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Cameron campait sur son refus avant la désignation de Juncker: David Cameron a campé vendredi sur son opposition à Jean-Claude Juncker lors du Conseil européen de Bruxelles, où l'ancien Premier ministre luxembourgeois doit être désigné comme candidat à la présidence de la Commission européenne. "C'est un mauvais principe et c'est la mauvaise personne. Jean-Claude Juncker est au coeur du projet, a accru le pouvoir de Bruxelles et réduit le pouvoir des Etats nations tout au long de sa vie politique", a dit David Cameron à la presse. (Reuters.fr)
Les déclarations des dirigeants de l'UE: Les dirigeants de l'UE ont discuté de l'avenir de l'UE et de ses priorités. Ils ont convenu d'un programme stratégique qui se concentre sur cinq grands objectifs et les moyens de les atteindre: des économies plus fortes avec plus d'emplois, des sociétés qui responsabilisent et de protégent tous les citoyens, la sécurité énergétique et la question du climat, la défense des libertés fondamentales , une action conjointe efficace dans le monde. Les dirigeants ont réitéré leur engagement envers les réformes et l'assainissement budgétaire, mais aussi leur volonté de réaliser les investissements nécessaires pour l'avenir. (European-council.europa.eu)
Le grand marchandage: La « cornérisation » du Premier ministre britannique pourrait précipiter un référendum britannique sur une sortie de l'Union européenne, jugent certains. La crispation des conservateurs britanniques pourrait paradoxalement favoriser la nomination de la sociale-démocrate Helle Thorning-Schmidt à la tête du Conseil européen. Les Britanniques voient dans la Première ministre danoise, épouse du fils d'un ancien Premier ministre britannique, un moyen de faire contrepoids au fédéralisme de Jean-Claude Juncker. (Letelegramme.fr)
Le rôle charnière de la présidence italienne: La présidence italienne, qui interviendra le 1er juillet et qui s'est donné comme mot d'ordre « la finance pour la croissance » devra, en s'appuyant sur une nouvelle Commission, jouer un rôle-charnière dans l'évolution indispensable de la politique européenne, laquelle ne peut pas se limiter à une réforme des critères de Maastricht relatifs à l'endettement et aux déficits publics, et à ce qu'ils incorporent les investissements, comme le demande la France, ou non. L'Europe dans son ensemble, se remet beaucoup plus difficilement de la crise de 2007-2008 que les autres régions du monde et peine à retrouver un sentier de croissance suffisant pour résorber le chômage massif qui sévit partout. (Latribune.fr)
Les déclarations des dirigeants de l'UE: Les dirigeants de l'UE ont discuté de l'avenir de l'UE et de ses priorités. Ils ont convenu d'un programme stratégique qui se concentre sur cinq grands objectifs et les moyens de les atteindre: des économies plus fortes avec plus d'emplois, des sociétés qui responsabilisent et de protégent tous les citoyens, la sécurité énergétique et la question du climat, la défense des libertés fondamentales , une action conjointe efficace dans le monde. Les dirigeants ont réitéré leur engagement envers les réformes et l'assainissement budgétaire, mais aussi leur volonté de réaliser les investissements nécessaires pour l'avenir. (European-council.europa.eu)
Le grand marchandage: La « cornérisation » du Premier ministre britannique pourrait précipiter un référendum britannique sur une sortie de l'Union européenne, jugent certains. La crispation des conservateurs britanniques pourrait paradoxalement favoriser la nomination de la sociale-démocrate Helle Thorning-Schmidt à la tête du Conseil européen. Les Britanniques voient dans la Première ministre danoise, épouse du fils d'un ancien Premier ministre britannique, un moyen de faire contrepoids au fédéralisme de Jean-Claude Juncker. (Letelegramme.fr)
Le rôle charnière de la présidence italienne: La présidence italienne, qui interviendra le 1er juillet et qui s'est donné comme mot d'ordre « la finance pour la croissance » devra, en s'appuyant sur une nouvelle Commission, jouer un rôle-charnière dans l'évolution indispensable de la politique européenne, laquelle ne peut pas se limiter à une réforme des critères de Maastricht relatifs à l'endettement et aux déficits publics, et à ce qu'ils incorporent les investissements, comme le demande la France, ou non. L'Europe dans son ensemble, se remet beaucoup plus difficilement de la crise de 2007-2008 que les autres régions du monde et peine à retrouver un sentier de croissance suffisant pour résorber le chômage massif qui sévit partout. (Latribune.fr)
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