La Roumanie, porte de sortie de l'enfer pour des milliers de réfugiés
(De Timisoara) A l’ouest de la Roumanie, le Centre de transit en régime d’urgence de Timisoara accueille des centaines de réfugiés en provenance de zones de conflits. Cette structure mise en place en coopération avec les Nations unies est unique au monde. Pendant quelques mois, elle aide les naufragés des guerres à reprendre pied et à se préparer une nouvelle vie. Avant novembre dernier, Aseb ne savait même pas placer la Roumanie sur une carte. Aujourd’hui, ce jeune Erythréen voit dans ce pays, pourtant à l’opposé de sa culture et de ses traditions, un tremplin vers une nouvelle vie. A 29 ans, Aseb est arrivé au centre de Timisoara après avoir échappé deux fois à l’enfer. Il a d’abord fui le service militaire forcé dans son pays natal, d’une durée illimitée. Installé en Libye, il est alors devenu la cible de la population dès les débuts de la révolte contre Kadhafi : comme la plupart des Sub-Sahariens, on le soupçonnait d’être un mercenaire à la solde du raïs. Plusieurs d'entre eux ont d’ailleurs été torturés, voire tués.(rue89.com) Ce centre qui accueille les refugiés est la preuve que l'Homme est capable du pire comme du meilleur.
600 euros d'amende pour avoir montré ses fesses à Elizabeth II
Un Australien devra payer une amende de plus de 600 euros pour avoir montré ses fesses à la reine d'Angleterre lors de sa visite en octobre dernier, mais il a prévenu mardi qu'il recommencerait. Liam Warriner, 22 ans, barman à Sydney, était poursuivi pour trouble à l'ordre public, lors de la visite d'Elizabeth II en Australie à l'automne 2011. Il a comparu devant le tribunal de Brisbane (ouest) et plaidé coupable. La cour lui a infligé mardi une amende de 750 dollars australiens (609 euros). Lorsque le cortège royal d'Elizabeth II traversait la ville de Brisbane, capitale de l'Etat du Queensland, Liam Warriner a baissé son pantalon et couru une cinquantaine de mètres à hauteur des motards de l'escorte, avec un drapeau australien fiché entre les fesses, selon l'agence Australian Associated Press. Il a expliqué à la police que son geste était une protestation politique pour montrer son mépris envers la monarque et les élites, a-t-il été dit au juge lors du procès.(liberation.fr) Il est déjà tout à fait indécent de montrer son postérieur en public, le fait de le montrer à un grand monarque est signe de manque d'estime de soi et d'une grande grossièreté.
En Grèce, "ça ne vaut plus le coup de travailler, autant manifester"
Les manifestations violentes dans la nuit de dimanche à lundi en Grèce marquent un tournant. Pour les Grecs, le plan d'austérité vise à rassurer les marchés, mais en aucun cas à aider la population. Reportage. Vera, les yeux rougis par les gaz lacrymogènes, lorgne avec une colère mal contenue vers le parlement grec à Athènes. Il trône comme le palais qu'il était, distant de la plèbe qui depuis des jours le vomit, "c'est tous des voleurs, ils ne pensent qu'à leur siège" souffle la quinquagénaire, visiblement épuisée par des heures de manifestation musclée. "Faites partir les Mat -les forces anti-meutes- qui les gardent et vous verrez, je ne donne pas cher de leur peau". A côté, son mari aussi fatigué qu'elle, essaie de la réconforter. Il la prend dans ses bras et tente de la rassurer. "Ca va aller. On s'en sortira". Il n'est pas vraiment convaincu mais il essaie d'y croire.(l'express.fr) Quand le peuple gagne plus à manifester qu'à travailler, c'est que son seuil de tolérance est dépassé. A quoi sert de gouverner la cité si les citadins dépérissent? C'est l'ensemble de la classe politique européenne qui devrait se remettre en question.
Source: Yahoo actualités
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(De Timisoara) A l’ouest de la Roumanie, le Centre de transit en régime d’urgence de Timisoara accueille des centaines de réfugiés en provenance de zones de conflits. Cette structure mise en place en coopération avec les Nations unies est unique au monde. Pendant quelques mois, elle aide les naufragés des guerres à reprendre pied et à se préparer une nouvelle vie. Avant novembre dernier, Aseb ne savait même pas placer la Roumanie sur une carte. Aujourd’hui, ce jeune Erythréen voit dans ce pays, pourtant à l’opposé de sa culture et de ses traditions, un tremplin vers une nouvelle vie. A 29 ans, Aseb est arrivé au centre de Timisoara après avoir échappé deux fois à l’enfer. Il a d’abord fui le service militaire forcé dans son pays natal, d’une durée illimitée. Installé en Libye, il est alors devenu la cible de la population dès les débuts de la révolte contre Kadhafi : comme la plupart des Sub-Sahariens, on le soupçonnait d’être un mercenaire à la solde du raïs. Plusieurs d'entre eux ont d’ailleurs été torturés, voire tués.(rue89.com) Ce centre qui accueille les refugiés est la preuve que l'Homme est capable du pire comme du meilleur.
600 euros d'amende pour avoir montré ses fesses à Elizabeth II
Un Australien devra payer une amende de plus de 600 euros pour avoir montré ses fesses à la reine d'Angleterre lors de sa visite en octobre dernier, mais il a prévenu mardi qu'il recommencerait. Liam Warriner, 22 ans, barman à Sydney, était poursuivi pour trouble à l'ordre public, lors de la visite d'Elizabeth II en Australie à l'automne 2011. Il a comparu devant le tribunal de Brisbane (ouest) et plaidé coupable. La cour lui a infligé mardi une amende de 750 dollars australiens (609 euros). Lorsque le cortège royal d'Elizabeth II traversait la ville de Brisbane, capitale de l'Etat du Queensland, Liam Warriner a baissé son pantalon et couru une cinquantaine de mètres à hauteur des motards de l'escorte, avec un drapeau australien fiché entre les fesses, selon l'agence Australian Associated Press. Il a expliqué à la police que son geste était une protestation politique pour montrer son mépris envers la monarque et les élites, a-t-il été dit au juge lors du procès.(liberation.fr) Il est déjà tout à fait indécent de montrer son postérieur en public, le fait de le montrer à un grand monarque est signe de manque d'estime de soi et d'une grande grossièreté.
En Grèce, "ça ne vaut plus le coup de travailler, autant manifester"
Les manifestations violentes dans la nuit de dimanche à lundi en Grèce marquent un tournant. Pour les Grecs, le plan d'austérité vise à rassurer les marchés, mais en aucun cas à aider la population. Reportage. Vera, les yeux rougis par les gaz lacrymogènes, lorgne avec une colère mal contenue vers le parlement grec à Athènes. Il trône comme le palais qu'il était, distant de la plèbe qui depuis des jours le vomit, "c'est tous des voleurs, ils ne pensent qu'à leur siège" souffle la quinquagénaire, visiblement épuisée par des heures de manifestation musclée. "Faites partir les Mat -les forces anti-meutes- qui les gardent et vous verrez, je ne donne pas cher de leur peau". A côté, son mari aussi fatigué qu'elle, essaie de la réconforter. Il la prend dans ses bras et tente de la rassurer. "Ca va aller. On s'en sortira". Il n'est pas vraiment convaincu mais il essaie d'y croire.(l'express.fr) Quand le peuple gagne plus à manifester qu'à travailler, c'est que son seuil de tolérance est dépassé. A quoi sert de gouverner la cité si les citadins dépérissent? C'est l'ensemble de la classe politique européenne qui devrait se remettre en question.
Source: Yahoo actualités
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