La Russie est une grande nation et dispose de chercheurs compétents capables de développer un vaccin contre le coronavirus. Toutefois, il est faux de considérer la recherche comme une course et malgré l’urgence, il convient de s’en tenir aux dispositions réglementaires de la recherche médicale. La foi seule n'est certainement pas un outil efficace.
La Russie compte déjà un très grand nombre de morts. Le président Vladimir Poutine, qui poursuit aussi des objectifs purement politiques, soumet les médecins et infirmières Russes à une importante pression et pose une terrible question de conscience: prendre le risque du "Spoutnik V" ou attendre de voir?
Il se dit que le style répressif de direction de Poutine a poussé beaucoup de gens, et surtout de jeunes diplômés, à quitter le pays. Toutefois, certains instituts de recherche, universités et cliniques russes demeurent de premier plan. Il est déraisonnable de dénier à la Russie la capacité de développer rapidement un vaccin contre le coronavirus.
Toutefois, le Kremlin, avec la première approbation d'un vaccin contre le coronavirus, se repositionne dans la course: « nous sommes les premiers, les meilleurs, les plus forts. » Est-ce un coup de bluff russe ? Est-ce une info montée en épingle par les anti-Russes pour discréditer Poutine et son gouvernement ?
En fin de compte, ce qui importe n'est pas la critique de la Russie, mais la transparence et la coopération internationale: lutter ensemble contre une pandémie en faveur de l’humanité.
La Russie compte déjà un très grand nombre de morts. Le président Vladimir Poutine, qui poursuit aussi des objectifs purement politiques, soumet les médecins et infirmières Russes à une importante pression et pose une terrible question de conscience: prendre le risque du "Spoutnik V" ou attendre de voir?
Il se dit que le style répressif de direction de Poutine a poussé beaucoup de gens, et surtout de jeunes diplômés, à quitter le pays. Toutefois, certains instituts de recherche, universités et cliniques russes demeurent de premier plan. Il est déraisonnable de dénier à la Russie la capacité de développer rapidement un vaccin contre le coronavirus.
Toutefois, le Kremlin, avec la première approbation d'un vaccin contre le coronavirus, se repositionne dans la course: « nous sommes les premiers, les meilleurs, les plus forts. » Est-ce un coup de bluff russe ? Est-ce une info montée en épingle par les anti-Russes pour discréditer Poutine et son gouvernement ?
En fin de compte, ce qui importe n'est pas la critique de la Russie, mais la transparence et la coopération internationale: lutter ensemble contre une pandémie en faveur de l’humanité.
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