Claude Guéant, ancien préfet, secrétaire générale de l’Élysée puis ministre de l'intérieur. Il est le quignon de la baguette sarkoziste dépouillé par les médias et les tribunaux. A juste titre peut-être car il s'est vu octroyer le droit de se barbouiller l'intérieur des poches avec l'argent de la république, et celui de Mouammar Kadhafi. Le problème est qu'il n'aurait rien pu faire en Libye sans accompagné un voyage officiel. Les enquêtes parlent aussi de Mr Sarkozy libre jusqu'à nouvel ordre. Le temps que la fin du plomb Claude Guéant soit parachevée.
Claude Guéant est sur la sellette.
Et pour une broutille, 500 000 euros dont il peine à justifier l'origine. Et on peut effectivement parler de broutilles quand on observe les affaires auxquelles Guéant a été mêlé. Cet ancien chef de la police est surtout un homme de réseaux. Et si ses ennuis actuels viennent de Takieddine, qui l'a "balancé" aux juges, ce n'est pas sans raison. On peut y voir un effet de la rivalité Djouhri-Takieddine… En effet, Guéant est proche d'A. Djouhri. "Il est imposé par Guéant et Squarcini sur les grands contrats" affirme Takieddine. Claude Guéant, c'est aussi une histoire de familles… Jean-Charles Charki, son gendre, est très proche de lui (il partage les même bureaux depuis que Guéant est devenu avocat, associé avec son fils François, après la défaite). le cabinet Guéant Avocats siège – discrètement – avenue George-V, en face du palace du même nom, précise le journal Le Monde. Du 17 au 19 octobre 2012, Claude Guéant s'est rendu en compagnie de son gendre à Malabo, dans cette Guinée équatoriale au cœur du scandale des biens mal acquis. (rimbusblog.blogspot.fr)
Affaire Tapie : Claude Guéant trahi par un cahier d’écolier
Toutes les archives de Claude Guéant n'ont pas disparu. Si les notes de travail de l'ancien secrétaire général de l'Elysée (2007-2011) n'ont pu être retrouvées, comme l'ont constaté les juges chargés de l'affaire Pérol, celles datant de son passage au ministère de l'intérieur (2011-2012) nourrissent désormais le dossier Tapie. Elles accréditent l'idée selon laquelle le fidèle collaborateur de Nicolas Sarkozy a continué de s'impliquer, alors qu'il n'était plus à l'Elysée, dans l'affaire de l'arbitrage entre le Crédit lyonnais et Bernard Tapie, et rendent plus que jamais nécessaire son audition, sous un statut à déterminer. M. Guéant – qui n'a pas donné suite aux sollicitations du Monde – est soupçonné d'avoir joué un rôle moteur dans le processus d'arbitrage. Le 7 juillet 2008, un tribunal arbitral avait accordé une somme de 405 millions d'euros à M. Tapie, dans des conditions considérées comme suspectes par les juges Serge Tournaire, Claire Thépaut et Guillaume Daïeff. Les magistrats postulent que M. Tapie, proche de M. Sarkozy, aurait bénéficié d'un arbitrage truqué, le qualifiant même de « simulacre » – ce que réfute vivement l'homme d'affaires. Lors d'une perquisition dans ses bureaux d'avocat, les juges ont saisi un cahier bleu, de marque Conquérant, sur lequel M. Guéant prenait des notes. Une page, manifestement rédigée au début de l'année 2012, est consacrée au sort de Jean-François Rocchi. Ce haut fonctionnaire, ancien dirigeant du Consortium de réalisation (CDR), l'organisme chargé de gérer le passif du Crédit lyonnais, est poursuivi pour « escroquerie en bande organisée » et « usage abusif des pouvoirs sociaux ». Il est suspecté d'avoir joué un rôle central dans le processus présumé frauduleux.(leblogdeodomar.eklablog.com)
Affaire Tapie : la garde à vue de Claude Guéant a été levée
Claude Guéant vient de sortir de garde à vue. L'ex-ministre de l'Intérieur était interrogé depuis lundi dans le cadre de l'enquête sur l'arbitrage controversé dont a bénéficié Bernard Tapie dans son litige avec le Crédit lyonnais. Les enquêteurs cherchent en effet à savoir si Claude Guéant, alors secrétaire général de l’Elysée en 2008, au moment des faits, aurait joué de son influence dans le choix de ce recours au tribunal arbitral. Une indemnité de 400 millions d'euros avait alors été octroyée à l'homme d'affaires.
