"Le secrétaire général salue l'accord" qui aidera au "règlement des problèmes au Darfour", a indiqué le service de presse de Ban Ki-moon dans un communiqué.
"Cet accord représente une avancée constructive dans le cadre des efforts continus pour parvenir à une conclusion pacifique dans ce long conflit", selon M. Ban.
Le gouvernement soudanais et des responsables du groupe rebelle le plus actif du Darfour, le Mouvement pour la Justice et l'égalité (JEM), ont conclu mardi à Doha un accord vers une cessation des hostilités dans cette région de l'ouest du Soudan en proie à une sanglante guerre civile.
Les membres du Conseil de sécurité ont également salué l'accord, y voyant "une étape dans la bonne direction", a rapporté l'ambassadeur du Japon à l'ONU, Yukio Takasu, qui préside le Conseil ce mois-ci.
Il a exprimé l'espoir que toutes les parties du conflit au Darfour soient représentées et que le processus de paix soit plus "complet en substance".
Le Darfour, région de l'ouest soudanais, est le théâtre d'une guerre civile qui, depuis 2003, a fait 300.000 morts et 2,7 millions de déplacés selon l'ONU, seulement 10.000 morts d'après Khartoum.
"Cet accord représente une avancée constructive dans le cadre des efforts continus pour parvenir à une conclusion pacifique dans ce long conflit", selon M. Ban.
Le gouvernement soudanais et des responsables du groupe rebelle le plus actif du Darfour, le Mouvement pour la Justice et l'égalité (JEM), ont conclu mardi à Doha un accord vers une cessation des hostilités dans cette région de l'ouest du Soudan en proie à une sanglante guerre civile.
Les membres du Conseil de sécurité ont également salué l'accord, y voyant "une étape dans la bonne direction", a rapporté l'ambassadeur du Japon à l'ONU, Yukio Takasu, qui préside le Conseil ce mois-ci.
Il a exprimé l'espoir que toutes les parties du conflit au Darfour soient représentées et que le processus de paix soit plus "complet en substance".
Le Darfour, région de l'ouest soudanais, est le théâtre d'une guerre civile qui, depuis 2003, a fait 300.000 morts et 2,7 millions de déplacés selon l'ONU, seulement 10.000 morts d'après Khartoum.
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