Le Monument de la Renaissance africaine est érigée sur l’une des collines appelées Mamelles situées à Ouakam, un quartier dakarois sis au bord de l’Atlantique. A terme, ce monument abritera un musée et une salle audiovisuelle, a dit l’architecte chargé de sa conception, Pierre Goudiaby Atépa.
La construction du Monument de la Renaissance africaine est assurée par des ouvriers coréens. La construction du Monument de la Renaissance africaine «n’a pas coûté d’argent» au gouvernement du Sénégal, mais il a seulement fallu procéder à des échanges contre des terres de l’Etat, a affirmé samedi à Dakar le Président de la République, Me Abdoulaye Wade.
«Ce monument n’a pas coûté d’argent à l’Etat, mais des terres. (…) Des terrains ont été échangés contre le monument…», a précisé le chef de l’Etat, après avoir visité le site sur lequel l’ouvrage est en train d’être construit par des ouvriers coréens. «Les droits de propriété (de l’ouvrage) m’appartiennent et les terres à l’Etat (…). J’en suis le propriétaire intellectuel» a ajouté le chef de l’Etat, après s’être dit «très ému de la philosophie générale du monument qui, déjà, existe».
Toutefois, le Président Wade n’a donné aucune précision relative au coût du monument. Il n’a pas, non plus, donné de détail sur la valeur et la superficie des terres en question. Le monument de la Renaissance africaine, qui représente un couple et son enfant, «est un investissement, au-delà de sa beauté, des centaines de milliers de touristes viendront de partout pour (le) visiter. Il y a toute une industrie qui va se greffer autour du monument, qui va générer beaucoup d’argent», a-t-il affirmé.
Mieux que la Statue de la Liberté (Etats-Unis) qui «génère des milliards de dollars», le Monument de la Renaissance africaine «va générer beaucoup d’argent», a dit le Président Wade, ajoutant : «Je suis l’auteur du monument. 35% des retombées financières m’appartiendront, et 65% à l’Etat». Il a dit que les dividendes qu’il tirera personnellement de cette infrastructure serviront à construire des écoles pour les enfants.
«J’ai décidé que toutes les recettes seront destinées à la construction de cases des tout-petits, pas seulement au Sénégal, mais dans toute l’Afrique, parce que ce monument n’est pas celui du Sénégal, mais de l’Afrique. Pas un seul franc ne sera destiné à autre chose. Mes droits, je les destine à la case des tout-petits», a assuré le chef de l’Etat.
Il a confirmé sa déclaration faite récemment en conseil des ministres, à savoir que la construction du monument sera achevée en décembre prochain. Ainsi, l’inauguration de l’infrastructure se fera en grande pompe et aura «la plus grande ampleur possible», a affirmé M. Wade, ajoutant que des manifestations seront organisées à cet effet au Sénégal et seront présidées par le Président du Brésil, Lula Da Silva. «C’est lui (Lula Da Silva) qui va lancer l’inauguration du Monument de la Renaissance africaine, en présence d’autres chefs d’Etat africains».
A ces manifestations, «je vais inviter tous les chefs d’Etat africains, les artistes, les peintres, les écrivains, tous les acteurs culturels», a-t-il encore dit. Le chef de l’Etat était accompagné de son épouse, Viviane Wade, du président du Sénat, Pape Diop, et du ministre de la Culture et de la Francophonie, Serigne Mamadou Bousso Lèye. Ont aussi assisté à cette visite, son conseiller en architecture, Pierre Goudiaby Atépa et la représentante de la société française pilotant la construction de l’ouvrage, Eliane Dia.
Source: Rewmi
La construction du Monument de la Renaissance africaine est assurée par des ouvriers coréens. La construction du Monument de la Renaissance africaine «n’a pas coûté d’argent» au gouvernement du Sénégal, mais il a seulement fallu procéder à des échanges contre des terres de l’Etat, a affirmé samedi à Dakar le Président de la République, Me Abdoulaye Wade.
«Ce monument n’a pas coûté d’argent à l’Etat, mais des terres. (…) Des terrains ont été échangés contre le monument…», a précisé le chef de l’Etat, après avoir visité le site sur lequel l’ouvrage est en train d’être construit par des ouvriers coréens. «Les droits de propriété (de l’ouvrage) m’appartiennent et les terres à l’Etat (…). J’en suis le propriétaire intellectuel» a ajouté le chef de l’Etat, après s’être dit «très ému de la philosophie générale du monument qui, déjà, existe».
Toutefois, le Président Wade n’a donné aucune précision relative au coût du monument. Il n’a pas, non plus, donné de détail sur la valeur et la superficie des terres en question. Le monument de la Renaissance africaine, qui représente un couple et son enfant, «est un investissement, au-delà de sa beauté, des centaines de milliers de touristes viendront de partout pour (le) visiter. Il y a toute une industrie qui va se greffer autour du monument, qui va générer beaucoup d’argent», a-t-il affirmé.
Mieux que la Statue de la Liberté (Etats-Unis) qui «génère des milliards de dollars», le Monument de la Renaissance africaine «va générer beaucoup d’argent», a dit le Président Wade, ajoutant : «Je suis l’auteur du monument. 35% des retombées financières m’appartiendront, et 65% à l’Etat». Il a dit que les dividendes qu’il tirera personnellement de cette infrastructure serviront à construire des écoles pour les enfants.
«J’ai décidé que toutes les recettes seront destinées à la construction de cases des tout-petits, pas seulement au Sénégal, mais dans toute l’Afrique, parce que ce monument n’est pas celui du Sénégal, mais de l’Afrique. Pas un seul franc ne sera destiné à autre chose. Mes droits, je les destine à la case des tout-petits», a assuré le chef de l’Etat.
Il a confirmé sa déclaration faite récemment en conseil des ministres, à savoir que la construction du monument sera achevée en décembre prochain. Ainsi, l’inauguration de l’infrastructure se fera en grande pompe et aura «la plus grande ampleur possible», a affirmé M. Wade, ajoutant que des manifestations seront organisées à cet effet au Sénégal et seront présidées par le Président du Brésil, Lula Da Silva. «C’est lui (Lula Da Silva) qui va lancer l’inauguration du Monument de la Renaissance africaine, en présence d’autres chefs d’Etat africains».
A ces manifestations, «je vais inviter tous les chefs d’Etat africains, les artistes, les peintres, les écrivains, tous les acteurs culturels», a-t-il encore dit. Le chef de l’Etat était accompagné de son épouse, Viviane Wade, du président du Sénat, Pape Diop, et du ministre de la Culture et de la Francophonie, Serigne Mamadou Bousso Lèye. Ont aussi assisté à cette visite, son conseiller en architecture, Pierre Goudiaby Atépa et la représentante de la société française pilotant la construction de l’ouvrage, Eliane Dia.
Source: Rewmi
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