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27/08/2022 - 11:00

VACCIN COVID : Augmentation des évènements cardiovasculaires chez les moins de 40 ans en Israël


Augmentation des évènements cardiovasculaires chez les moins de 40 ans en Israël au cours du déploiement du vaccin et pendant la troisième vague de COVID-19
 
À RETENIR :
 
Augmentation de plus de 25 % du nombre d’appels d’urgence pour arrêts cardiaques (AC) et syndromes coronariens aigus (SCA) chez les personnes âgées de 16 à 39 ans pendant le déploiement de la vaccination COVID-19 en Israël.
 
Il existe une association robuste et statistiquement significative entre le nombre d’appels hebdomadaires pour AC et pour SCA avec les taux de 1re et 2e doses de vaccin administrées à cette classe d’âge.
 
La surveillance des effets secondaires potentiels des vaccins et des effets du COVID-19 devrait intégrer les données du SMU et d’autres données sanitaires afin d’identifier les tendances en matière de santé publique.
 
Cette étude souligne la nécessité d’une enquête approfondie sur l’association apparente entre l’administration du vaccin COVID-19 et les événements cardiovasculaires indésirables chez les jeunes adultes.
 
 
Augmentation des évènements cardiovasculaires chez les moins de 40 ans en Israël au cours du déploiement du vaccin et pendant la troisième vague de COVID-19

Traduction de l’article https://www.nature.com/articles/s41598-022-10928-z.pdf
 
Des affections cardiovasculaires sont causées par les infections à coronavirus 2019 (COVID-19) et signalées comme des effets secondaires des vaccins COVID-19. Enrichir les systèmes actuels de surveillance de la sécurité des vaccins avec des sources de données supplémentaires peut améliorer la compréhension de la sécurité des vaccins COVID-19.

Utilisant un ensemble unique de données provenant des services médicaux d’urgence nationaux d’Israël (SMU) de 2019 à 2021, l’étude vise à évaluer l’association entre le volume d’appels aux SMU pour arrêts cardiaques (AC) et syndromes coronariens aigus (SCA) dans la population âgée de 16 à 39 ans avec des causes possibles, notamment les taux d’infection et de vaccination COVID-19.

Une augmentation de plus de 25 % a été détectée dans les deux types d’appels (AC et SCA) entre janvier et mai 2021, par rapport aux années 2019-2020. À l’aide de modèles de régression binomiale négative le nombre hebdomadaire d’appels d’urgence était significativement associé aux taux de 1re et 2e doses de vaccin administrées à cette classe d’âge mais n’étaient pas associés aux taux d’infection par la COVID-19.

Bien que n’établissant pas de relation de cause à effet, ces résultats soulèvent des inquiétudes quant à des effets secondaires cardiovasculaires graves non détectés et soulignent la relation causale déjà établie entre les vaccins et la myocardite, une cause fréquente d’arrêt cardiaque inattendu chez les jeunes. La surveillance des effets secondaires potentiels des vaccins et des effets du COVID-19 devrait intégrer les données du SMU et d’autres données sanitaires afin d’identifier les tendances en matière de santé publique (par exemple, l’augmentation du nombre d’appels au SAMU), et investiguer rapidement les causes sous-jacentes potentielles.
 
Les effets indésirables cardiovasculaires, tels que les thromboses (par exemple, la thrombose coronaire), le SCA (syndromes coronariens aigus), l’AC (arrêts cardiaques) et la myocardite ont été identifiés comme des conséquences de l’infection par le coronavirus 2019 (COVID-19) [1-5].

De même, les données provenant des systèmes de surveillance réglementaire et d’auto-déclaration, notamment le Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS) aux États-Unis (US) [6], le Yellow Card System au Royaume-Uni [7] et le système EudraVigilance en Europe [8], associent des effets secondaires cardiovasculaires similaires [9-13] à un certain nombre de vaccins COVID-19 actuellement utilisés.
 
