Renvoi du procès pour viols de l'héritier de la Maison du Caviar
Le procès de l'héritier d'un restaurant huppé du quartier parisien des Champs-Elysées, jugé aux assises pour avoir fait subir des viols et sévices à une jeune femme droguée, a été renvoyé ce jeudi quelque heures après son ouverture. La cour a fait droit à la demande de la défense de l'accusé qui faisait valoir que son avocat, Me Eric Dupont-Moretti, récemment désigné, n'avait pu prendre entièrement connaissance du dossier. Cyril de Lalagade, petit-fils du fondateur d'un célèbre restaurant de caviar de la capitale, La Maison du Caviar, s'est en revanche vu refuser une demande de mise en liberté. Son procès, qui avait débuté à huis clos sur demande de la plaignante, ne pourra se tenir avant début 2013. «Manipulée» par la famille de l'autre plaignante. Depuis mardi, Cyril de Lalagade, 42 ans, mise soignée et expression distinguée dans le box des accusés, est écroué à la prison parisienne de la Santé pour avoir violé son contrôle judiciaire en renouant avec une ancienne conquête, quelques semaines avant le procès. Cette dernière, ancien mannequin, s'est présentée ce jeudi à la barre pour retirer sa constitution de partie civile, assurant que l'accusé «ne (lui) avait jamais fait de mal».(20minutes.fr) Aucun patron ne sera mis en danger pour des faits aussi graves.
Un ancien supérieur de Kerviel témoigne
Premier témoin entendu mercredi au procès en appel de Jérôme Kerviel, Luc François est celui qui a mis au jour les positions spéculatives prises par l'ancien trader. La cour d'appel doit entendre ce jeudi matin un témoin qui, selon la défense, permettra à Jérôme Kerviel de prouver la véracité de ses dires. Condamné en première instance à trois ans de prison ferme et 4,9 milliards d'euros de dommages et intérêts, l'ancien trader affirme, depuis l'ouverture de son deuxième procès, que la Société générale l'a instrumentalisé pour lui faire porter le chapeau de ses pertes dans la crise des subprimes: un mystérieux desk aurait couvert, à son insu, ses positions exorbitantes, de sorte que ce n'est pas lui qui, en réalité, a fait perdre à son employeur 4,9 milliards. L'audition de Philippe Houbé - c'est son nom - constitue, à l'évidence, un moment important de l'audience: le sort du prévenu est suspendu à sa force de conviction et à la pertinence des pièces qu'il pourra fournir pour étayer ses révélations tardives. En attendant, le procès suit son petit bonhomme de chemin.(lefigaro.fr) Ce Kerviel n'a vraiment pas de chance.
Affaire Marina: L'enfant était battue depuis l'âge de 2 ans
La cour d'assises de la Sarthe qui juge les parents de la petite Marina, morte de maltraitance à l'âge de 8 ans, a commencé ce mercredi à reconstituer la longue liste des coups infligés dès ses 2 ans à la petite fille, que ses parents cachaient parfois pour éviter d'être repérés. «Généralement quand on maltraitait notre fille (...), on ne voulait pas que ça se sache», a expliqué sans ciller devant la cour Virginie Darras, la mère. A Nanterre, où la famille réside au départ, sa mère lui prodigue des soins rudimentaires pour éviter qu'un médecin ne remarque les bleus laissés par les gifles qu'elle lui a données. La petite fille ne sera pas non plus scolarisée, pour éviter que son état n'alerte les enseignants. «Des mises au coin, des douches froides» Devant la cour, Virginie Darras raconte aussi «des mises au coin, des douches froides», explique que la petite alors ne mangeait pas et était incontinente. Faux, selon la grand-mère maternelle de Marina et une des soeurs de la mère, qui ont accueilli la petite en vacances en 2004 et 2005.(20minutes.fr) C'est moche.
Source: Yahoo actualités
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Le procès de l'héritier d'un restaurant huppé du quartier parisien des Champs-Elysées, jugé aux assises pour avoir fait subir des viols et sévices à une jeune femme droguée, a été renvoyé ce jeudi quelque heures après son ouverture. La cour a fait droit à la demande de la défense de l'accusé qui faisait valoir que son avocat, Me Eric Dupont-Moretti, récemment désigné, n'avait pu prendre entièrement connaissance du dossier. Cyril de Lalagade, petit-fils du fondateur d'un célèbre restaurant de caviar de la capitale, La Maison du Caviar, s'est en revanche vu refuser une demande de mise en liberté. Son procès, qui avait débuté à huis clos sur demande de la plaignante, ne pourra se tenir avant début 2013. «Manipulée» par la famille de l'autre plaignante. Depuis mardi, Cyril de Lalagade, 42 ans, mise soignée et expression distinguée dans le box des accusés, est écroué à la prison parisienne de la Santé pour avoir violé son contrôle judiciaire en renouant avec une ancienne conquête, quelques semaines avant le procès. Cette dernière, ancien mannequin, s'est présentée ce jeudi à la barre pour retirer sa constitution de partie civile, assurant que l'accusé «ne (lui) avait jamais fait de mal».(20minutes.fr) Aucun patron ne sera mis en danger pour des faits aussi graves.
Un ancien supérieur de Kerviel témoigne
Premier témoin entendu mercredi au procès en appel de Jérôme Kerviel, Luc François est celui qui a mis au jour les positions spéculatives prises par l'ancien trader. La cour d'appel doit entendre ce jeudi matin un témoin qui, selon la défense, permettra à Jérôme Kerviel de prouver la véracité de ses dires. Condamné en première instance à trois ans de prison ferme et 4,9 milliards d'euros de dommages et intérêts, l'ancien trader affirme, depuis l'ouverture de son deuxième procès, que la Société générale l'a instrumentalisé pour lui faire porter le chapeau de ses pertes dans la crise des subprimes: un mystérieux desk aurait couvert, à son insu, ses positions exorbitantes, de sorte que ce n'est pas lui qui, en réalité, a fait perdre à son employeur 4,9 milliards. L'audition de Philippe Houbé - c'est son nom - constitue, à l'évidence, un moment important de l'audience: le sort du prévenu est suspendu à sa force de conviction et à la pertinence des pièces qu'il pourra fournir pour étayer ses révélations tardives. En attendant, le procès suit son petit bonhomme de chemin.(lefigaro.fr) Ce Kerviel n'a vraiment pas de chance.
Affaire Marina: L'enfant était battue depuis l'âge de 2 ans
La cour d'assises de la Sarthe qui juge les parents de la petite Marina, morte de maltraitance à l'âge de 8 ans, a commencé ce mercredi à reconstituer la longue liste des coups infligés dès ses 2 ans à la petite fille, que ses parents cachaient parfois pour éviter d'être repérés. «Généralement quand on maltraitait notre fille (...), on ne voulait pas que ça se sache», a expliqué sans ciller devant la cour Virginie Darras, la mère. A Nanterre, où la famille réside au départ, sa mère lui prodigue des soins rudimentaires pour éviter qu'un médecin ne remarque les bleus laissés par les gifles qu'elle lui a données. La petite fille ne sera pas non plus scolarisée, pour éviter que son état n'alerte les enseignants. «Des mises au coin, des douches froides» Devant la cour, Virginie Darras raconte aussi «des mises au coin, des douches froides», explique que la petite alors ne mangeait pas et était incontinente. Faux, selon la grand-mère maternelle de Marina et une des soeurs de la mère, qui ont accueilli la petite en vacances en 2004 et 2005.(20minutes.fr) C'est moche.
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