Il y a deux semaines, 21 députés et 180 sympathisants ont commencé une grève de la faim, accusant le parti au pouvoir de fraude électorale. Ils campent devant les bureaux de Sali Berisha pour exiger un nouveau décompte. D'après les organisateurs, 32 des 201 grévistes de la faim ont rompu leur jeune en raison de problèmes de santé.
Lors des législatives du 28 juin 2009, le Parti démocratique de Sali Berisha et ses alliés ont remporté 75 des 140 sièges du Parlement. L'opposition contrôle 65 sièges.
Les socialistes, emmenés par le maire de Tirana Edi Rama, boycottent depuis le Parlement, où ils ne se rendent que pour réclamer un nouveau décompte. Le gouvernement juge cette requête illégale et rejette toutes les accusations de fraude électorale.
Edi Rama a exhorté les partisans de l'opposition à faire preuve de retenue. "La résistance pacifique est le seul chemin vers la découverte de la vérité", a déclaré le maire de Tirana.
L'Albanie, qui a récemment rejoint l'OTAN, est sous forte pression internationale pour sortir de cette crise politique. Faute de quoi, ses efforts pour adhérer à l'Union européenne pourraient bien rester vains.
"Depuis hier, il y a sur la table un très bon compromis, qui est soutenu par la majeure partie de la communauté internationale", a déclaré Robert Bosch, qui dirige le bureau de Tirana de l'OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe).
AP via Yahoo news
Lors des législatives du 28 juin 2009, le Parti démocratique de Sali Berisha et ses alliés ont remporté 75 des 140 sièges du Parlement. L'opposition contrôle 65 sièges.
Les socialistes, emmenés par le maire de Tirana Edi Rama, boycottent depuis le Parlement, où ils ne se rendent que pour réclamer un nouveau décompte. Le gouvernement juge cette requête illégale et rejette toutes les accusations de fraude électorale.
Edi Rama a exhorté les partisans de l'opposition à faire preuve de retenue. "La résistance pacifique est le seul chemin vers la découverte de la vérité", a déclaré le maire de Tirana.
L'Albanie, qui a récemment rejoint l'OTAN, est sous forte pression internationale pour sortir de cette crise politique. Faute de quoi, ses efforts pour adhérer à l'Union européenne pourraient bien rester vains.
"Depuis hier, il y a sur la table un très bon compromis, qui est soutenu par la majeure partie de la communauté internationale", a déclaré Robert Bosch, qui dirige le bureau de Tirana de l'OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe).
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