Le général transfuge syrien Manaf Tlass est en France
Le général Manaf Tlass, le plus haut gradé syrien ayant fait défection et proche du président syrien Bachar al Assad, a annoncé mardi être à Paris et a dit espérer une phase de transition constructive en Syrie. Sa présence dans la capitale française a été confirmée par François Hollande. Prié de dire, lors d'une conférence de presse avec son homologue tunisien, si l'officier syrien se trouvait à Paris, le président français a répondu: "Effectivement, nous sommes aujourd'hui informés de cette situation. Il est là." Dans un texte non-authentifié parvenu à Reuters et daté de Paris, le général Tlass avait auparavant souhaité que son pays sorte de la crise "au travers d'une phase de transition constructive qui garantisse à la Syrie son unité, sa stabilité et sa sécurité ainsi que les aspirations légitimes de son peuple." "Je ne peux qu'exprimer ma colère et ma douleur de voir l'armée poussée à mener un combat contraire à ses principes", ajoute-t-il. Il souligne avoir été "isolé, accusé et même qualifié de traître" quand il a "refusé de participer à l'option sécuritaire". "Mais, ajoute-t-il, ma conscience, ma profonde conviction m`ont poussé à contester cette option destructrice et à m'en éloigner."(fr.reuters.com) Un bon coup pour les services français
Roumanie : l'UE estime avoir obtenu satisfaction sur ses demandes
La Commission européenne a annoncé mardi avoir obtenu satisfaction sur toutes ses demandes concernant l'Etat de droit en Roumanie, et juge à présent 'cruciale' leur mise en oeuvre 'effective et rapide'. Le premier ministre roumain, Victor Ponta, a 'donné de nouveaux engagements écrits' sur les 11 points soulevés par la Commission, indique celle-ci. M. Ponta avait en effet été convoqué le 12 juillet à Bruxelles pour s'expliquer sur les récentes atteintes à l'Etat de droit dans son pays, et s'était vu énumérer 11 demandes par le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso. INDÉPENDANCE DE LA JUSTICE, RESPECT DES DÉCISIONS DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE.Bruxelles demandait notamment à la coalition de centre-gauche de donner des garanties fermes sur l'indépendance de la justice et le respect des décisions de la Cour constitutionnelle. La Commission sollicitait l'abrogation de deux décrets d'urgence adoptés il y a dix jours, qui réduisent les pouvoirs de la Cour constitutionnelle et changent les règles du référendum prévu le 29 juillet pour valider la destitution du président Traian Basescu.(lemonde.fr) L'UE reforce sa poigen sur ses Etats menbres.
Italie : les massacres oubliés des juifs du Tyrol du Sud
L'Italie fasciste persécutait les juifs. Le Tyrol du Sud, de langue allemande, a, lui, décimé cette communauté à partir de 1943. Les nazis n'ont fait que copier Ferdinand II, roi du comté du Tyrol de 1564 à 1595. Celui-ci imposait aux juifs non pas une étoile, mais un cercle jaune, qu'ils devaient coudre sur leurs vêtements. Lorsqu'un juif était pris trois fois sans ce cercle jaune, il était expulsé définitivement du Tyrol. C'est l'un des faits marquants d'une exposition intitulée "Simon und Sarah in Bozen", organisée dans le château de Runkelstein à Bolzano, dans le Tyrol du Sud. Une exposition fort bien documentée..., mais qui évite de se pencher sur le passé plus récent de cette province italienne de langue allemande. À partir de septembre 1943, les juifs de la province ont été regroupés dans le camp d'internement de Bolzano, puis envoyés dans des camps d'extermination. "L'histoire des juifs du Tyrol du Sud, persécutés et déportés avec l'aide des nazis et des fascistes locaux, a été oubliée", rappelait en 2008 Riccardo Dello Sbarba, président du conseil juif de la région.(lepoint.fr) Partout où l'ombre nazi planait, des persécutions avaient lieu.
