Les explosions ont été précédées d'un appel téléphonique passé au nom de l'organisation séparatiste basque ETA, a indiqué le site internet du journal espagnol. Le service d'ambulances de Majorque n'a signalé aucun blessé, ajoute-t-il.
Un premier engin a explosé au restaurant La Rigoletta, qui avait évacué à la suite de l'avertissement téléphonique, précise. La police a découvert une deuxième petite bombe dans un autre restaurant situé à proximité du premier.
Le troisième engin a sauté dans un secteur commerçant situé sous la Plaza Mayor, la place principale de la ville. Un porte-parole du gouvernement a dit qu'il était de plus faible puissance encore que les deux premiers.
Bien que l'ETA ait perpétré ces deux derniers mois trois attentats à l'explosif plus graves que ceux de dimanche, le gouvernement espagnol a estimé qu'une série d'arrestations opérées dans les rangs du mouvement séparatiste l'avaient nettement affaibli.
En avril, le chef militaire de l'ETA Jurdan Martitegi avait arrêté en France. Cet homme de 28 ans était le quatrième commandant de l'organisation capturé en moins d'un an.
Mais le 30 juillet, l'explosion d'une voiture piégée avait tué deux membres de la garde civile espagnole à Majorque.
Cet attentat et deux autres opérations au véhicule piégé imputées ces deux derniers mois à l'ETA ont été revendiqués par l'organisation dans un communiqué publié dimanche par le journal en langue basque Gara.
L'attentat à la voiture piégée commis le 19 juin à Bilbao avait tué un inspecteur de police. Celui du 30 juillet avait fait 46 blessés devant une caserne de la Garde civile à Burgos.
Le porte-parole du gouvernement a dit qu'il était trop tôt pour savoir si les nouvelles explosions porteraient préjudice au tourisme dans les îles Baléares, destination prisée des touristes anglais et allemands en particulier.
Les séparatistes basques sont tenus responsables de la mort de plus de 800 personnes en quarante ans de campagne visant à obtenir la création d'un Etat basque indépendant dans le nord de l'Espagne et le sud de la France.
Source: Reuters via Yahoo News
Un premier engin a explosé au restaurant La Rigoletta, qui avait évacué à la suite de l'avertissement téléphonique, précise. La police a découvert une deuxième petite bombe dans un autre restaurant situé à proximité du premier.
Le troisième engin a sauté dans un secteur commerçant situé sous la Plaza Mayor, la place principale de la ville. Un porte-parole du gouvernement a dit qu'il était de plus faible puissance encore que les deux premiers.
Bien que l'ETA ait perpétré ces deux derniers mois trois attentats à l'explosif plus graves que ceux de dimanche, le gouvernement espagnol a estimé qu'une série d'arrestations opérées dans les rangs du mouvement séparatiste l'avaient nettement affaibli.
En avril, le chef militaire de l'ETA Jurdan Martitegi avait arrêté en France. Cet homme de 28 ans était le quatrième commandant de l'organisation capturé en moins d'un an.
Mais le 30 juillet, l'explosion d'une voiture piégée avait tué deux membres de la garde civile espagnole à Majorque.
Cet attentat et deux autres opérations au véhicule piégé imputées ces deux derniers mois à l'ETA ont été revendiqués par l'organisation dans un communiqué publié dimanche par le journal en langue basque Gara.
L'attentat à la voiture piégée commis le 19 juin à Bilbao avait tué un inspecteur de police. Celui du 30 juillet avait fait 46 blessés devant une caserne de la Garde civile à Burgos.
Le porte-parole du gouvernement a dit qu'il était trop tôt pour savoir si les nouvelles explosions porteraient préjudice au tourisme dans les îles Baléares, destination prisée des touristes anglais et allemands en particulier.
Les séparatistes basques sont tenus responsables de la mort de plus de 800 personnes en quarante ans de campagne visant à obtenir la création d'un Etat basque indépendant dans le nord de l'Espagne et le sud de la France.
Source: Reuters via Yahoo News
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