Claude Guéant est sur la sellette.
Et pour une broutille, 500 000 euros dont il peine à justifier l'origine. Et on peut effectivement parler de broutilles quand on observe les affaires auxquelles Guéant a été mêlé. Cet ancien chef de la police est surtout un homme de réseaux. Et si ses ennuis actuels viennent de Takieddine, qui l'a "balancé" aux juges, ce n'est pas sans raison. On peut y voir un effet de la rivalité Djouhri-Takieddine… En effet, Guéant est proche d'A. Djouhri. "Il est imposé par Guéant et Squarcini sur les grands contrats" affirme Takieddine. Claude Guéant, c'est aussi une histoire de familles… Jean-Charles Charki, son gendre, est très proche de lui (il partage les même bureaux depuis que Guéant est devenu avocat, associé avec son fils François, après la défaite). le cabinet Guéant Avocats siège – discrètement – avenue George-V, en face du palace du même nom, précise le journal Le Monde. Du 17 au 19 octobre 2012, Claude Guéant s'est rendu en compagnie de son gendre à Malabo, dans cette Guinée équatoriale au cœur du scandale des biens mal acquis. (rimbusblog.blogspot.fr)
Affaire Tapie : Claude Guéant trahi par un cahier d’écolier
Toutes les archives de Claude Guéant n'ont pas disparu. Si les notes de travail de l'ancien secrétaire général de l'Elysée (2007-2011) n'ont pu être retrouvées, comme l'ont constaté les juges chargés de l'affaire Pérol, celles datant de son passage au ministère de l'intérieur (2011-2012) nourrissent désormais le dossier Tapie. Elles accréditent l'idée selon laquelle le fidèle collaborateur de Nicolas Sarkozy a continué de s'impliquer, alors qu'il n'était plus à l'Elysée, dans l'affaire de l'arbitrage entre le Crédit lyonnais et Bernard Tapie, et rendent plus que jamais nécessaire son audition, sous un statut à déterminer. M. Guéant – qui n'a pas donné suite aux sollicitations du Monde – est soupçonné d'avoir joué un rôle moteur dans le processus d'arbitrage. Le 7 juillet 2008, un tribunal arbitral avait accordé une somme de 405 millions d'euros à M. Tapie, dans des conditions considérées comme suspectes par les juges Serge Tournaire, Claire Thépaut et Guillaume Daïeff. Les magistrats postulent que M. Tapie, proche de M. Sarkozy, aurait bénéficié d'un arbitrage truqué, le qualifiant même de « simulacre » – ce que réfute vivement l'homme d'affaires. Lors d'une perquisition dans ses bureaux d'avocat, les juges ont saisi un cahier bleu, de marque Conquérant, sur lequel M. Guéant prenait des notes. Une page, manifestement rédigée au début de l'année 2012, est consacrée au sort de Jean-François Rocchi. Ce haut fonctionnaire, ancien dirigeant du Consortium de réalisation (CDR), l'organisme chargé de gérer le passif du Crédit lyonnais, est poursuivi pour « escroquerie en bande organisée » et « usage abusif des pouvoirs sociaux ». Il est suspecté d'avoir joué un rôle central dans le processus présumé frauduleux.(leblogdeodomar.eklablog.com)
Affaire Tapie : la garde à vue de Claude Guéant a été levée
Claude Guéant vient de sortir de garde à vue. L'ex-ministre de l'Intérieur était interrogé depuis lundi dans le cadre de l'enquête sur l'arbitrage controversé dont a bénéficié Bernard Tapie dans son litige avec le Crédit lyonnais. Les enquêteurs cherchent en effet à savoir si Claude Guéant, alors secrétaire général de l’Elysée en 2008, au moment des faits, aurait joué de son influence dans le choix de ce recours au tribunal arbitral. Une indemnité de 400 millions d'euros avait alors été octroyée à l'homme d'affaires.
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