L'Onu laisse la porte ouverte à une action militaire au Mali
Le Conseil de sécurité de l'Onu a adopté jeudi à l'unanimité une résolution qui soutient les efforts de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao) pour mettre fin à la crise dans le nord du Mali, contrôlé en partie par les islamistes, et laisse la porte ouverte à une intervention militaire. La Cédéao, dont font partie les pays voisins du Mali, demande depuis plusieurs semaines une résolution en faveur d'une intervention au Conseil de sécurité, qui a, à plusieurs reprises, temporisé en demandant plus de précisions à l'organisation. Selon la résolution adoptée jeudi à l'initiative de la France, le Conseil se dit "prêt à examiner plus avant cette requête une fois que des informations supplémentaires auront été fournies en ce qui concerne les objectifs, les moyens et les modalités du déploiement envisagé". Le Conseil "soutient pleinement" les efforts de médiation de la Cédéao et de l'Union africaine pour régler la situation malienne, et "appelle les États membres à soumettre (...) les noms des individus, groupes et entités qui sont associés à Al Qaïda (...) dans le nord du Mali". Laurent Fabius, le ministre français des Affaires étrangères, a salué une résolution qui "fixe le cadre d'une solution politique globale au Mali et témoigne de la mobilisation de la communauté internationale".(fr.reuters.com) Il était temps.
Hollande-Bongo : rencontre critiquée
La France a d'importants intérêts militaires et économiques au Gabon. En recevant jeudi le président gabonais, Ali Bongo, à l'Élysée, François Hollande a pu mesurer l'extrême complexité des relations entre la France et ses anciennes colonies africaines. La simple annonce de cette visite a suffi à réveiller de vives controverses et de vertes critiques de l'opposition gabonaise et des associations qui réclament la mise de mort de la «Françafrique». «Cette visite est incompréhensible à moins d'être celle d'une rupture totale avec le passé et avec la famille Bongo», souligne Georges Mpaga du collectif Ça suffit! Le Gabon et le régime d' Omar Bongo , mort en 2010 après quarante et un ans de pouvoir, symbolisent, il est vrai, plus que d'autres la dérive affairiste d'une certaine politique française. Le fils, Ali Bongo, élu en août 2010 lors d'un scrutin contesté, n'est pas parvenu a changé cette image. Les élections législatives, un an plus tard, boycottées par l'opposition et qui ont conduit à une chambre presque entièrement aux mains du Parti démocratique gabonais, le parti du pouvoir, n'ont pas arrangé les choses. «Le système Bongo père est toujours en état. Ce qui a changé, c'est que le père utilisait plus la carotte que le bâton pour contrôler le pays, alors que le fils use plus du bâton que de la carotte», résume un spécialiste du Gabon. «Je ne comprends pas ces polémiques.(lefigaro.fr) La France a beaucoup d'intérêts au Gabon, il faut donc préserver ces intérêts, cela s'arrête là.
Mitt Romney esquisse sa vision du monde
Le candidat républicain à la Maison-Blanche va se rendre en Israël et a déjà engagé un bras de fer avec Moscou. Obnubilé par les questions économiques, Mitt Romney ne s'était guère préoccupé jusqu'ici de formuler une ébauche de politique étrangère, pour le cas où il viendrait à être élu à la tête de la première puissance mondiale, le 6 novembre prochain. C'est désormais chose faite: l'adversaire républicain du président Barack Obama devrait se rendre cet été en Israël, avant un détour par les Jeux olympiques de Londres. Lors de son séjour dans l'État hébreu, Romney rencontrera le premier ministre Benyamin Nétanyahou, qu'il fréquenta dans les années 1970 au sein de la firme Boston Consulting Group. Il espère ainsi rallier à sa cause un électorat juif et évangéliste américain très remonté contre Obama. Malgré un soutien massif en 2008, avec 78 % des votants juifs américains en sa faveur, le président sortant est souvent accusé quatre ans plus tard d'avoir tourné le dos à Israël, où il ne s'est d'ailleurs jamais rendu depuis 2009. «Obama a enregistré une érosion marquée du soutien de la communauté juive, confirme Matthew Brooks, président du lobby républicain Jewish Coalition. Il est certain que ce voyage visant à sceller son amitié avec Israël sera très bien accueilli.»(lefigaro.fr) Faire une Etat uniquement pour les juifs c'est simplement les stigmatiser, voir même les manipuler vu l'emplacement de cet Etat.
