L'annonce des résultats a été saluée par des feux d'artifices et des scènes de liesse et d'embrassades à Caracas, plongée dans un concert de klaxons. Les caravanes de militants chavistes aux motos pétaradantes s'étaient évanouies.
Des milliers de personnes ont dansé toute la nuit de dimanche à lundi sur la place Altamira, l'une des principales de la capitale, où des hauts-parleurs crachaient à plein volume des tubes américains.
"Cela fait longtemps qu'on attendait ce moment. C'est le début de la chute de Chavez. On a démontré qu'on pouvait le battre", a déclaré à l'AFP Edwin Sanchez, 27 ans, l'un des nombreux étudiants qui ont incarné la contestation.
Pour Anna Camelo, une commerçante menue de 39 ans, "les gens n'en pouvaient plus de sa paranoïa perpétuelle". "Il voulait nous imposer une dictature et se couper de tous les pays", a-t-elle estimé.
Orné de l'inscription "pourquoi tu ne tais pas ?", en référence à la colère récente du roi d'Espagne contre M. Chavez, son T-shirt a fait un énorme tabac à Caracas. Aux cris de "liberté", de multiples rassemblements se sont tenus dans le reste du pays.
La presse espagnole soulignait lundi "la leçon" infligée à l'homme fort du Venezuela, tandis que le ministre des Affaires étrangères Miguel Angel Moratinos félicitait "la société vénézuélienne pour sa maturité démocratique".
La réforme, défendue par M. Chavez, lui conférait le droit de se présenter indéfiniment à la présidentielle et de censurer la presse en situation de crise, tout en instituant une économie collectiviste.
"Chavez a surestimé sa puissance. Il a surestimé la capacité à pouvoir endosser une réforme qui était rejetée dès le début", a expliqué à l'AFP le politologue Vincente Leon, estimant que ce projet était "trop radical".
Source Yahoo news pour lire tous les détails de cette info
Des milliers de personnes ont dansé toute la nuit de dimanche à lundi sur la place Altamira, l'une des principales de la capitale, où des hauts-parleurs crachaient à plein volume des tubes américains.
"Cela fait longtemps qu'on attendait ce moment. C'est le début de la chute de Chavez. On a démontré qu'on pouvait le battre", a déclaré à l'AFP Edwin Sanchez, 27 ans, l'un des nombreux étudiants qui ont incarné la contestation.
Pour Anna Camelo, une commerçante menue de 39 ans, "les gens n'en pouvaient plus de sa paranoïa perpétuelle". "Il voulait nous imposer une dictature et se couper de tous les pays", a-t-elle estimé.
Orné de l'inscription "pourquoi tu ne tais pas ?", en référence à la colère récente du roi d'Espagne contre M. Chavez, son T-shirt a fait un énorme tabac à Caracas. Aux cris de "liberté", de multiples rassemblements se sont tenus dans le reste du pays.
La presse espagnole soulignait lundi "la leçon" infligée à l'homme fort du Venezuela, tandis que le ministre des Affaires étrangères Miguel Angel Moratinos félicitait "la société vénézuélienne pour sa maturité démocratique".
La réforme, défendue par M. Chavez, lui conférait le droit de se présenter indéfiniment à la présidentielle et de censurer la presse en situation de crise, tout en instituant une économie collectiviste.
"Chavez a surestimé sa puissance. Il a surestimé la capacité à pouvoir endosser une réforme qui était rejetée dès le début", a expliqué à l'AFP le politologue Vincente Leon, estimant que ce projet était "trop radical".
Source Yahoo news pour lire tous les détails de cette info
À lire également :
-
Vague d'arrestations de membres de Hadash en Israël
-
USA Le socialisme bat au cœur du pays de la discrimination capitaliste
-
Quelques éléments sur les résultats du Parti Communiste de Grèce
-
Enseignants, fonctionnaires, cheminots et bien d'autres participent à la plus grande grève depuis plus d'une décennie
-
Bonnes fêtes de Fin d'année à toute l'équipe et à tous les lecteurs d'Editoweb et Rendez-Vous en 2023 - Prenez soin de vous !