Hier, chefs d'Etat et de gouvernement des Vingt-Sept ont soutenu à l'unanimité le principe de sa reconduction. 'Je suis fier et ému', a commenté l'intéressé, après avoir été applaudi par ses 'grands électeurs'. Adoubé informellement par les Vingt-Sept, le seul candidat en lice est désormais dans les mains du Parlement européen, où ses détracteurs entendent peser sur les débats. Lire la suite l'article
Pour mettre toutes les chances de son côté, M. Barroso a, dans la soirée, esquissé les grandes lignes d'un programme jugé très 'sarkozyste'. Dans ce document de deux pages, l'ancien adepte du 'moins légiférer' se fait le chantre d''une Europe plus forte' et de 'l'économie sociale de marché'. Il se prononce pour davantage de régulation, le développement du secteur agricole et la lutte contre le réchauffement climatique, le tout en 'partenariat actif' avec les gouvernements nationaux. Un texte de 'bonne facture', a estimé l'entourage de Nicolas Sarkozy, qui y voit l'influence des idées 'franco-allemandes'.
Pendant le dîner, chacun des Vingt-Sept y est allé de son commentaire sur le bilan et les projets du président sortant, avant que M. Barroso ne quitte la salle pour laisser chefs d'Etat et de gouvernement délibérer sur son sort.
Une phase de consultation va maintenant s'ouvrir avec les différents groupes au sein du nouvel hémicycle, afin d'évaluer si ceux-ci sont en mesure de confirmer la nomination lors de sa session inaugurale, en juillet. Le respect de ce calendrier est loin d'être acquis, car l'équilibre des forces et le jeu des alliances demeurent incertains dans la nouvelle assemblée. 'Tout est ouvert', selon Hans-Gert Pöttering, le président sortant du Parlement européen, qui se donne jusqu'au 9 juillet pour évaluer la possibilité d'un vote avant la pause estivale.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr
Source: Le Monde via Yahoo News
Pour mettre toutes les chances de son côté, M. Barroso a, dans la soirée, esquissé les grandes lignes d'un programme jugé très 'sarkozyste'. Dans ce document de deux pages, l'ancien adepte du 'moins légiférer' se fait le chantre d''une Europe plus forte' et de 'l'économie sociale de marché'. Il se prononce pour davantage de régulation, le développement du secteur agricole et la lutte contre le réchauffement climatique, le tout en 'partenariat actif' avec les gouvernements nationaux. Un texte de 'bonne facture', a estimé l'entourage de Nicolas Sarkozy, qui y voit l'influence des idées 'franco-allemandes'.
Pendant le dîner, chacun des Vingt-Sept y est allé de son commentaire sur le bilan et les projets du président sortant, avant que M. Barroso ne quitte la salle pour laisser chefs d'Etat et de gouvernement délibérer sur son sort.
Une phase de consultation va maintenant s'ouvrir avec les différents groupes au sein du nouvel hémicycle, afin d'évaluer si ceux-ci sont en mesure de confirmer la nomination lors de sa session inaugurale, en juillet. Le respect de ce calendrier est loin d'être acquis, car l'équilibre des forces et le jeu des alliances demeurent incertains dans la nouvelle assemblée. 'Tout est ouvert', selon Hans-Gert Pöttering, le président sortant du Parlement européen, qui se donne jusqu'au 9 juillet pour évaluer la possibilité d'un vote avant la pause estivale.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr
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