Thalys bloqué: Les passagers du train ont pu repartir, ils seront remboursés
Le train Thalys reliant Amsterdam à Paris avec 480 passagers à son bord a pu repartir en début d'après-midi après avoir été stoppé en pleine voie ce lundi matin, entre deux communes de la Somme, après une panne de la rame motrice, ont indiqué la SNCF et des pompiers, provoquant des perturbations sur le trafic. «La motrice de tête a eu un problème matériel (...), il y a eu un dégagement de fumée», a indiqué une porte-parole de la SNCF, selon laquelle le train a été stoppé entre Combles et Chaulnes, dans la Somme. «Les dégâts sont minimes mais nous avons été obligés d'interrompre la circulation sur les voies 1 et 2», a-t-elle ajouté. Les pompiers sont arrivés sur place vers 10h30. Quelque 44 sapeurs-pompiers se sont rendus sur les lieux pour mettre fin à un «dégagement de fumée», selon un porte-parole des pompiers.(20minutes.fr) Il y a donc eu un feu à bord d'une locomotive mais personne ne veut nous le dire. Parce que beaucoup de gens auraient pu mourir.
Michel, prof de philo, 56 heures de travail par semaine
«Tout enseignant qui voudra travailler 26 heures de présence dans l'établissement au lieu de 18 heures de cours, aura en contrepartie une augmentation de son traitement de 25%, soit près de 500 euros net par mois.» Avec cette déclaration lancée à Montpellier mardi 28 février, le candidat Sarkozy a réveillé le vieux démon des enseignants: la glandouille. Cette indécrottable réputation qui colle aux livres des profs, du primaire au lycée. Michel Dias, 51 ans, professeur de philosophie à Aubusson (Creuse), n'échappe pas à la règle. Las, et un peu agacé aussi, il a contacté la rédaction de 20 Minutes pour nous livrer sa «vérité sur le temps de travail d'un professeur de lycée». «C'est mépriser le travail des enseignants que de prétendre qu'il leur reste aujourd'hui du temps à consacrer à d'autres taches que celles qui leur incombent déjà». Se défend-il. Démonstration.(20minutes.fr) Cette hausse du temps de travail n'est-elle pas due à la suppression des postes d'enseignants? Pourquoi vouloir supprimer des postes de formateurs des générations futures?
«On n'est pas gestionnaires de lits, on est là pour faire de l'urgence!»
Le service des urgences de l'hôpital Pompidou est plutôt calme ce lundi matin. Malgré la grève de son personnel, qui demande plus de lits pour les malades en attente de soins, les urgentistes ne semblent pas encore débordés. Quelques brancards sont stationnés dans les couloirs, quatre, pas plus pour le moment. Une vieille dame attend, la main dans celle d'un proche, une poche de perfusion attachée à son brancard. Un peu plus loin, dans le couloir, un jeune homme, bassine dans les mains, ne semble pas dans son meilleur état. Mais les malades n'affluent pas encore à l'accueil, et la salle d'attente est presque vide. "C'est encore calme parce que les c'était les vacances scolaires jusqu'à hier. Mais ça ne va pas durer, les parisiens sont revenus", explique Dimitri Boibessot, infirmier aux urgences, pansement avec inscrit en gros "grève" collé sur sa blouse verte.(liberation.fr) Mais si le service n'est pas débordé, pourquoi y a-t-il déjà des patients dans les couloirs? Si même en période creuse la situation demeure critique, c'est que cette grève est légitime, je ne peux donc que la soutenir.
Source: Yahoo actualités
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Le train Thalys reliant Amsterdam à Paris avec 480 passagers à son bord a pu repartir en début d'après-midi après avoir été stoppé en pleine voie ce lundi matin, entre deux communes de la Somme, après une panne de la rame motrice, ont indiqué la SNCF et des pompiers, provoquant des perturbations sur le trafic. «La motrice de tête a eu un problème matériel (...), il y a eu un dégagement de fumée», a indiqué une porte-parole de la SNCF, selon laquelle le train a été stoppé entre Combles et Chaulnes, dans la Somme. «Les dégâts sont minimes mais nous avons été obligés d'interrompre la circulation sur les voies 1 et 2», a-t-elle ajouté. Les pompiers sont arrivés sur place vers 10h30. Quelque 44 sapeurs-pompiers se sont rendus sur les lieux pour mettre fin à un «dégagement de fumée», selon un porte-parole des pompiers.(20minutes.fr) Il y a donc eu un feu à bord d'une locomotive mais personne ne veut nous le dire. Parce que beaucoup de gens auraient pu mourir.
Michel, prof de philo, 56 heures de travail par semaine
«Tout enseignant qui voudra travailler 26 heures de présence dans l'établissement au lieu de 18 heures de cours, aura en contrepartie une augmentation de son traitement de 25%, soit près de 500 euros net par mois.» Avec cette déclaration lancée à Montpellier mardi 28 février, le candidat Sarkozy a réveillé le vieux démon des enseignants: la glandouille. Cette indécrottable réputation qui colle aux livres des profs, du primaire au lycée. Michel Dias, 51 ans, professeur de philosophie à Aubusson (Creuse), n'échappe pas à la règle. Las, et un peu agacé aussi, il a contacté la rédaction de 20 Minutes pour nous livrer sa «vérité sur le temps de travail d'un professeur de lycée». «C'est mépriser le travail des enseignants que de prétendre qu'il leur reste aujourd'hui du temps à consacrer à d'autres taches que celles qui leur incombent déjà». Se défend-il. Démonstration.(20minutes.fr) Cette hausse du temps de travail n'est-elle pas due à la suppression des postes d'enseignants? Pourquoi vouloir supprimer des postes de formateurs des générations futures?
«On n'est pas gestionnaires de lits, on est là pour faire de l'urgence!»
Le service des urgences de l'hôpital Pompidou est plutôt calme ce lundi matin. Malgré la grève de son personnel, qui demande plus de lits pour les malades en attente de soins, les urgentistes ne semblent pas encore débordés. Quelques brancards sont stationnés dans les couloirs, quatre, pas plus pour le moment. Une vieille dame attend, la main dans celle d'un proche, une poche de perfusion attachée à son brancard. Un peu plus loin, dans le couloir, un jeune homme, bassine dans les mains, ne semble pas dans son meilleur état. Mais les malades n'affluent pas encore à l'accueil, et la salle d'attente est presque vide. "C'est encore calme parce que les c'était les vacances scolaires jusqu'à hier. Mais ça ne va pas durer, les parisiens sont revenus", explique Dimitri Boibessot, infirmier aux urgences, pansement avec inscrit en gros "grève" collé sur sa blouse verte.(liberation.fr) Mais si le service n'est pas débordé, pourquoi y a-t-il déjà des patients dans les couloirs? Si même en période creuse la situation demeure critique, c'est que cette grève est légitime, je ne peux donc que la soutenir.
Source: Yahoo actualités
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