Si l'archipel de l'Atlantique nord n'est pas le Brésil, il n'en reste pas moins que les Français doivent impérativement s'imposer mercredi à Torshavn au risque de voir s'éloigner leur rêve de disputer l'an prochain la Coupe du monde en Afrique du Sud.
Deuxièmes de leur groupe avec huit points de moins que la Serbie et deux matches de plus à disputer, les Bleus n'ont plus le droit à l'erreur s'ils veulent éviter une place de barragiste, voire une élimination pure et simple.
"Tout ce qui est en dehors d'une victoire est une catastrophe", a résumé le sélectionneur avant de lancer à ses troupes un appel solennel : "Soyez dignes de vous-mêmes, dignes du maillot de l'équipe de France".
Pour avoir vu souvent ses joueurs trébucher sur des obstacles guère effrayants, Raymond Domenech situe parfaitement l'enjeu de la rencontre.
"Si les onze qui débutent sur le terrain jouent à leur valeur, on sait qu'on gagnera", a-t-il déclaré dans sa chronique publiée sur le site de la Fédération française de football avant d'ajouter : "Si on les prend à la légère, ces matches-là sont compliqués."
Il reste cinq matches aux Bleus pour se qualifier et notamment un choc face à la Serbie, à Belgrade le 9 septembre prochain, qui s'annonce capital. Pour être certaine de terminer en tête de son groupe, la France doit tous les gagner.
"Comme on joue la première place du groupe, les données sont claires", a énoncé clairement Florent Malouda. "Il faut gagner tous nos matches. Chaque match conditionne le suivant."
Si ces joueurs des Féroé, qui n'ont pris qu'un point et marqué qu'un but en cinq matches dans ce groupe 7, ne sont pas des foudres de guerre, ils ont rarement pris l'eau.
Ils se recroquevilleront en défense et, dans ces conditions, soigner la différence de buts pourrait s'avérer problématique. Raymond Domenech, qui n'a pas abordé ce chapitre, réclamant simplement une victoire, le sait bien.
"Ils vont tous être regroupés derrière", a prévenu Jérémy Toulalan. "Si on ne marque pas très vite, ça va être compliqué. On n'est jamais à l'abri d'un coup de pied arrêté. Ils perdent beaucoup de matches, c'est sûr, mais ils ne prennent pas beaucoup de buts. Il ne faudra pas se marcher dessus."
Raymond Domenech a dû composer, pour ce match à la fois abordable et redoutable, avec les déboires habituels comme le forfait de Thierry Henry, blessé aux tendons d'Achille, ou l'absence de Patrick Vieira, en méforme.
Franck Ribéry, lui, sera bien là mais ne devrait entrer en jeu que si les circonstances l'exigent.
Autre souci, les joueurs sont à des niveaux de préparation différents selon les championnats dans lesquels ils évoluent.
Tout de même, la mission semble possible, en espérant que les cieux permettent un voyage tranquille, pas comme en 2007, lorsque l'avion des Bleus avait été secoué et avait dû se poser ailleurs.
L'avion, Loïc Rémy, qui pourrait avoir sa chance en attaque en l'absence de Thierry Henry, en a peur.
"J'espère que ça va bouger le moins possible", a-t-il dit. "Sinon, il y a des risques que je crie."
Source: Reuters via Yahoo News
Deuxièmes de leur groupe avec huit points de moins que la Serbie et deux matches de plus à disputer, les Bleus n'ont plus le droit à l'erreur s'ils veulent éviter une place de barragiste, voire une élimination pure et simple.
"Tout ce qui est en dehors d'une victoire est une catastrophe", a résumé le sélectionneur avant de lancer à ses troupes un appel solennel : "Soyez dignes de vous-mêmes, dignes du maillot de l'équipe de France".
Pour avoir vu souvent ses joueurs trébucher sur des obstacles guère effrayants, Raymond Domenech situe parfaitement l'enjeu de la rencontre.
"Si les onze qui débutent sur le terrain jouent à leur valeur, on sait qu'on gagnera", a-t-il déclaré dans sa chronique publiée sur le site de la Fédération française de football avant d'ajouter : "Si on les prend à la légère, ces matches-là sont compliqués."
Il reste cinq matches aux Bleus pour se qualifier et notamment un choc face à la Serbie, à Belgrade le 9 septembre prochain, qui s'annonce capital. Pour être certaine de terminer en tête de son groupe, la France doit tous les gagner.
"Comme on joue la première place du groupe, les données sont claires", a énoncé clairement Florent Malouda. "Il faut gagner tous nos matches. Chaque match conditionne le suivant."
Si ces joueurs des Féroé, qui n'ont pris qu'un point et marqué qu'un but en cinq matches dans ce groupe 7, ne sont pas des foudres de guerre, ils ont rarement pris l'eau.
Ils se recroquevilleront en défense et, dans ces conditions, soigner la différence de buts pourrait s'avérer problématique. Raymond Domenech, qui n'a pas abordé ce chapitre, réclamant simplement une victoire, le sait bien.
"Ils vont tous être regroupés derrière", a prévenu Jérémy Toulalan. "Si on ne marque pas très vite, ça va être compliqué. On n'est jamais à l'abri d'un coup de pied arrêté. Ils perdent beaucoup de matches, c'est sûr, mais ils ne prennent pas beaucoup de buts. Il ne faudra pas se marcher dessus."
Raymond Domenech a dû composer, pour ce match à la fois abordable et redoutable, avec les déboires habituels comme le forfait de Thierry Henry, blessé aux tendons d'Achille, ou l'absence de Patrick Vieira, en méforme.
Franck Ribéry, lui, sera bien là mais ne devrait entrer en jeu que si les circonstances l'exigent.
Autre souci, les joueurs sont à des niveaux de préparation différents selon les championnats dans lesquels ils évoluent.
Tout de même, la mission semble possible, en espérant que les cieux permettent un voyage tranquille, pas comme en 2007, lorsque l'avion des Bleus avait été secoué et avait dû se poser ailleurs.
L'avion, Loïc Rémy, qui pourrait avoir sa chance en attaque en l'absence de Thierry Henry, en a peur.
"J'espère que ça va bouger le moins possible", a-t-il dit. "Sinon, il y a des risques que je crie."
Source: Reuters via Yahoo News
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