Plus récemment, plusieurs études ont établi une relation de cause à effet probable entre les vaccins à ARN messager (ARNm) BNT162b2 et ARNm-1273 [11, 14-16] ainsi que le vaccin adénovirus (ChAdOx1) [17] avec la myocardite, principalement chez les enfants, les jeunes et les adultes d’âge moyen. L’étude menée par le ministère de la Santé d’Israël, un pays qui a l’un des taux de vaccination les plus élevés au monde, évalue le risque de myocardite après l’administration de la 2e dose du vaccin entre 1 sur 3000 et 1 sur 6 000 chez les hommes âgés de 16 à 24 ans et 1 sur 120 000 chez les hommes de moins de 30 ans [11-13].

Une étude de suivi menée par le Centre américain de contrôle des maladies (CDC) sur la base des systèmes d’auto-déclaration VAERS et V-Safe [18] confirme ces résultats [19]. Le CDC a récemment publié une mise en garde concernant le risque de myocardite lié à la vaccination, mais il a maintenu sa recommandation de vacciner les jeunes individus et les enfants de plus de 12 ans [7]. Des préoccupations similaires sont reflétées par l’exigence de la Food and Drug Administration auprès de Pfizer que la compagnie fournisse plusieurs études de suivi sur les effets à court et à long terme de la myocardite chez les jeunes individus afin d’obtenir l’autorisation complète de ses vaccins [20].
 
Bien que les avantages de la vaccination contre la COVID-19 soient clairs, en particulier pour les populations à haut risque de développer des maladies graves et potentiellement mortelles [15, 21], il est important de mieux comprendre les risques potentiels pour minimiser les dommages éventuels.

Cependant, il est difficile d’évaluer le lien entre la myocardite et d’autres affections cardiovasculaires avec les vaccins COVID-19. Premièrement, les systèmes d’auto-déclarations [22] des événements indésirables sont connus pour leur biais d’auto-déclaration et leurs problèmes de sous-déclaration et de surdéclaration [23-25].

Même l’étude en Israël, qui repose sur une collecte de données plus proactive, mentionne que certains des cas potentiellement pertinents n’ont pas fait l’objet d’une enquête complète.
 
Deuxièmement, la myocardite est une maladie particulièrement insidieuse dont les manifestations sont multiples. Il existe une vaste littérature qui met en évidence des cas asymptomatiques de myocardite, qui sont souvent sous-diagnostiqués [26, 27], ainsi que des cas dans lesquels la myocardite peut être diagnostiquée à tort comme un SCA [28-30].

En outre, plusieurs études approfondies démontrent que la myocardite est une cause majeure de morts subites inattendues chez les adultes de moins de 40 ans, et évaluent qu’elle est responsable de 12 à 20 % de ces décès [26, 31-33]. Ainsi, il est plausible que l’augmentation des taux de myocardite chez les jeunes puisse conduire à une augmentation d’autres événements indésirables cardiovasculaires graves, tels que les AC et les SCA. Des preuves anecdotiques suggèrent que cela pourrait ne pas être une simple préoccupation théorique [16].
 
Troisièmement, les lésions myocardiques et les myocardites sont fréquentes chez les patients infectés par la COVID-19 [26, 34].

Comme les déploiements de vaccins contre le COVID-19 ont souvent lieu dans un contexte d’infections communautaires par la COVID-19, il pourrait être difficile d’identifier si l’augmentation de l’incidence de la myocardite et des événements cardiovasculaires, comme l’AC et le SCA, est due aux infections COVID-19 ou induite par les vaccins COVID-19.

En outre, de telles augmentations peuvent même être causées par d’autres mécanismes causaux sous-jacents indirectement liés au COVID-19, par exemple des patients retardant leur recours aux soins d’urgence en raison de la peur de la pandémie et des mesures de confinement [35].
 
Cette étude vise à explorer comment des sources de données supplémentaires, telles que celles des services médicaux d’urgence (SMU), peuvent compléter les systèmes de surveillance des vaccins à déclaration volontaire pour identifier les tendances de santé publique liées au COVID-19.

