Pour autant, le président américain n'a pas manqué de critiquer les opposants républicains à sa réforme qui tentent de bloquer la transformation de la couverture de santé des Américains, de tuer la réforme, pour en tirer un gain politique, selon lui.
"Je crois qu'il y aura assez de votes pour faire passer pas simplement un texte quelconque sur les soins, mais un bon texte qui aidera la population américaine, réduira les coûts, et assurera un contrôle à long terme de notre déficit. J'ai confiance, nous avons cela" a déclaré le chef de la Maison Blanche sur la chaîne de télévision CBS dans un entretien enregistré à l'avance.
"Je ne vois pas l'intérêt de faire passer une loi qui échoue, a-t-il souligné lors de l'émission. Vous savez, j'ai l'intention d'être président pendant un bon bout de temps, et quand cette loi sera passée, elle sera mienne", a-t-il poursuivi.
Le président tente aussi de donner un espace aux Républicains en se disant ouvert à leurs idées. Il accepterait par exemple de prendre en compte le risque pour les médecins, qui doivent s'assurer pour des montants considérables au cas où ils seraient condamnés pour des actes de leur responsabilité. Le système actuel augmente inutilement le prix de la médecine du fait de son versant juridique, les médecins prescrivant des actes à seule fin de se protéger de poursuites potentielles. "Je suis prêt à prendre en considération toute idée qui marche pour réduire les coûts, améliorer les soins que reçoivent les malades", affirme Obama dans son entretien, enregistré vendredi.
Dans la foulée de son intervention mercredi devant le Congrès, le chef de la Maison Blanche a souligné samedi à Minneapolis qu'il ne se laisserait pas intimider par les divers groupes de pressions et représentants d'intérêts particuliers, eux et leurs "mêmes vieilles tactiques pour laisser les choses exactement en l'état".
Barack Obama a expliqué lors de son rassemblement devant 15.000 personnes que sa "porte est toujours ouverte" pour ceux qui viennent le "voir avec un ensemble de propositions sérieuses". Le nombre de personnes dépourvues de couverture médicale est passé de 45,7 millions en 2007 à 46,3 millions en 2008, a-t-il rappelé en citant de récentes études du le Département du Travail et de l'Office national des statistiques.
C'est pourquoi Barack Obama n'acceptera "pas le statu quo. Pas cette fois". Et, a-t-il averti, il ne perdra pas de temps avec des gens qui préfèrent "tuer ce plan plutôt que l'améliorer".
Source: Associated Presse via Yahoo News
"Je crois qu'il y aura assez de votes pour faire passer pas simplement un texte quelconque sur les soins, mais un bon texte qui aidera la population américaine, réduira les coûts, et assurera un contrôle à long terme de notre déficit. J'ai confiance, nous avons cela" a déclaré le chef de la Maison Blanche sur la chaîne de télévision CBS dans un entretien enregistré à l'avance.
"Je ne vois pas l'intérêt de faire passer une loi qui échoue, a-t-il souligné lors de l'émission. Vous savez, j'ai l'intention d'être président pendant un bon bout de temps, et quand cette loi sera passée, elle sera mienne", a-t-il poursuivi.
Le président tente aussi de donner un espace aux Républicains en se disant ouvert à leurs idées. Il accepterait par exemple de prendre en compte le risque pour les médecins, qui doivent s'assurer pour des montants considérables au cas où ils seraient condamnés pour des actes de leur responsabilité. Le système actuel augmente inutilement le prix de la médecine du fait de son versant juridique, les médecins prescrivant des actes à seule fin de se protéger de poursuites potentielles. "Je suis prêt à prendre en considération toute idée qui marche pour réduire les coûts, améliorer les soins que reçoivent les malades", affirme Obama dans son entretien, enregistré vendredi.
Dans la foulée de son intervention mercredi devant le Congrès, le chef de la Maison Blanche a souligné samedi à Minneapolis qu'il ne se laisserait pas intimider par les divers groupes de pressions et représentants d'intérêts particuliers, eux et leurs "mêmes vieilles tactiques pour laisser les choses exactement en l'état".
Barack Obama a expliqué lors de son rassemblement devant 15.000 personnes que sa "porte est toujours ouverte" pour ceux qui viennent le "voir avec un ensemble de propositions sérieuses". Le nombre de personnes dépourvues de couverture médicale est passé de 45,7 millions en 2007 à 46,3 millions en 2008, a-t-il rappelé en citant de récentes études du le Département du Travail et de l'Office national des statistiques.
C'est pourquoi Barack Obama n'acceptera "pas le statu quo. Pas cette fois". Et, a-t-il averti, il ne perdra pas de temps avec des gens qui préfèrent "tuer ce plan plutôt que l'améliorer".
Source: Associated Presse via Yahoo News
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