Source: Yahoo actualités
Référencement Internet et création de sites Web ici
Le général Manaf Tlass, le plus haut gradé syrien ayant fait défection et proche du président syrien Bachar al Assad, a annoncé mardi être à Paris et a dit espérer une phase de transition constructive en Syrie. Sa présence dans la capitale française a été confirmée par François Hollande. Prié de dire, lors d'une conférence de presse avec son homologue tunisien, si l'officier syrien se trouvait à Paris, le président français a répondu: "Effectivement, nous sommes aujourd'hui informés de cette situation. Il est là." Dans un texte non-authentifié parvenu à Reuters et daté de Paris, le général Tlass avait auparavant souhaité que son pays sorte de la crise "au travers d'une phase de transition constructive qui garantisse à la Syrie son unité, sa stabilité et sa sécurité ainsi que les aspirations légitimes de son peuple." "Je ne peux qu'exprimer ma colère et ma douleur de voir l'armée poussée à mener un combat contraire à ses principes", ajoute-t-il. Il souligne avoir été "isolé, accusé et même qualifié de traître" quand il a "refusé de participer à l'option sécuritaire". "Mais, ajoute-t-il, ma conscience, ma profonde conviction m`ont poussé à contester cette option destructrice et à m'en éloigner."(fr.reuters.com) Un bon coup pour les services français
Roumanie : l'UE estime avoir obtenu satisfaction sur ses demandes
La Commission européenne a annoncé mardi avoir obtenu satisfaction sur toutes ses demandes concernant l'Etat de droit en Roumanie, et juge à présent 'cruciale' leur mise en oeuvre 'effective et rapide'. Le premier ministre roumain, Victor Ponta, a 'donné de nouveaux engagements écrits' sur les 11 points soulevés par la Commission, indique celle-ci. M. Ponta avait en effet été convoqué le 12 juillet à Bruxelles pour s'expliquer sur les récentes atteintes à l'Etat de droit dans son pays, et s'était vu énumérer 11 demandes par le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso. INDÉPENDANCE DE LA JUSTICE, RESPECT DES DÉCISIONS DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE.Bruxelles demandait notamment à la coalition de centre-gauche de donner des garanties fermes sur l'indépendance de la justice et le respect des décisions de la Cour constitutionnelle. La Commission sollicitait l'abrogation de deux décrets d'urgence adoptés il y a dix jours, qui réduisent les pouvoirs de la Cour constitutionnelle et changent les règles du référendum prévu le 29 juillet pour valider la destitution du président Traian Basescu.(lemonde.fr) L'UE reforce sa poigen sur ses Etats menbres.
Italie : les massacres oubliés des juifs du Tyrol du Sud
L'Italie fasciste persécutait les juifs. Le Tyrol du Sud, de langue allemande, a, lui, décimé cette communauté à partir de 1943. Les nazis n'ont fait que copier Ferdinand II, roi du comté du Tyrol de 1564 à 1595. Celui-ci imposait aux juifs non pas une étoile, mais un cercle jaune, qu'ils devaient coudre sur leurs vêtements. Lorsqu'un juif était pris trois fois sans ce cercle jaune, il était expulsé définitivement du Tyrol. C'est l'un des faits marquants d'une exposition intitulée "Simon und Sarah in Bozen", organisée dans le château de Runkelstein à Bolzano, dans le Tyrol du Sud. Une exposition fort bien documentée..., mais qui évite de se pencher sur le passé plus récent de cette province italienne de langue allemande. À partir de septembre 1943, les juifs de la province ont été regroupés dans le camp d'internement de Bolzano, puis envoyés dans des camps d'extermination. "L'histoire des juifs du Tyrol du Sud, persécutés et déportés avec l'aide des nazis et des fascistes locaux, a été oubliée", rappelait en 2008 Riccardo Dello Sbarba, président du conseil juif de la région.(lepoint.fr) Partout où l'ombre nazi planait, des persécutions avaient lieu.
Source: Yahoo actualités
Référencement Internet et création de sites Web ici
A lire également:
-
Visite de la diplomatie allemande en Ukraine : un soutien indéfectible
-
Catastrophes naturelles en Europe : Tempêtes, orages et inondations face au changement climatique
-
Aperçu des tendances et des facteurs de l'évolution des loyers en Europe en 2025
-
Louer voiture en Suisse en jeune conducteur
-
Vivre en Suisse bon plan ou pas ?