"Qui est coupable ?", interroge La Repubblica tandis que le Corriere della Sera prévient qu'il n'y aura "pas d'alibis".
Certains quotidiens consacrent leurs dix premières pages, voire davantage, à l'accident, l'un des plus graves dans l'histoire récente de l'Italie.
Le train, qui transportait du gaz liquéfié (GPL), a déraillé lundi peu avant minuit. L'accident a provoqué une explosion puis un incendie dont le bilan s'est alourdi à 17 morts après le décès à l'hôpital d'une fillette âgée de trois ans, d'un garçonnet de deux ans et d'un homme.
Vingt-sept blessés sont toujours soignés, dont un grand nombre dans un état grave.
Le ministre des Infrastructures, Altero Matteoli, a informé le parlement que des contrôles et vérifications étaient en cours.
L'enquête doit notamment déterminer si la déformation de l'essieu d'un wagon est à l'origine de l'accident, une des pistes avancées dans les médias.
Le convoi était conduit par un employé des Ferrovie dello Stato (FS, la compagnie publique des chemins de fer italiens). Le wagon à l'essieu suspect appartient à une filiale du groupe américain GATX Corp.
Dans les colonnes du Corriere della Sera, Roberto Fochesato, le conducteur du train, affirme : "Nous n'avons commis aucune erreur. Nous nous sommes retrouvés en enfer, mais ce n'était pas ma faute."
La filiale de GATX a indiqué, elle, que les wagons-citernes étaient neufs et écrit dans un communiqué ne voir "à ce stade aucun lien entre nos wagons et les causes de l'accident".
Sur les lieux du drame, dans cette station balnéaire de la côte méditerranéenne, les secours ont suspendu mercredi leurs recherches dans les décombres des maisons ravagées par les flammes.
Une personne est toujours portée disparue mais un sauveteur a indiqué qu'elle était probablement parmi les cadavres pas encore été identifiés.
Viareggio est le plus grave accident ferroviaire en Italie depuis janvier 2005. Dix-sept personnes avaient péri dans la collision entre un train voyageur et un convoi de marchandises près de Bologne, dans le nord de l'Italie.
Source: Reuters via Yahoo News
Certains quotidiens consacrent leurs dix premières pages, voire davantage, à l'accident, l'un des plus graves dans l'histoire récente de l'Italie.
Le train, qui transportait du gaz liquéfié (GPL), a déraillé lundi peu avant minuit. L'accident a provoqué une explosion puis un incendie dont le bilan s'est alourdi à 17 morts après le décès à l'hôpital d'une fillette âgée de trois ans, d'un garçonnet de deux ans et d'un homme.
Vingt-sept blessés sont toujours soignés, dont un grand nombre dans un état grave.
Le ministre des Infrastructures, Altero Matteoli, a informé le parlement que des contrôles et vérifications étaient en cours.
L'enquête doit notamment déterminer si la déformation de l'essieu d'un wagon est à l'origine de l'accident, une des pistes avancées dans les médias.
Le convoi était conduit par un employé des Ferrovie dello Stato (FS, la compagnie publique des chemins de fer italiens). Le wagon à l'essieu suspect appartient à une filiale du groupe américain GATX Corp.
Dans les colonnes du Corriere della Sera, Roberto Fochesato, le conducteur du train, affirme : "Nous n'avons commis aucune erreur. Nous nous sommes retrouvés en enfer, mais ce n'était pas ma faute."
La filiale de GATX a indiqué, elle, que les wagons-citernes étaient neufs et écrit dans un communiqué ne voir "à ce stade aucun lien entre nos wagons et les causes de l'accident".
Sur les lieux du drame, dans cette station balnéaire de la côte méditerranéenne, les secours ont suspendu mercredi leurs recherches dans les décombres des maisons ravagées par les flammes.
Une personne est toujours portée disparue mais un sauveteur a indiqué qu'elle était probablement parmi les cadavres pas encore été identifiés.
Viareggio est le plus grave accident ferroviaire en Italie depuis janvier 2005. Dix-sept personnes avaient péri dans la collision entre un train voyageur et un convoi de marchandises près de Bologne, dans le nord de l'Italie.
Source: Reuters via Yahoo News
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