Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier de retour jeudi à Paris
Les journalistes français de France 3 Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier, détenus en otages depuis dix-huit mois en Afghanistan, ont été libérés mercredi, ont annoncé les autorités françaises.
Leur interprète, Reza Din, a également été remis en liberté, déclare la présidence française dans un communiqué qui ne donne aucune précision sur les conditions de cette libération, notamment sur le versement éventuel d'une rançon aux ravisseurs.
Les deux journalistes, qui ont pu rejoindre la base militaire française de Tagab, devaient être acheminés par hélicoptère vers l'ambassade de France à Kaboul.
Ils sont attendus jeudi matin à l'aéroport de Villacoublay, près de Paris, selon France 3. Nicolas Sarkozy sera sur place pour les accueillir, précise la chaîne. (www.fr.reuters.com)
Libération des otages: «Joie et immense soulagement» pour Juppé
"La libération d'Hervé Ghesquière, Stéphane Taponier et de leur interprète Reza Din est une très grande joie et un immense soulagement", a dit le ministre dans une déclaration.
"Mes premières pensées vont vers nos deux compatriotes qui viennent de traverser une très longue épreuve", a-t-il affirmé.
"Enlevés en Afghanistan le 30 décembre 2009, c'est précisément un an et demi qu'ils viennent de passer en détention. Pendant tout ce temps nous n'avons jamais cessé d'agir pour obtenir leur libération", a ajouté le chef de la diplomatie française. (www.liberation.fr)
Frédéric Mitterand: «Un immense soulagement»
La libération d'Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier est un "immense soulagement", a indiqué Frédéric Mitterrand, ministre de la Culture et de la Communication.
"Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier nous rappellent à chacun que le droit à la liberté d’expression et d’information n’est pas un principe abstrait, mais une réalité que défendent quotidiennement tous les journalistes professionnels", écrit M. Mitterrand dans un communiqué. (www.liberation.fr)
Quel contact avec les ravisseurs?
Les agents de la Direction générale de sécurité extérieure (DGSE), en charge du dossier, obtenaient des nouvelles des deux otages, au moins indirectement et par intermittence. Au printemps dernier, ils ont ainsi appris que l'un d'eux avait été malade et avait pu voir un médecin local.
A plusieurs reprises, grâce à des renseignements recueillis auprès des habitants et par des moyens techniques, les services français ont parfois eu connaissance de leur lieu de détention. Mais celui-ci a changé à plusieurs reprises. Les deux reporters n'auraient pas non passé toute leur captivité ensemble, ils auraient été séparés à un moment avant d'être réunis en octobre dernier.
Leurs ravisseurs n'ont pas non plus toujours été les mêmes: les deux journalistes ont été aux mains d'au moins deux groupes successifs de talibans locaux. Ils étaient actuellement détenus par des hommes de Qari Baryal, le chef taliban de la région, soupçonné d'être impliqué dans l'embuscade d'août 2008 qui a coûté la vie à dix soldats français, indique un commandant taliban à Paris Match. (www.lexpress.fr)
Bravo mais cela aurait été encore mieux si ces deux personnes n'avaient pas en toute connaissance de cause pris des risques, mettant leur vie et celles des militaires en danger.
Source: Yahoo News
Les journalistes français de France 3 Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier, détenus en otages depuis dix-huit mois en Afghanistan, ont été libérés mercredi, ont annoncé les autorités françaises.
Leur interprète, Reza Din, a également été remis en liberté, déclare la présidence française dans un communiqué qui ne donne aucune précision sur les conditions de cette libération, notamment sur le versement éventuel d'une rançon aux ravisseurs.
Les deux journalistes, qui ont pu rejoindre la base militaire française de Tagab, devaient être acheminés par hélicoptère vers l'ambassade de France à Kaboul.
Ils sont attendus jeudi matin à l'aéroport de Villacoublay, près de Paris, selon France 3. Nicolas Sarkozy sera sur place pour les accueillir, précise la chaîne. (www.fr.reuters.com)
Libération des otages: «Joie et immense soulagement» pour Juppé
"La libération d'Hervé Ghesquière, Stéphane Taponier et de leur interprète Reza Din est une très grande joie et un immense soulagement", a dit le ministre dans une déclaration.
"Mes premières pensées vont vers nos deux compatriotes qui viennent de traverser une très longue épreuve", a-t-il affirmé.
"Enlevés en Afghanistan le 30 décembre 2009, c'est précisément un an et demi qu'ils viennent de passer en détention. Pendant tout ce temps nous n'avons jamais cessé d'agir pour obtenir leur libération", a ajouté le chef de la diplomatie française. (www.liberation.fr)
Frédéric Mitterand: «Un immense soulagement»
La libération d'Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier est un "immense soulagement", a indiqué Frédéric Mitterrand, ministre de la Culture et de la Communication.
"Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier nous rappellent à chacun que le droit à la liberté d’expression et d’information n’est pas un principe abstrait, mais une réalité que défendent quotidiennement tous les journalistes professionnels", écrit M. Mitterrand dans un communiqué. (www.liberation.fr)
Quel contact avec les ravisseurs?
Les agents de la Direction générale de sécurité extérieure (DGSE), en charge du dossier, obtenaient des nouvelles des deux otages, au moins indirectement et par intermittence. Au printemps dernier, ils ont ainsi appris que l'un d'eux avait été malade et avait pu voir un médecin local.
A plusieurs reprises, grâce à des renseignements recueillis auprès des habitants et par des moyens techniques, les services français ont parfois eu connaissance de leur lieu de détention. Mais celui-ci a changé à plusieurs reprises. Les deux reporters n'auraient pas non passé toute leur captivité ensemble, ils auraient été séparés à un moment avant d'être réunis en octobre dernier.
Leurs ravisseurs n'ont pas non plus toujours été les mêmes: les deux journalistes ont été aux mains d'au moins deux groupes successifs de talibans locaux. Ils étaient actuellement détenus par des hommes de Qari Baryal, le chef taliban de la région, soupçonné d'être impliqué dans l'embuscade d'août 2008 qui a coûté la vie à dix soldats français, indique un commandant taliban à Paris Match. (www.lexpress.fr)
Bravo mais cela aurait été encore mieux si ces deux personnes n'avaient pas en toute connaissance de cause pris des risques, mettant leur vie et celles des militaires en danger.
Source: Yahoo News
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