Le premier geste du chef du Parti libéral a été de proclamer l'adhésion de la Pologne à la Charte des droits fondamentaux, le Parti Libéral étant européïste. Ratifiée par seulement 18 États de l'Union européenne, la Charte des droits fondamentaux n'a pas encore de valeur contraignante d'un point de vue juridique. Le traité modificatif Euratom, approuvé par le Conseil européen de Lisbonne, le 19 octobre 2007 devant la lui conférer, exception faite de la Pologne et du Royaume uni.
Malgré leur écrasante défaite aux élections législatives de dimanche, Lech Kaczynski, Président de la république, va rester au pouvoir jusqu'à la fin 2010.
La droite polonaise selon le quotidien Libération (actualite/monde/286192.FR.):
Elle représente la Pologne du pape et de Solidarité, celle qui a renversé le communisme. Cette mouvance s’est clairement affirmée en tant que droite en faisant sienne la doctrine de l’Eglise catholique, dès 1991. Mais elle a toujours été hétérogène, rassemblant des chrétiens sociaux partisans d’une certaine forme d’autogestion, des libéraux favorables à la dérégulation économique, des nationalistes passéistes. Les libéraux, qui ont assumé le pouvoir après la fin du communisme, ont chuté sur la thérapie de choc du ministre des Finances Leszek Balcerowicz, qui avait fréquenté à Gdansk, dans les années 80, les mêmes cercles politiques que l’actuel numéro 1 de la PO, Donald Tusk. Face au coût social des réformes, les Polonais ont rappelé les ex-communistes, qui en menant pratiquement la même politique, ont conduit leur pays au sein de l’Union européenne. Ce but atteint, la gauche engluée dans les scandales, le débat sur les valeurs a été rouvert ...
Malgré leur écrasante défaite aux élections législatives de dimanche, Lech Kaczynski, Président de la république, va rester au pouvoir jusqu'à la fin 2010.
La droite polonaise selon le quotidien Libération (actualite/monde/286192.FR.):
Elle représente la Pologne du pape et de Solidarité, celle qui a renversé le communisme. Cette mouvance s’est clairement affirmée en tant que droite en faisant sienne la doctrine de l’Eglise catholique, dès 1991. Mais elle a toujours été hétérogène, rassemblant des chrétiens sociaux partisans d’une certaine forme d’autogestion, des libéraux favorables à la dérégulation économique, des nationalistes passéistes. Les libéraux, qui ont assumé le pouvoir après la fin du communisme, ont chuté sur la thérapie de choc du ministre des Finances Leszek Balcerowicz, qui avait fréquenté à Gdansk, dans les années 80, les mêmes cercles politiques que l’actuel numéro 1 de la PO, Donald Tusk. Face au coût social des réformes, les Polonais ont rappelé les ex-communistes, qui en menant pratiquement la même politique, ont conduit leur pays au sein de l’Union européenne. Ce but atteint, la gauche engluée dans les scandales, le débat sur les valeurs a été rouvert ...
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