Source: Yahoo actualités
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Le Conseil de sécurité de l'Onu a adopté jeudi à l'unanimité une résolution qui soutient les efforts de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao) pour mettre fin à la crise dans le nord du Mali, contrôlé en partie par les islamistes, et laisse la porte ouverte à une intervention militaire. La Cédéao, dont font partie les pays voisins du Mali, demande depuis plusieurs semaines une résolution en faveur d'une intervention au Conseil de sécurité, qui a, à plusieurs reprises, temporisé en demandant plus de précisions à l'organisation. Selon la résolution adoptée jeudi à l'initiative de la France, le Conseil se dit "prêt à examiner plus avant cette requête une fois que des informations supplémentaires auront été fournies en ce qui concerne les objectifs, les moyens et les modalités du déploiement envisagé". Le Conseil "soutient pleinement" les efforts de médiation de la Cédéao et de l'Union africaine pour régler la situation malienne, et "appelle les États membres à soumettre (...) les noms des individus, groupes et entités qui sont associés à Al Qaïda (...) dans le nord du Mali". Laurent Fabius, le ministre français des Affaires étrangères, a salué une résolution qui "fixe le cadre d'une solution politique globale au Mali et témoigne de la mobilisation de la communauté internationale".(fr.reuters.com) Il était temps.
Hollande-Bongo : rencontre critiquée
La France a d'importants intérêts militaires et économiques au Gabon. En recevant jeudi le président gabonais, Ali Bongo, à l'Élysée, François Hollande a pu mesurer l'extrême complexité des relations entre la France et ses anciennes colonies africaines. La simple annonce de cette visite a suffi à réveiller de vives controverses et de vertes critiques de l'opposition gabonaise et des associations qui réclament la mise de mort de la «Françafrique». «Cette visite est incompréhensible à moins d'être celle d'une rupture totale avec le passé et avec la famille Bongo», souligne Georges Mpaga du collectif Ça suffit! Le Gabon et le régime d' Omar Bongo , mort en 2010 après quarante et un ans de pouvoir, symbolisent, il est vrai, plus que d'autres la dérive affairiste d'une certaine politique française. Le fils, Ali Bongo, élu en août 2010 lors d'un scrutin contesté, n'est pas parvenu a changé cette image. Les élections législatives, un an plus tard, boycottées par l'opposition et qui ont conduit à une chambre presque entièrement aux mains du Parti démocratique gabonais, le parti du pouvoir, n'ont pas arrangé les choses. «Le système Bongo père est toujours en état. Ce qui a changé, c'est que le père utilisait plus la carotte que le bâton pour contrôler le pays, alors que le fils use plus du bâton que de la carotte», résume un spécialiste du Gabon. «Je ne comprends pas ces polémiques.(lefigaro.fr) La France a beaucoup d'intérêts au Gabon, il faut donc préserver ces intérêts, cela s'arrête là.
Mitt Romney esquisse sa vision du monde
Le candidat républicain à la Maison-Blanche va se rendre en Israël et a déjà engagé un bras de fer avec Moscou. Obnubilé par les questions économiques, Mitt Romney ne s'était guère préoccupé jusqu'ici de formuler une ébauche de politique étrangère, pour le cas où il viendrait à être élu à la tête de la première puissance mondiale, le 6 novembre prochain. C'est désormais chose faite: l'adversaire républicain du président Barack Obama devrait se rendre cet été en Israël, avant un détour par les Jeux olympiques de Londres. Lors de son séjour dans l'État hébreu, Romney rencontrera le premier ministre Benyamin Nétanyahou, qu'il fréquenta dans les années 1970 au sein de la firme Boston Consulting Group. Il espère ainsi rallier à sa cause un électorat juif et évangéliste américain très remonté contre Obama. Malgré un soutien massif en 2008, avec 78 % des votants juifs américains en sa faveur, le président sortant est souvent accusé quatre ans plus tard d'avoir tourné le dos à Israël, où il ne s'est d'ailleurs jamais rendu depuis 2009. «Obama a enregistré une érosion marquée du soutien de la communauté juive, confirme Matthew Brooks, président du lobby républicain Jewish Coalition. Il est certain que ce voyage visant à sceller son amitié avec Israël sera très bien accueilli.»(lefigaro.fr) Faire une Etat uniquement pour les juifs c'est simplement les stigmatiser, voir même les manipuler vu l'emplacement de cet Etat.
Source: Yahoo actualités
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