La garde à vue de Sarkozy, une première sous la Ve République: Du jamais vu. Jamais un président de la Ve République n'avait été placé en garde à vue. Tout d'abord, parce que de de Gaulle à Mitterrand, jamais un président n'avait été aussi impliqué que Nicolas Sarkozy dans une affaire au point d'être entendu par la justice. Ensuite, il faut reconnaître que la justice a eu beaucoup d'égard avec la fonction présidentielle. Après le départ de Jacques Chirac de l'Elysée, les policiers et les juges s'étaient eux-mêmes déplacés au domicile de l'ex-président afin de l'interroger sur les emplois fictifs à la mairie de Paris. (Tempsreel.nouvelobs.com)
Sarkozy: une garde à vue hors norme: S'il se garde bien de donner un quelconque avis sur le fond de l'affaire - les deux juges d'instructions soupçonnent les hauts magistrats d'avoir renseigné l'équipe Sarkozy sur des procédures judiciaires visant l'ancien chef de l'État -, le représentant des avocats parisiens n'en dénonce pas moins une procédure fondée sur «un maillon faible: celui d'écoutes dont la légalité est hypothétique». (LeFigaro.fr)
Garde à vue de Nicolas Sarkozy: Réactions de la classe politique: Et si certains proches tentaient de banaliser l'événement en expliquant que cette convocation était attendue et qu'elle est un «non-sujet», beaucoup de proches en critiquaient le timing. «Je suis perplexe, le calendrier judiciaire est calqué sur le calendrier politique!», a ainsi noté l'ancienne ministre UMP Nora Berra, dénonçant un «acharnement totalement disproportionné. ... L'ex-juge d'instruction Eva Joly a argumenté: «Pour moi, cela apparaît comme l'évolution normale de ce dossier, il doit y avoir des explications à obtenir de l'ancien chef de l'Etat. Je pense donc qu'il faut se réjouir du fait que nos institutions marchent». (20minutes.fr)
Sarkozy gardé à vue: à l'UMP, la théorie du complot fait des adeptes: "Je suis très surpris que quinze jours après l’évocation de son retour sur la scène politique, un nouvel épisode judiciaire surgisse", note l’élu [Sébastien Huygue]. Qui n’hésite pas à montrer du doigt "un certain nombre de magistrats qui ne sont pas indépendants". "Rappelez-vous l’affaire du Syndicat de la magistrature et du mur des cons, où Nicolas Sarkozy figurait comme une cible privilégiée", en veut-il pour preuve. Huygue ne s'embarrasse d'ailleurs pas de sous-entendus pour émettre l'hypothèse d'une machination fomentée en haut lieu : "Il a été évoqué il y a quelque temps l’existence d’un cabinet noir à l’Élysée où l’on pouvait essayer d’empêcher le retour de Nicolas Sarkozy. Je ne sais pas s'il existe mais des coïncidences sont assez troublantes". (Tempsreel.nouvelobs.com)
Sarkozy: une garde à vue hors norme: S'il se garde bien de donner un quelconque avis sur le fond de l'affaire - les deux juges d'instructions soupçonnent les hauts magistrats d'avoir renseigné l'équipe Sarkozy sur des procédures judiciaires visant l'ancien chef de l'État -, le représentant des avocats parisiens n'en dénonce pas moins une procédure fondée sur «un maillon faible: celui d'écoutes dont la légalité est hypothétique». (LeFigaro.fr)
Garde à vue de Nicolas Sarkozy: Réactions de la classe politique: Et si certains proches tentaient de banaliser l'événement en expliquant que cette convocation était attendue et qu'elle est un «non-sujet», beaucoup de proches en critiquaient le timing. «Je suis perplexe, le calendrier judiciaire est calqué sur le calendrier politique!», a ainsi noté l'ancienne ministre UMP Nora Berra, dénonçant un «acharnement totalement disproportionné. ... L'ex-juge d'instruction Eva Joly a argumenté: «Pour moi, cela apparaît comme l'évolution normale de ce dossier, il doit y avoir des explications à obtenir de l'ancien chef de l'Etat. Je pense donc qu'il faut se réjouir du fait que nos institutions marchent». (20minutes.fr)
Sarkozy gardé à vue: à l'UMP, la théorie du complot fait des adeptes: "Je suis très surpris que quinze jours après l’évocation de son retour sur la scène politique, un nouvel épisode judiciaire surgisse", note l’élu [Sébastien Huygue]. Qui n’hésite pas à montrer du doigt "un certain nombre de magistrats qui ne sont pas indépendants". "Rappelez-vous l’affaire du Syndicat de la magistrature et du mur des cons, où Nicolas Sarkozy figurait comme une cible privilégiée", en veut-il pour preuve. Huygue ne s'embarrasse d'ailleurs pas de sous-entendus pour émettre l'hypothèse d'une machination fomentée en haut lieu : "Il a été évoqué il y a quelque temps l’existence d’un cabinet noir à l’Élysée où l’on pouvait essayer d’empêcher le retour de Nicolas Sarkozy. Je ne sais pas s'il existe mais des coïncidences sont assez troublantes". (Tempsreel.nouvelobs.com)
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