Le bilan officiel des attentats, qui ont visés le JW Marriott et le Ritz-Carlton, où séjournent de nombreux hommes d'affaires et diplomates, a été revu à la baisse vendredi, passant de neuf à huit morts et une soixantaine de blessés. La police semble toutefois être revenue samedi à neuf morts, kamikazes compris.
"Tous étaient des étrangers" de sexe masculin, déclare le chef de la police du secteur Est de la ville, évoquant les victimes décédées, dans les colonnes du Jakarta Post. Leur identité et leur nationalité n'ont pas été communiquées.
Le cimentier indonésien Holcim a fait savoir vendredi que son PDG Tim Mackay, de nationalité néozélandaise, figurait parmi les tués. Il assistait à un petit déjeuner de travail de CastleAsia Group dans l'un des deux hôtels. Deux Australiens seraient également du nombre, selon un journal .
Les forces de l'ordre ont fait savoir vendredi que les kamikazes avaient pris une chambre mercredi au Marriott et qu'ils y avaient assemblé leurs bombes. Un troisième engin découvert au 18e étage du Marriott a pu être désamorcé.
L'opération n'a pas été revendiquée et la police se refuse pour le moment à évoquer la moindre piste, mais tous les soupçons pèsent sur la Jemaa Islamiah, tenue responsable d'une série d'attentats commis entre 2002 et 2005.
Source: Reuters via Yahoo News
"Tous étaient des étrangers" de sexe masculin, déclare le chef de la police du secteur Est de la ville, évoquant les victimes décédées, dans les colonnes du Jakarta Post. Leur identité et leur nationalité n'ont pas été communiquées.
Le cimentier indonésien Holcim a fait savoir vendredi que son PDG Tim Mackay, de nationalité néozélandaise, figurait parmi les tués. Il assistait à un petit déjeuner de travail de CastleAsia Group dans l'un des deux hôtels. Deux Australiens seraient également du nombre, selon un journal .
Les forces de l'ordre ont fait savoir vendredi que les kamikazes avaient pris une chambre mercredi au Marriott et qu'ils y avaient assemblé leurs bombes. Un troisième engin découvert au 18e étage du Marriott a pu être désamorcé.
L'opération n'a pas été revendiquée et la police se refuse pour le moment à évoquer la moindre piste, mais tous les soupçons pèsent sur la Jemaa Islamiah, tenue responsable d'une série d'attentats commis entre 2002 et 2005.
Source: Reuters via Yahoo News
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