Les quelque 700 soldats du groupe Kokang sont passés en Chine et ont déposé les armes, selon l'organisation américaine Campagne pour la Birmanie.
Les combats avaient semé le chaos dans cette région frontalière de la province chinoise du Yunnan, poussant des dizaines de milliers de personnes à se réfugier en Chine.
Le gouvernement de Rangoun a confirmé que la situation connaissait "un retour à la normale", que les forces de sécurité avaient rétabli la paix et que le pouvoir local avait été confié à une administration intérimaire.
La télévision et la radio d'Etat, porte-parole du gouvernement militaire, ont indiqué que 26 policiers et soldats ont été tués et que 47 ont été blessés.
Le gouvernement birman cherchait à déloger le groupe rebelle dont les forces armées tiennent cette région montagneuse, à l'économie basée sur le trafic de drogue et les jeux.
"L'armée du Kokang s'est effondrée. Nous sommes tous en fuite", a dit Chen Bo, réfugié dans la ville frontière chinoise de Nansan et mercenaire au service du groupe Kokang.
"L'armée birmane était très forte et a gagné, mais diriger le Kokang est très difficile", a-t-il souligné.
La Birmanie veut que les groupes ethniques participent aux élections l'an prochain, les premières depuis deux décennies. Des observateurs disent que le refus des rebelles d'intégrer l'armée régulière sont un élément déclencheur des combats.
La Chine et son voisin devront maintenant se mettre d'accord sur la gestion de cette région et des réfugiés. Selon un responsable politique du Yunnan, environ 30.000 personnes ont passé la frontière et deux Chinois ont été tués dans les combats.
Certains réfugiés ont commencé à rentrer en Birmanie dimanche après la fin des combats, selon l'agence Chine nouvelle
Source: Reuters via Yahoo News
Les combats avaient semé le chaos dans cette région frontalière de la province chinoise du Yunnan, poussant des dizaines de milliers de personnes à se réfugier en Chine.
Le gouvernement de Rangoun a confirmé que la situation connaissait "un retour à la normale", que les forces de sécurité avaient rétabli la paix et que le pouvoir local avait été confié à une administration intérimaire.
La télévision et la radio d'Etat, porte-parole du gouvernement militaire, ont indiqué que 26 policiers et soldats ont été tués et que 47 ont été blessés.
Le gouvernement birman cherchait à déloger le groupe rebelle dont les forces armées tiennent cette région montagneuse, à l'économie basée sur le trafic de drogue et les jeux.
"L'armée du Kokang s'est effondrée. Nous sommes tous en fuite", a dit Chen Bo, réfugié dans la ville frontière chinoise de Nansan et mercenaire au service du groupe Kokang.
"L'armée birmane était très forte et a gagné, mais diriger le Kokang est très difficile", a-t-il souligné.
La Birmanie veut que les groupes ethniques participent aux élections l'an prochain, les premières depuis deux décennies. Des observateurs disent que le refus des rebelles d'intégrer l'armée régulière sont un élément déclencheur des combats.
La Chine et son voisin devront maintenant se mettre d'accord sur la gestion de cette région et des réfugiés. Selon un responsable politique du Yunnan, environ 30.000 personnes ont passé la frontière et deux Chinois ont été tués dans les combats.
Certains réfugiés ont commencé à rentrer en Birmanie dimanche après la fin des combats, selon l'agence Chine nouvelle
Source: Reuters via Yahoo News
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