Plus particulièrement, l’étude examine l’association entre les incidents liés à l’AC et au SCA dans la population des 16-39 ans, avec deux facteurs de causalité potentiels : les taux d’infection COVID-19 et le déploiement du vaccin COVID-19. L’étude s’appuie sur le système de données de l’Israel National EMS (IEMS) et analyse tous les appels liés à l’AC et au SCA sur une période de deux ans et demi, du 1er janvier 2019 au 20 juin 2021.
 
 
Méthodologie
 
Texte non traduit à retrouver ici : https://www.nature.com/articles/s41598-022-10928-z.pdf
 
Cette étude s’appuie sur un ensemble unique de données concernant tous les appels de SMU pour AC et SCA en Israël sur une période de deux ans et demi, soit 14 mois avant le début de la pandémie de COVID-19, 10 mois qui comprennent deux vagues de la pandémie de COVID-19, et 6 mois avec une troisième vague de la pandémie parallèle au déploiement de la vaccination parmi la population de 16 ans et plus.

Ainsi, cette étude offre une perspective unique permettant d’explorer l’association entre les tendances du volume d’appels pour AC et SCA au cours de la période d’étude et différents facteurs, tels que les taux d’infection au COVID-19 et les taux de vaccination.
 
De plus, comme l’IEMS est une organisation nationale, les données fournissent un accès plus complet à l’incidence respective des événements étudiés. Cela contraste avec l’accès très partiel et biaisé fourni par les systèmes de surveillance par autodéclaration des événements indésirables [23-25], et souligne l’importance d’intégrer des sources de données supplémentaires dans ces systèmes [48]. Cependant, il est important de souligner plusieurs différences significatives entre les appels au SMU pour AC et pour SCA.

En ce qui concerne les AC, il est raisonnable de supposer que les données IEMS incluent presque tous les événements pertinents, puisque les AC impliquent presque toujours l’appel aux SMU. De plus, le diagnostic de l’AC est relativement plus simple. En revanche, pour les SCA, alors que les appels aux SMU comptabilisent une fraction significative de ces événements, l’accès direct à l’hôpital ne sera pas pris en compte dans les données du SMU. En Israël, on estime qu’il s’agit de 50 % de tous les événements.

En outre, le diagnostic des SCA est plus complexe, et bien que les protocoles du SAMU n’aient pas changé pendant la période d’étude, il est raisonnable de supposer un taux plus élevé d’erreurs de diagnostic.
 
La principale conclusion de cette étude concerne l’augmentation de plus de 25 % du nombre d’appels pour AC et SCA chez les personnes âgées de 16 à 39 ans pendant le déploiement de la vaccination COVID-19 en Israël (janvier-mai 2021), par rapport à la même période lors des années précédentes (2019 et 2020).

De plus, il existe une association robuste et statistiquement significative entre le nombre d’appels hebdomadaires pour AC et pour SCA avec les taux de 1re et 2e doses de vaccin administrées à cette classe d’âge. Dans le même temps, aucune association statistiquement significative n’est observée entre les taux d’infection par le COVID-19 et le nombre d’appels pour AC et pour SCA. Ce résultat est conforme à de précédentes conclusions qui montrent que les augmentations de l’incidence globale de l’AC ne sont pas toujours associées aux augmentations des taux d’infection par COVID-19 en population générale [35, 49, 50], ainsi qu’à la stabilité des taux d’hospitalisation liés à l’infarctus du myocarde tout au long de la vague initiale de COVID-19 par rapport aux données de base pré-pandémiques en Israël [51].

Ces résultats sont également reflétés par un rapport sur l’augmentation des visites aux services d’urgence pour des plaintes cardiovasculaires pendant le déploiement de la vaccination en Allemagne [52], ainsi que par l’augmentation des appels au SAMU pour des incidents cardiaques en Écosse [53].
 
