Le vendredi 24 juillet un léger bruit fait sursauter le capitaine lorsqu'une dizaine d'hommes affirmant appartenir à la police antidrogue suédoise, masqués et armés jusqu'aux dents, montent à bord. Après avoir ligoté et bâillonné les marins, le groupe fouille le navire pendant douze heures avant de le quitter au moyen d'un canot pneumatique, apparemment les mains vides. L'attaque est rapportée par radio à la police maritime suédoise. Les autorités de Stockholm affirment ne pas être au courant d'une telle opération antidrogue.
Le bateau continue son chemin comme si de rien n'était : la mer du Nord, le détroit de Douvres, l'île de Wight, les Cornouailles et l'Atlantique, à destination, semble-t-il, de l'Afrique de l'Ouest, au lieu de traverser, comme prévu, le détroit de Gibraltar. Le dernier contact remonte au 28 juillet, à 2 h 52, quand le navire, qui croise dans la Manche, contacte les gardes-côtes de Douvres. Dans la nuit du 29 au 30 juillet, il est repéré au large de Brest. Depuis, la trace du bâtiment a été perdue. Sa disparition inexpliquée défraye aujourd'hui la chronique maritime et policière, comme l'atteste le mandat de recherche lancé par Interpol.
'C'est incroyable qu'au XXIe siècle un navire puisse être détourné par des pirates, dans l'une des zones les plus fréquentées, sans que personne ne semble connaître sa localisation précise ou qui est aux commandes', s'insurge Matt Dickinson, du syndicat de marins anglo-néerlandais Nautilus International, devant 'les graves lacunes de la sécurité nationale et internationale'.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr
Source: Le Monde via Yahoo News
Le bateau continue son chemin comme si de rien n'était : la mer du Nord, le détroit de Douvres, l'île de Wight, les Cornouailles et l'Atlantique, à destination, semble-t-il, de l'Afrique de l'Ouest, au lieu de traverser, comme prévu, le détroit de Gibraltar. Le dernier contact remonte au 28 juillet, à 2 h 52, quand le navire, qui croise dans la Manche, contacte les gardes-côtes de Douvres. Dans la nuit du 29 au 30 juillet, il est repéré au large de Brest. Depuis, la trace du bâtiment a été perdue. Sa disparition inexpliquée défraye aujourd'hui la chronique maritime et policière, comme l'atteste le mandat de recherche lancé par Interpol.
'C'est incroyable qu'au XXIe siècle un navire puisse être détourné par des pirates, dans l'une des zones les plus fréquentées, sans que personne ne semble connaître sa localisation précise ou qui est aux commandes', s'insurge Matt Dickinson, du syndicat de marins anglo-néerlandais Nautilus International, devant 'les graves lacunes de la sécurité nationale et internationale'.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr
Source: Le Monde via Yahoo News
À lire également :
-
La BCE optimiste sur un retour de l'inflation à 2% en 2025
-
Crise en Géorgie : Les manifestations pro-UE s'intensifient, Bruxelles hausse le ton
-
Géorgie : Les manifestations pro-européennes réprimées, plus de 220 arrestations
-
Élection présidentielle en Roumanie : Marcel Ciolacu reconnaît sa défaite face à des résultats inattendus
-
Inondations en Espagne : 219 morts et 93 disparus