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Faits Divers - Société
27/04/2023 - 12:54

Le scandale du pain moderne - Voici comment trouver du BON et VRAI PAIN


Le scandale du pain moderne

La consommation de pain en France a été divisée par sept en cent ans !
 
Bourré de gluten, de farines hybrides, de levure chimique, le pain industriel est devenu l’ennemi n°1 de la santé, le premier aliment interdit dans les régimes !! On y trouve même parfois des traces de glyphosate (Round’Up) !

Le pain moderne est accusé de provoquer des problèmes digestifs, des allergies, de l’eczéma, de rendre l’intestin poreux, d’aggraver les maladies auto-immunes, le surpoids, le diabète, la dépression.

Comment en est-on arrivé là ???
 
 Un pain qui ne va pas trouer vos intestins !
 
Autrefois, c’était le contraire.
 
Le pain était considéré comme l’aliment le plus sain, voire sacré. C’était l’aliment par excellence.
 
On le mangeait “religieusement” déjà il y a 8000 ans dans le Croissant fertile (Mésopotamie).
 
Ce pain des Hébreux, des Romains, de Charlemagne et de la paysannerie européenne jusqu’à Napoléon.
 
Ce pain qui permit aux peuples de résister à toutes les famines, les guerres, les épidémies pendant des millénaires, malgré l’absence d’antibiotiques.
 
“Trop cher de faire du bon pain” ?!
 
On nous dit que ce n’est plus possible.
 
Ce serait (soit-disant) trop cher de produire un pain fait avec des blés anciens, moulus sur une meule de pierre, avec du levain naturel et une cuisson traditionnelle...
 
Mais c'est de la propagande.
 
Si les Français se plaignent tant de leur pain, c’est qu’il y a de bonnes raisons :
 
Cela fait 40 ans qu’ils cherchent des solutions :
 
    ils se sont tournés vers le pain complet
    puis le pain bio
    puis le pain au levain
    puis le pain cuit au four à bois
    puis le pain à l’eau de source
    puis le pain à la fleur de sel
    puis le pain façonné à la main
    puis les pains sans additifs, sans enzymes, ni acide ascorbique (c’est la “baguette tradition”)
 
À chaque innovation, ils sont pleins d’espoir. Ils se disent :
 
“Enfin, un vrai bon pain qui ne torturera pas mes intestins, un pain savoureux qui me fera du bien...”
 
La réalité, c’est qu’ils sont déçus à chaque fois. Le pain révolutionnaire n’est pas aussi bénéfique qu’espéré.
 
Pourquoi ?
 
Question de blé, de levain, de fabrication :
Les blés anciens sont rares et précieux
 
Les blés anciens de Mésopotamie n’avaient que 14 chromosomes (contre 46 pour les blés hydrides modernes).
 
Ils poussaient sur des sols pauvres, rocailleux, sans glyphosate ni pesticides.
 
Surtout, ils ne supportaient pas les engrais. Ils produisaient aussi, c’est logique, dix fois moins que les blés actuels de la Beauce. Et les récoltes étaient soumises aux aléas du climat, des maladies, des rongeurs et des insectes.
 
Le blé était moissonné à la serpe, puis battu avec des fléaux en bois, enfin vanné à la main (pour séparer le grain de la bâle, c’est-à-dire l’enveloppe).
 
Le grain était moulu délicatement, sur de grandes meules de silex qui tournaient très lentement. Cela évitait d’échauffer le grain et produisait une farine grasse, pleine de nutriments (aujourd’hui, les moulins séparent les farines et suppriment le germe et le son).
 
Encore plus important, la farine fraîche était mélangée à une eau de source pure, sans chlore.
Chaque village avait son propre levain
 
Mais la plus grande différence entre le pain de l’Antiquité et le nôtre, c’est le levain.
 
Le levain n’a rien à voir avec la “levure de boulanger”, levure de bière et encore moins levure chimique :
 
il est constitué d’une flore microbienne complexe, bactéries lactiques, levures et même moisissures totalement dépendantes du lieu où il a été fait.
 
Chaque village avait son propre levain, et le goût du pain n’était pas le même d’une région à l’autre. C’est pourquoi le pain que l’on mangeait à Babylone, à Nazareth, à Rome autrefois, n’avait rien à voir !
 
Il se conservait précieusement pendant des décennies voire des siècles (on l’appelait le “levain-chef”). On le cachait dans un endroit tenu secret. On en prélevait un peu pour chaque nouveau pain. Ce levain s’offrait, on l’emportait quand un membre du village partait en voyage.
 
Certains villages étaient connus pour détenir des levains exceptionnels qui donnaient à leurs habitants santé et longévité. Est-ce un hasard si le nom de “Bethléem” signifie, en hébreu, la “Maison du Pain” (Beth = maison, Léem = pain) ?

Le levain diminue les problèmes digestifs et les intolérances
 
Car en effet, le levain transforme la farine, l’eau et le sel, en une substance vivante et nourrissante.
 
La fermentation est plus lente qu’avec la levure de boulanger : 36 heures contre 6 heures.
 
Cette fermentation réduit la teneur en gluten et en acide phytique (anti-nutriment) du pain. Elle permet donc de diminuer les problèmes digestifs et les intolérances.
 
Un bon levain donne au pain un goût acidulé délicieux, qui vient renforcer le goût brioché des farines anciennes comme le blé de khorasan, et réduit drastiquement le besoin de sel (le pain traditionnel contient 10 g de sel par kilo de farine, contre 30 g pour la baguette parisienne !!).
 
