Le nouveau variant du Coronavirus apparu au Royaume-Uni serait de 50 a 70% plus contagieux selon une étude mise en ligne jeudi 14 décembre et résumée par l'un de ses auteurs, Nick Davies, biologiste à la London School of Hygiene and Tropical Medicine. Sur la base des données préliminaires disponibles", ce variant est fortement soupçonné d’être à l'origine de la flambée des cas dans le sud-est de l'Angleterre. Sur les trois régions concernées, il est en moyenne 56% plus contagieux que la souche précédemment en circulation.
Cette estimation, pas encore publiée dans une revue scientifique ni indépendamment analysée, reste toutefois cohérente avec les chiffres présentés lundi par d'autres chercheurs lors d'une conférence de presse.
Ces chercheurs sont membres du groupe NERVTAG et conseillent le Gouvernement britannique sur les virus respiratoires émergents.
Le premier ministre britannique, Boris Johnson, évoquait, dès le week-end dernier, des chiffres bien supérieurs à ceux-ci. Cependant, les autorités britanniques ont transmis à l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) l'estimation d'une transmission accrue de 40 à 70%, obtenue grâce à des données préliminaires récoltées via séquençage du génome du virus prélevé à Londres et dans le Sud-Est du pays.
Ce variant, baptisé VOC 202012/01 présente 22 mutations. L'un en particulier, nomme N501Y, se situe sur la protéine Spike du Coronavirus. Elle joue un rôle important dans l'infection.
Une part de plus en plus importante des infections détectées concerne ce virus. De 25% en novembre, ce chiffre est passé à 60% début décembre. Selon Nick Davies, "si la tendance actuelle se prolonge, le nouveau variant pourrait représenter 90% des cas d'ici mi-janvier".
Cette estimation, pas encore publiée dans une revue scientifique ni indépendamment analysée, reste toutefois cohérente avec les chiffres présentés lundi par d'autres chercheurs lors d'une conférence de presse.
Ces chercheurs sont membres du groupe NERVTAG et conseillent le Gouvernement britannique sur les virus respiratoires émergents.
Le premier ministre britannique, Boris Johnson, évoquait, dès le week-end dernier, des chiffres bien supérieurs à ceux-ci. Cependant, les autorités britanniques ont transmis à l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) l'estimation d'une transmission accrue de 40 à 70%, obtenue grâce à des données préliminaires récoltées via séquençage du génome du virus prélevé à Londres et dans le Sud-Est du pays.
Ce variant, baptisé VOC 202012/01 présente 22 mutations. L'un en particulier, nomme N501Y, se situe sur la protéine Spike du Coronavirus. Elle joue un rôle important dans l'infection.
Une part de plus en plus importante des infections détectées concerne ce virus. De 25% en novembre, ce chiffre est passé à 60% début décembre. Selon Nick Davies, "si la tendance actuelle se prolonge, le nouveau variant pourrait représenter 90% des cas d'ici mi-janvier".
Apparition en France et vaccination
Un premier cas d'infection au nouveau variant du Coronavirus est apparu en France où le nombres de personnes décédées du Coronavirus atteint plus de 62.000 personnes. Ce premier cas a été repéré à Tours, en Indre-et-Loire. C'est un ressortissant français vivant à Londres et arrivé le 19 décembre, quelques heures avant que le premier ministre Boris Johnson n'annonce un nouveau confinement dans la capitale et plusieurs régions du Sud-Est.
Alors quel la nouvelle souche VOC 202012/01 est présente sur le territoire métropolitain Français, les vaccinations sont sur le point de commencer.
Le vaccin développé part l’américain Pfizer et l’allemand BioNTech a été validé lundi par l'Agence européenne du médicament, puis, par la Haute autorité de santé (HAS)
Selon l''Assistance Publique - Hôpitaux de Paris (APHP), 19.500 doses du vaccin réparties dans 3900 flacons ont été transportées dans un camion réfrigéré venant de l'usine de Pfizer à Puurs, dans le nord-est de la Belgique.
Le chef du pôle pharmacie hospitalière des Hôpitaux de Paris, Franck Huet se réjouit: «C'est historique, il s'agit des toute premières doses».
Deux établissements procéderont aux premières vaccinations en France. Elles se feront dimanche 27 décembre. L’hôpital René-Muret de Sevran, en Seine-Saint-Denis, possède déjà ses trois flacons. Le centre gériatrique de Champmaillot, du CHU de Dijon, devrait recevoir six flacons dans la matinée.
Ces établissements indiquent que tout était en place pour les premières vaccinations.
Alors quel la nouvelle souche VOC 202012/01 est présente sur le territoire métropolitain Français, les vaccinations sont sur le point de commencer.
Le vaccin développé part l’américain Pfizer et l’allemand BioNTech a été validé lundi par l'Agence européenne du médicament, puis, par la Haute autorité de santé (HAS)
Selon l''Assistance Publique - Hôpitaux de Paris (APHP), 19.500 doses du vaccin réparties dans 3900 flacons ont été transportées dans un camion réfrigéré venant de l'usine de Pfizer à Puurs, dans le nord-est de la Belgique.
Le chef du pôle pharmacie hospitalière des Hôpitaux de Paris, Franck Huet se réjouit: «C'est historique, il s'agit des toute premières doses».
Deux établissements procéderont aux premières vaccinations en France. Elles se feront dimanche 27 décembre. L’hôpital René-Muret de Sevran, en Seine-Saint-Denis, possède déjà ses trois flacons. Le centre gériatrique de Champmaillot, du CHU de Dijon, devrait recevoir six flacons dans la matinée.
Ces établissements indiquent que tout était en place pour les premières vaccinations.
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