Les Européens, moins confiants en l'UE mais fidèles à l'euro
Le soutien à la construction européenne a chuté au sein de l'Union européenne depuis l'éclatement de la crise de la dette, mais peu d'habitants de l'UE veulent abandonner l'euro, en particulier les Grecs, selon une étude publiée mardi. Pour cette enquête, menée par le Pew Research Center, un centre d'études basé à Washington, un millier de personnes ont été interrogées entre mi-mars et mi-avril dans des pays membres de la zone euro (Espagne, France, Italie, Allemagne et Grèce) ou pas (Grande-Bretagne, Pologne et République tchèque). Seuls les Allemands, plus importants contributeurs aux plans de sauvetage dont bénéficient l'Irlande, la Grèce et le Portugal, ont vu leur adhésion à l'UE augmenter depuis 2009. Quelque 65%, contre 63% il y a trois ans, considèrent que leur adhésion à l'Union est positive. Dans tous les autres pays où l'étude a été menée, l'UE séduit de moins en moins, en particulier en Espagne où 54% des personnes interrogées doutent de l'intérêt d'appartenir à l'Union. Malgré cette désaffection, 60% des Espagnols veulent garder l'euro, une tendance que l'on retrouve chez tous les membres de la zone, notamment les Grecs.(fr.reuters.com) L'Union Européenne n'est que monaitère voyons.
Pourquoi l'Italie tremble-t-elle autant ?
Pascal Bernard, physicien et sismologue à l'Institut de physique du globe de Paris, revient sur la série de séismes meurtriers dans le nord de l'Italie, à Finale Emilia et Mirandola. Des séismes dans le nord de l'Italie, c'est normal ou exceptionnel ? La série que l'on vient d'observer est plutôt inhabituelle. Certes, on sait, depuis des siècles, que la zone peut générer des séismes de magnitude 6, car des failles ont été identifiées sous la plaine du Pô, mais les séismes en cascade, c'est assez surprenant. Quand une faille casse, elle peut déstabiliser la faille voisine et provoquer - au-delà des répliques -, dans les jours ou les mois suivants, un séisme de la même intensité. Pourquoi cette région est-elle particulièrement sensible ? La plaine du Pô est une zone de contact entre différentes plaques sismiques. Dans la région, les roches de la croûte terrestre sont comprimées par la pression qui s'exerce entre ces plaques. Celles-ci se fracturent et provoquent des failles de grandes dimensions, repérées sous la plaine du Pô. Tout ceci est lié à la remontée vers le nord de la péninsule italienne qui vient, en quelque sorte, emboutir les Alpes. D'année en année, la compression augmente et les failles finissent par rompre. Plus au sud, à l'Aquila, les causes étaient un peu différentes. C'est l'étirement de la chaîne de montagnes des Alpenins, qui se fracturent sous leur propre poids, qui est à l'origine du séisme très meurtrier de 2009.(lemonde.fr) La Terre nous réserve encore de grandes surprises à nous qui pensons tous savoir.
L'Espagne entre courage et entêtement
Fier et ombrageux, Mariano Rajoy s'en va répétant que l'Espagne ne sollicite aucune aide extérieure. Elle n'a pas besoin des mécanismes de sauvegarde de l'eurozone. Elle s'en sortira toute seule, elle ne quémande rien. Bref, sa situation ne s'apparenterait ni à celle du Portugal ou de l'Irlande, encore moins à celle de la Grèce. La belle assurance du chef du gouvernement conservateur fleure bon sa geste donquichottesque. 'Il n'y aura aucun sauvetage européen pour le secteur bancaire espagnol', affirmait-il encore lundi 28 mai, à l'issue d'une journée de tourmente sur les marchés ibériques. Car cela tangue fort autour de l'élégant Mariano Rajoy : l'état des banques espagnoles nourrit une défiance croissante. Et la situation de la quatrième économie de la zone euro pèse sur celle du numéro trois, l'Italie - ce dont on n'a vraiment pas besoin alors que la Grèce est au bord de la rupture. D'où la question que posent nombre d'observateurs : l'Espagne a-t-elle raison de ne vouloir compter que sur ses propres forces ? Sa courageuse ambition de redresser seule son secteur bancaire - mission plus que difficile - ne fragilise-t-elle pas l'ensemble de la zone euro ?(lemonde.fr) Au delà du courage ou de l'entêtement je vois dans l'attitude de l'Espagne de la noblesse.
Un tireur embusqué fait deux morts en Finlande
Un homme embusqué sur un toit dans la petite ville finlandaise de Hyvinkaa a ouvert le feu dans la nuit de vendredi à samedi sur les passants, tuant deux personnes et en blessant sept autres avant d'être maîtrisé par la police, a-t-on appris de source policière. Le tireur, âgé de dix-huit ans, s'était installé en tenue de camouflage sur un toit dominant un quartier de bars et de restaurants du centre-ville, d'où il a commencé à tirer peu avant 02h00 (23h00 GMT). Une jeune femme de 18 ans a été tuée sur le coup. Hospitalisée dans un état critique, une autre de ses victimes, un jeune homme du même âge, a succombé à ses blessures samedi. Grièvement blessée, une femme policière était toujours dans un état critique samedi en fin de journée. L'homme, qui avait fui sa position de tir, a été arrêté plus tard dans la nuit. Selon la police, il ne semble pas qu'il ait été motivé par une idéologie particulière. "D'après ses amis, le tireur n'a pas milité politiquement", a précisé Mika Ihaksinen, qui dirige l'enquête pour le Bureau national d'investigation. Le chef de la police régionale, Timo Leppala, a précisé que l'homme, inconnu des services de police, n'avait opposé aucune résistance aux policiers.(fr.reuters.com) C'est tout de même une affaire suspecte.