L’augmentation des appels pour AC et SCA à partir de début janvier 2021 semble suivre de près l’administration de la deuxième dose de vaccin. Cette observation est conforme aux résultats antérieurs qui associaient des effets indésirables plus importants, notamment la myocardite, à la deuxième dose du vaccin [19].

Une deuxième augmentation du nombre d’appels pour AC et SCA est observée à partir du 18 avril 2021, ce qui semble suivre une augmentation du nombre de doses uniques de vaccination chez des personnes ayant récupéré d’une infection par le COVID-19. Ceci est cohérent avec des résultats précédents qui suggèrent que la réponse immunitaire générée par une dose unique chez des individus guéris est généralement plus forte que la réponse à la deuxième dose de vaccin chez les individus qui n’ont pas été exposés à l’infection par la COVID-19 [54]. De plus, il n’y a pas de corrélation entre le nombre d’appels et le nombre d’infections par le COVID-19, ce qui est le plus clairement observé pendant les deux grandes vagues pandémiques de 2020.
 
Alors qu’une augmentation de l’incidence des AC n’a pas été observée dans la classe d’âge 16-39 ans en 2020, on a constaté une augmentation significative de la proportion de patients atteints d’AC décédés sur place en 2020, par rapport à 2019 (tableau supplémentaire 1), soulignant les possibles effets néfastes directs et indirects de la pandémie [35, 49, 55] sur le devenir des patients ayant subi un AC en dehors de l’hôpital. Le pourcentage de patients décédés sur place est resté élevé en 2021.
 
La forte augmentation de l’incidence des AC et des SCA dans la population âgée de 16 à 39 ans, parallèlement au déploiement de la vaccination et son association avec les taux de vaccination pourraient être cohérentes avec la causalité reconnue entre les vaccins à ARNm et les incidents de myocardite chez les jeunes [14, 17, 19, 56], ainsi que le fait que la myocardite est souvent diagnostiquée à tort comme un SCA [28-30], et que la myocardite asymptomatique est une cause fréquente de mort subite inexpliquée chez les jeunes adultes par AC [26, 31-33].

Ce constat est étayé par des rapports plus anecdotiques décrivant des morts cardiaques soudaines après la vaccination COVID-19 [16, 57]. Bien que la myocardite induite par le vaccin ait été principalement signalée chez les hommes [14, 19], il est intéressant de noter que l’augmentation relative des événements AC et SCA (tableau 1) était plus importante chez les femmes. Cela peut suggérer un sous-diagnostic ou une sous-déclaration de la myocardite ou d’autres pathologies spécifiques, chez les femmes, ce qui est cohérent avec le défi permanent des différences liées au sexe dans le diagnostic et les soins des maladies cardiovasculaires [15, 58].
 
L’article suggère l’implication de plusieurs mesures importantes à prendre. Premièrement, il est important que les programmes de surveillance des effets secondaires potentiels des vaccins et des résultats de l’infection par la COVID-19 intègrent les données des SMU et d’autres données sanitaires pour identifier les tendances de santé publique et enquêter rapidement sur les causes sous-jacentes potentielles.

Plus précisément, une enquête rapide est nécessaire pour mieux comprendre les causes sous-jacentes potentielles de l’augmentation observée des appels aux SMU pour problème cardiaque, y compris les facteurs liés aux vaccins et à l’infection par la COVID-19, ainsi que d’autres facteurs tels que la réduction de la volonté de se faire soigner à l’hôpital ou par les SMU, la réduction de l’accès aux soins et la sensibilisation accrue du public aux événements indésirables post-vaccination.

Deuxièmement, il est essentiel de sensibiliser les patients et les cliniciens aux symptômes associés (par exemple, gêne thoracique et essoufflement) après une vaccination ou la COVID-19 afin de s’assurer que les dommages potentiels sont réduits au minimum.

Ceci est particulièrement important chez les jeunes et en particulier les jeunes femmes, qui reçoivent souvent une moindre évaluation diagnostique des événements indésirables cardiaques que les hommes [15].

