Le leader de l'opposition en biélorussie, Tikhanovskaya, affirme que le pouvoir du président Loukachenko est fortement affaibli. Elle condamne fortement l'ingérence de la Russie dans cette affaire. En effet, Le chef du Kremlin, V. Poutine, a cité les conditions possibles qui pourrait le mener à une intervention.
La politicienne biélorusse de l'opposition Svetlana Tikhanovskaya s'est prononcée sur cette ingérence Russe par rapport au mouvement de contestation qui secoue son pays en ce moment pour tenter de renverser le Président actuel, Alexandre Loukachenko. Lors d'un entretien en live avec une station de radio russe, elle a déclaré qu'il s'agissait d'une crise qui devait être résolue au sein de la Biélorussie elle-même .
"Nous sommes contre l'ingérence russe", a-t-elle déclaré lorsqu'on lui a demandé ce qu'elle pensait de l'utilisation du personnel des médias d'État russes pour soutenir le président Alexandre Loukachenko. A 65 ans, des propagandistes de Moscou étaient venus le voir comme briseurs de grève après que des journalistes biélorusses lui eurent tourné le dos. La Russie elle-même met en garde à plusieurs reprises l'Occident contre toute ingérence dans l'ancienne république soviétique.
Les forces de sécurité russes sont prêtes
Le président biélorusse quant à lui aurait demandé à son homologue Russe d’intervenir directement si la situation le nécessiterait. La Russie garde par conséquent ses forces de sécurité en réserve en cas d'intervention, si l’on devait en arriver jusque-là avait déclaré le président russe Vladimir Poutine.
Il avait toutefois été convenu avec son collègue de Minsk qu'une intervention n'était possible que sous certaines conditions. Citons entre autres
Si la situation viendrait à échapper à tout contrôle et que des éléments extrémistes franchissent certaines frontières en se cachant derrière des slogans politiques ". Notamment des actes de vandalismes, des vols, des voitures incendiées ou des braquages de banques. Le Président Russe, chef du Kremlin, tente de rassurer en affirmant qu'il n'y a pas de besoin en ce sens"
La politicienne biélorusse de l'opposition Svetlana Tikhanovskaya s'est prononcée sur cette ingérence Russe par rapport au mouvement de contestation qui secoue son pays en ce moment pour tenter de renverser le Président actuel, Alexandre Loukachenko. Lors d'un entretien en live avec une station de radio russe, elle a déclaré qu'il s'agissait d'une crise qui devait être résolue au sein de la Biélorussie elle-même .
"Nous sommes contre l'ingérence russe", a-t-elle déclaré lorsqu'on lui a demandé ce qu'elle pensait de l'utilisation du personnel des médias d'État russes pour soutenir le président Alexandre Loukachenko. A 65 ans, des propagandistes de Moscou étaient venus le voir comme briseurs de grève après que des journalistes biélorusses lui eurent tourné le dos. La Russie elle-même met en garde à plusieurs reprises l'Occident contre toute ingérence dans l'ancienne république soviétique.
Les forces de sécurité russes sont prêtes
Le président biélorusse quant à lui aurait demandé à son homologue Russe d’intervenir directement si la situation le nécessiterait. La Russie garde par conséquent ses forces de sécurité en réserve en cas d'intervention, si l’on devait en arriver jusque-là avait déclaré le président russe Vladimir Poutine.
Il avait toutefois été convenu avec son collègue de Minsk qu'une intervention n'était possible que sous certaines conditions. Citons entre autres
Si la situation viendrait à échapper à tout contrôle et que des éléments extrémistes franchissent certaines frontières en se cachant derrière des slogans politiques ". Notamment des actes de vandalismes, des vols, des voitures incendiées ou des braquages de banques. Le Président Russe, chef du Kremlin, tente de rassurer en affirmant qu'il n'y a pas de besoin en ce sens"
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