Source: Yahoo actualités
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Le soutien à la construction européenne a chuté au sein de l'Union européenne depuis l'éclatement de la crise de la dette, mais peu d'habitants de l'UE veulent abandonner l'euro, en particulier les Grecs, selon une étude publiée mardi. Pour cette enquête, menée par le Pew Research Center, un centre d'études basé à Washington, un millier de personnes ont été interrogées entre mi-mars et mi-avril dans des pays membres de la zone euro (Espagne, France, Italie, Allemagne et Grèce) ou pas (Grande-Bretagne, Pologne et République tchèque). Seuls les Allemands, plus importants contributeurs aux plans de sauvetage dont bénéficient l'Irlande, la Grèce et le Portugal, ont vu leur adhésion à l'UE augmenter depuis 2009. Quelque 65%, contre 63% il y a trois ans, considèrent que leur adhésion à l'Union est positive. Dans tous les autres pays où l'étude a été menée, l'UE séduit de moins en moins, en particulier en Espagne où 54% des personnes interrogées doutent de l'intérêt d'appartenir à l'Union. Malgré cette désaffection, 60% des Espagnols veulent garder l'euro, une tendance que l'on retrouve chez tous les membres de la zone, notamment les Grecs.(fr.reuters.com) L'Union Européenne n'est que monaitère voyons.
Pourquoi l'Italie tremble-t-elle autant ?
Pascal Bernard, physicien et sismologue à l'Institut de physique du globe de Paris, revient sur la série de séismes meurtriers dans le nord de l'Italie, à Finale Emilia et Mirandola. Des séismes dans le nord de l'Italie, c'est normal ou exceptionnel ? La série que l'on vient d'observer est plutôt inhabituelle. Certes, on sait, depuis des siècles, que la zone peut générer des séismes de magnitude 6, car des failles ont été identifiées sous la plaine du Pô, mais les séismes en cascade, c'est assez surprenant. Quand une faille casse, elle peut déstabiliser la faille voisine et provoquer - au-delà des répliques -, dans les jours ou les mois suivants, un séisme de la même intensité. Pourquoi cette région est-elle particulièrement sensible ? La plaine du Pô est une zone de contact entre différentes plaques sismiques. Dans la région, les roches de la croûte terrestre sont comprimées par la pression qui s'exerce entre ces plaques. Celles-ci se fracturent et provoquent des failles de grandes dimensions, repérées sous la plaine du Pô. Tout ceci est lié à la remontée vers le nord de la péninsule italienne qui vient, en quelque sorte, emboutir les Alpes. D'année en année, la compression augmente et les failles finissent par rompre. Plus au sud, à l'Aquila, les causes étaient un peu différentes. C'est l'étirement de la chaîne de montagnes des Alpenins, qui se fracturent sous leur propre poids, qui est à l'origine du séisme très meurtrier de 2009.(lemonde.fr) La Terre nous réserve encore de grandes surprises à nous qui pensons tous savoir.
L'Espagne entre courage et entêtement
Fier et ombrageux, Mariano Rajoy s'en va répétant que l'Espagne ne sollicite aucune aide extérieure. Elle n'a pas besoin des mécanismes de sauvegarde de l'eurozone. Elle s'en sortira toute seule, elle ne quémande rien. Bref, sa situation ne s'apparenterait ni à celle du Portugal ou de l'Irlande, encore moins à celle de la Grèce. La belle assurance du chef du gouvernement conservateur fleure bon sa geste donquichottesque. 'Il n'y aura aucun sauvetage européen pour le secteur bancaire espagnol', affirmait-il encore lundi 28 mai, à l'issue d'une journée de tourmente sur les marchés ibériques. Car cela tangue fort autour de l'élégant Mariano Rajoy : l'état des banques espagnoles nourrit une défiance croissante. Et la situation de la quatrième économie de la zone euro pèse sur celle du numéro trois, l'Italie - ce dont on n'a vraiment pas besoin alors que la Grèce est au bord de la rupture. D'où la question que posent nombre d'observateurs : l'Espagne a-t-elle raison de ne vouloir compter que sur ses propres forces ? Sa courageuse ambition de redresser seule son secteur bancaire - mission plus que difficile - ne fragilise-t-elle pas l'ensemble de la zone euro ?(lemonde.fr) Au delà du courage ou de l'entêtement je vois dans l'attitude de l'Espagne de la noblesse.
Un tireur embusqué fait deux morts en Finlande
Un homme embusqué sur un toit dans la petite ville finlandaise de Hyvinkaa a ouvert le feu dans la nuit de vendredi à samedi sur les passants, tuant deux personnes et en blessant sept autres avant d'être maîtrisé par la police, a-t-on appris de source policière. Le tireur, âgé de dix-huit ans, s'était installé en tenue de camouflage sur un toit dominant un quartier de bars et de restaurants du centre-ville, d'où il a commencé à tirer peu avant 02h00 (23h00 GMT). Une jeune femme de 18 ans a été tuée sur le coup. Hospitalisée dans un état critique, une autre de ses victimes, un jeune homme du même âge, a succombé à ses blessures samedi. Grièvement blessée, une femme policière était toujours dans un état critique samedi en fin de journée. L'homme, qui avait fui sa position de tir, a été arrêté plus tard dans la nuit. Selon la police, il ne semble pas qu'il ait été motivé par une idéologie particulière. "D'après ses amis, le tireur n'a pas milité politiquement", a précisé Mika Ihaksinen, qui dirige l'enquête pour le Bureau national d'investigation. Le chef de la police régionale, Timo Leppala, a précisé que l'homme, inconnu des services de police, n'avait opposé aucune résistance aux policiers.(fr.reuters.com) C'est tout de même une affaire suspecte.
Source: Yahoo actualités
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