nucléaire", a-t-il ajouté.
"Nous nous réjouissons de la coopération sur le combustible nucléaire, les usines électriques et la technologie, et nous sommes prêts à coopérer", a-t-il encore dit.
Selon la presse officielle, Téhéran accepterait l'accord, tout en demandant des modifications qui pourraient l'exposer à des menaces de sanctions internationales.
Source: Reuters via Yahoo News
Le chef d'Etat iranien a fait ces déclarations alors que l'Iran devrait donner dans la journée sa réponse à un projet d'accord international présenté par l'AIEA, qui prévoit le transfert en Russie puis en France du stock d'uranium faiblement enrichi pour le traiter puis le convertir en combustible.
"Tant que ce gouvernement sera au pouvoir, je ne reculerai pas d'un iota sur les droits incontestables de la nation iranienne", a dit Mahmoud Ahmadinejad dans un discours donné à Mashhad, dans le nord-est du pays, et télévisé en direct.
"Heureusement, les conditions ont été préparées en vue d'une coopération internationale dans le domaine nucléaire", a-t-il ajouté.
"Nous nous réjouissons de la coopération sur le combustible nucléaire, les usines électriques et la technologie, et nous sommes prêts à coopérer", a-t-il encore dit.
Selon la presse officielle, Téhéran accepterait l'accord, tout en demandant des modifications qui pourraient l'exposer à des menaces de sanctions internationales.
Source: Reuters via Yahoo News
À lire également :
-
Vers une rupture entre la Cedeao et l'Alliance des États du Sahel
-
Qui est Mohammed al-Joulani, le nouveau homme fort de la Syrie ?
-
Chute de Bachar al-Assad en Syrie : le palais présidentiel envahi et pillé par des civils
-
La RDC poursuit le Rwanda devant la Cour africaine des droits de l'homme et des peuples
-
Au Tchad comme au Sénégal, la présence militaire française prend fin