"Faire des choix, c'est ce que je ferai avec le gouvernement de Manuel Valls. C'est ce que je ferai jusqu'au bout de mon mandat, sans calcul ni répit" a-t-il indiqué, spécifiant ainsi qu'il ne formera pas de nouveau gouvernement d'ici à la fin de son mandat présidentiel, même si la porte du Gouvernement est ouverte aux écologistes qui le souhaitent.
Mauvais point pour le président : son souhait annoncé d'être "à la hauteur", ce qui fait que les Français ont eu la désagréable impression qu'ils pouvaient élire un incompétent. Si ce n'est un venin distillé à l'intention de son adversaire de campagne présidentielle 2017 (j'ai été plus à la hauteur que vous, cher adversaire), à quoi cela peut-il bien servir ?
A propos de l'inversion de la courbe du chômage, comme condition à sa candidature aux élections présidentielles 2017, il a annoncé : "J'ai dit qu'il fallait que ce soit sur une période suffisamment significative, pour que ce soit crédible, si c'est sur un mois, ça ne sera pas regardé comme étant l'élément déterminant, surtout quand on connaît la fluctuation des statistiques. Donc ce sera sur une période plus longue." Une façon de laisser planer l'incertitude et, pourquoi pas, d'abonner les électeurs à un sort funeste, lequel surviendrait après l'élection du FN.
Pour ce qui concerne les primaires au PS, François Hollande de réfugie derrière son devoir qui est d'agir et non pas de se préoccuper de "procédures qui ne sont même pas encore introduites par les partis politiques." "pas de regrets" en 2017.
Quant à la crise migratoire qui s'est amplifiée ces dernières semaines, François Hollande a précisé que la France accueillera 24 000 réfugiés sur 2 ans, provoquant des réactions indignées de la part des responsables politiques de la droite dure et de l'extrême droite. L'annonce vols de reconnaissance en prévision de bombardements sur les territoires de l'EI a été accueillie diversement. La moitié de cette conférence a été consacrée à la politique étrangère.
Mauvais point pour le président : son souhait annoncé d'être "à la hauteur", ce qui fait que les Français ont eu la désagréable impression qu'ils pouvaient élire un incompétent. Si ce n'est un venin distillé à l'intention de son adversaire de campagne présidentielle 2017 (j'ai été plus à la hauteur que vous, cher adversaire), à quoi cela peut-il bien servir ?
A propos de l'inversion de la courbe du chômage, comme condition à sa candidature aux élections présidentielles 2017, il a annoncé : "J'ai dit qu'il fallait que ce soit sur une période suffisamment significative, pour que ce soit crédible, si c'est sur un mois, ça ne sera pas regardé comme étant l'élément déterminant, surtout quand on connaît la fluctuation des statistiques. Donc ce sera sur une période plus longue." Une façon de laisser planer l'incertitude et, pourquoi pas, d'abonner les électeurs à un sort funeste, lequel surviendrait après l'élection du FN.
Pour ce qui concerne les primaires au PS, François Hollande de réfugie derrière son devoir qui est d'agir et non pas de se préoccuper de "procédures qui ne sont même pas encore introduites par les partis politiques." "pas de regrets" en 2017.
Quant à la crise migratoire qui s'est amplifiée ces dernières semaines, François Hollande a précisé que la France accueillera 24 000 réfugiés sur 2 ans, provoquant des réactions indignées de la part des responsables politiques de la droite dure et de l'extrême droite. L'annonce vols de reconnaissance en prévision de bombardements sur les territoires de l'EI a été accueillie diversement. La moitié de cette conférence a été consacrée à la politique étrangère.
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