C’est ce patient travail qui permet au boulanger de faire un pain riche, nourrissant, à la mie serrée, et qui se conserve plus d’une semaine grâce à son taux d’hydratation plus élevé.
Le pain était respecté
 
Tant que ces traditions ont été respectées, le pain éveillait naturellement le respect. Le jeter à la poubelle aurait été, évidemment, un sacrilège, mais personne n’en aurait eu l’idée. S’il durcissait, on en faisait de délicieux croûtons à l’ail pour la salade, du pudding ou, bien sûr, on le trempait dans une bonne soupe de légumes du potager.
 
Quant aux morceaux de ce pain rassi, on les ajoutait dans les ragoûts car, après avoir mijoté dans la marmite, ils devenaient aussi tendres, fondants et savoureux que les meilleurs morceaux de viande.
 
Le pain était donc un aliment précieux et il coûtait au moins vingt fois le prix du pain actuel, rapporté au niveau de vie de l’époque.
 
C’est pourquoi un morceau de pain a longtemps représenté le salaire d’une journée entière de travail, d’où l’expression “gagner son pain”.
 
J’en arrive donc à la question cruciale.
 
Sommes-nous assez honnêtes, courageux, pour calculer le prix de revient effectif d’un tel pain ??

Les boulangers d’aujourd’hui ont des coûts importants pour leur installation, leur loyer, leur vitrine, les normes ;

comme toutes les professions, ils sont soumis aux trente-cinq heures, et doivent payer des charges sociales importantes ;

pour faire du pain traditionnel, ils doivent s’équiper de machines spéciales très coûteuses qui reproduisent les gestes du pétrissage à la main.
 
C’est pourquoi il n’existe quasiment plus de boulangeries comme autrefois. Qui se souvient du temps du four à pain sur la place du village, où chacun venait chercher sa miche sortant du four, en l’échange d’une brassée de bois ?!

Moins de 50 centimes de matière première dans un pain bio
 
La plupart des boulangeries actuellement sont des chaînes.
 
Elles vendent de la pâte surgelée cuite dans des fours électriques. C’est ainsi que vous obtenez une “boule bio” ou un “pain aux quatre-céréales” pour 4 ou 5 euros. Il faut savoir qu’il y a moins de 50 centimes de matière première dans de tels pains.
 
Le coût de revient d’un pain fait comme autrefois serait beaucoup plus élevé. C’est pourquoi les rares paysans-boulangers qui existent encore, et qui fabriquent leur pain comme autrefois, vivent dans des villages reculés où les loyers sont bas, et travaillent à toute petite échelle.
 
Vu le travail et le coût des matières premières, ils ne pourraient jamais payer un emplacement dans une galerie commerciale ni dans un centre-ville !!
 
C’est pourquoi 99 % de la population de France aujourd’hui (le pays du pain !) est privée de bon pain.
 
Les problèmes digestifs, les ballonnements, les intolérances, ont pris l’allure d’une pandémie.
Le vrai coût du pain authentique
 
La solution serait de convaincre des boulangers dans toute la France de faire du bon pain, en s’engageant auprès d’eux à payer le juste prix, qui s'approcherait plus de 10 euros.
 
Mais sommes-nous prêts à cela ? Sommes-nous prêts à ce sacrifice ??
 
Pour la plupart d'entre nous, c'est trop, mais il est possible de baisser le prix en s'y mettant tous ensemble pour jouer sur l'effet de masse.
 
Si vous faites partie des personnes prêtes à tout pour avoir du bon pain, je vais vous indiquer ici la solution :
 
>> Cliquez ici pour savoir où trouver du bon pain <<
 
Le pain des origines

 
"Un pain qui guérit, plutôt qu’un pain qui fait des trous dans l’intestin."
 
Les grandes surfaces, les boulangeries industrielles sont envahies de pains aux blés hybrides, cultivés au Round-Up, avec des farines trafiquées, des additifs, du gluten rajouté, qui se digèrent mal, dessèchent en quelques jours - ou même quelques heures
 
Dans les cabinets des médecins, les patients se plaignent d’intolérance au gluten, de problèmes digestifs, d’allergies ou même de maladies auto-immunes.
 
Supprimer le gluten fait partie des premiers réflexes en cas de maladies métaboliques comme le diabète, l’obésité, l’hypertension. 
 
Signe des temps, le pain qui était la base de notre alimentation depuis 30 000 ans est massivement rejeté. En France, pays du pain, la consommation de pain a été divisée par sept en cent ans. 30 000 boulangeries ont fermé depuis 40 ans. 
 
Revenir au bon pain d’autrefois, une urgence sanitaire
 
Mais c’est bien pour des raisons de santé que les Français arrêtent le pain.
 
Côté plaisir, ils continuent d’apprécier un bon pain frais avec un fromage de brebis, une tartine à la gelée de groseille (du jardin), ou tout simplement un toast grillé et bien beurré avec leur café du matin.
 
Si la plupart de ceux qui arrêtent le pain constatent des bienfaits sur leur santé, aucun ne le fait de gaieté de cœur.
 
La seule solution pour sortir des maladies causées par le pain, les blés modernes et le gluten, c’est de revenir au bon pain d’autrefois. C’est une urgence sanitaire.
 
Le pain ancestral est naturellement très pauvre en gluten
 
Les blés anciens étaient naturellement pauvres en gluten.
 
Le levain et la fermentation lente réduisaient encore la teneur en gluten.
 
La fabrication à l’eau de source, au sel de marais salants, non raffiné, le pétrissage à la main, la cuisson traditionnelle se faisaient sans le moindre additif chimique.
 
Nous avons tous les outils aujourd’hui pour revenir à ce pain ancestral, consommé par les Perses, les Égyptiens ou encore par le Christ lui-même en Palestine, il y a 2000 ans.


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Jean-Michel GRIVEAU
Auteur, rédacteur web, Informatique et Naturopathie humains et animaux , biorésonance,... En savoir plus sur cet auteur


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