Cette image d’Épinal est peu probable et nous devinons que Valérie Trierweiler accepte et vit mal le fait d’avoir été congédiée "comme une domestique". Je ne sais pas ce que le président de la République lui a proposé en dédommagement mais je doute qu’il y ait accord. Dés lors, ne peut-on pas imaginer, en l’absence de mariage et de statut de première dame, avoir affaire à un simple contrat de travail et, de ce fait, à un licenciement sans cause? Et dans ce cas, quel serait le tribunal compètent? Les Prudhommes, le tribunal Administratif? Dans les prochains jours s’écrira probablement la chronique d’une vengeance annoncée. A moins que la République et son président se montrent les plus généreux possible. Et encore…