«Fictions». «Tout était faux. C'était une fiction», a déclaré DiPascali, qui risque 125 ans de prison et la saisie de la majeure partie de ses biens. A moins d'une indulgence des autorités en échange de sa coopération, à laquelle il a promis de consacrer «toute [son]énergie». En attendant, l'Italo-Américain restera derrière les barreaux jusqu'à l'énoncé de sa sentence, prévu en mai 2010.
DiPascali n'était encore qu'un «gamin du Queens», fraîchement sorti du lycée, quand il rencontre l'étoile montante de Wall Street en 1975. Avant de décrocher le poste de directeur financier, il travaille comme analyste, trader. Un «gars qui concrètement faisait ce qu'on lui demandait de faire». Selon les inspecteurs de la SEC (Securities and Exchange Commission), à qui il a avoué avoir menti sous serment «pour qu'ils abandonnent la piste», son implication dans la fraude débute dès les années 80.
DiPascali reconnaît avoir eu un rôle central : «Régulièrement, j'ajoutais des transactions fictives dans les relevés de compte [des clients, ndlr], je savais qu'aucune transaction n'avait lieu.» D'anciennes données boursières récupérées sur Internet étaient utilisées pour créer de faux registres d'échanges, et des transferts d'argent étaient régulièrement effectués entre les bureaux londonien et new-yorkais de la firme pour donner l'impression que Madoff Investment Securities empochait des commissions sur des opérations de... lire la suite de l'article sur Libération.fr
Source: Libération via Yahoo News
DiPascali n'était encore qu'un «gamin du Queens», fraîchement sorti du lycée, quand il rencontre l'étoile montante de Wall Street en 1975. Avant de décrocher le poste de directeur financier, il travaille comme analyste, trader. Un «gars qui concrètement faisait ce qu'on lui demandait de faire». Selon les inspecteurs de la SEC (Securities and Exchange Commission), à qui il a avoué avoir menti sous serment «pour qu'ils abandonnent la piste», son implication dans la fraude débute dès les années 80.
DiPascali reconnaît avoir eu un rôle central : «Régulièrement, j'ajoutais des transactions fictives dans les relevés de compte [des clients, ndlr], je savais qu'aucune transaction n'avait lieu.» D'anciennes données boursières récupérées sur Internet étaient utilisées pour créer de faux registres d'échanges, et des transferts d'argent étaient régulièrement effectués entre les bureaux londonien et new-yorkais de la firme pour donner l'impression que Madoff Investment Securities empochait des commissions sur des opérations de... lire la suite de l'article sur Libération.fr
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