Ces implications sont encore renforcées du fait de l’administration continue de doses de rappel du vaccin à la population en raison de la diminution de l’immunité vaccinale contre les variants du COVID-19 (par ex. le variant delta) après la 2e dose de vaccin [59]. De plus, des études récentes ont également démontré l’association d’un risque accru de myocardite avec l’administration de vaccins à base d’adénovirus (c’est-à-dire ChAdOx1) [17], à la suite de vaccinations à ARNm, augmentant le nombre d’individus qui peuvent être exposés à des effets indésirables potentiels du vaccin et qui peuvent bénéficier de programmes de surveillance renforcée des vaccins.
 
Il est important de noter la principale limite de cette étude, à savoir qu’elle repose sur des données agrégées qui n’incluent pas d’informations spécifiques concernant les patients affectés, dont l’hospitalisation, les comorbidités sous-jacentes ainsi que la vaccination et le statut positif au COVID-19.

Ces données sont essentielles pour déterminer la nature exacte de l’augmentation observée des appels pour AC et SCA chez les jeunes, ainsi que les facteurs de causalité sous-jacents. Notamment, des études récentes ont montré que les lésions myocardiques induites par la vaccination présentent des caractéristiques différentes, au niveau histopathologique [60], par rapport à la myocardite typique, ce qui peut contribuer à l’identification des causes possibles de ces événements cardiaques. Le ministère israélien de la Santé et le réseau des mutuelles de santé ont accès à de telles données, qui devraient être étudiées en détail.

En outre, les AC examinés dans l’étude comprenaient à la fois ceux d’étiologie cardiaque et d’étiologie iatrogène, car les données permettant de discerner ces différences n’étaient pas disponibles, ce qui accroît l’importance d’une enquête plus approfondie sur ces patients. Cependant, il a été estimé à partir de résultats précédents que la grande majorité, environ 84-92 % des AC non traumatiques, sont d’origine cardiaque [61]. Par exemple, parmi les autres causes potentielles d’AC, environ 2 à 9 % et 2 % sont dus à une embolie pulmonaire [62, 63] et à des événements cérébrovasculaires aigus (par exemple, hémorragie sous-arachnoïdienne) [64], respectivement.

Par conséquent, il est probable que les changements observés peuvent être attribués principalement aux AC d’étiologie cardiaque.
 
L’augmentation significative des appels pour AC et SCA dans la population des 16-39 ans pendant le déploiement de la vaccination par COVID-19 met en évidence la valeur de sources de données supplémentaires, telles que celles des systèmes de SMU, qui peuvent compléter les systèmes de surveillance par autodéclaration pour identifier les tendances inquiétantes en matière de santé publique.

En outre, cela souligne la nécessité d’une enquête approfondie sur l’association apparente entre l’administration du vaccin COVID-19 et les événements cardiovasculaires indésirables chez les jeunes adultes. Israël et les autres pays devraient collecter immédiatement les données nécessaires pour déterminer si cette association existe vraiment, incluant une enquête approfondie sur les cas individuels d’AC et de SCA chez les jeunes adultes, et leur lien potentiel avec le vaccin ou d’autres facteurs.

Cela serait essentiel pour mieux comprendre les risques et les avantages du vaccin et pour éclairer les politiques publiques qui s’y rapportent et prévenir les préjudices potentiellement évitables pour les patients.

Dans l’intervalle, il est essentiel qu’après la vaccination, les patients soient informés qu’ils doivent rechercher des soins d’urgence appropriés s’ils présentent des symptômes potentiellement associés à une myocardite, tels qu’une gêne thoracique et un essoufflement, et d’envisager d’éviter toute activité physique intense après la vaccination, qui pourrait provoquer des événements cardiaques indésirables graves.
 
 
Sources : Collectif Reinfocovid
 
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Jean-Michel GRIVEAU
Auteur, rédacteur web, Informatique et Naturopathie humains et animaux , biorésonance,... En savoir plus sur cet auteur


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