Bachar el-Assad : «On ne tue pas notre peuple»
Dans une interview à la chaîne américaine ABC, le président syrien revendique le soutien de la population mais reconnaît que des erreurs ont été commises de la part «de certains responsables» lors des violences qui ont fait plus de 4000 morts depuis le 15 mars. «Il n'y a pas eu d'ordre demandant de tuer ou d'être violent.» Pour la première fois depuis le début de la contestation populaire qui secoue la Syrie , Bachar el-Assad s'est exprimé devant les caméras d' ABC, dans une interview diffusée ce mercredi. D'après les premiers extraits livrés par la chaîne américaine, le président syrien nie être responsable ou même coupable des violences qui ont fait au moins 4000 morts depuis mars. Tout au long de l'interview menée par Barbara Walters, le président el-Assad nie avoir ordonné une répression sanglante contre les manifestants qui demandent sa démission. À la question «ne pensez-vous pas que vos forces sont allées trop loin dans la répression ?», le Syrien se dédouane en expliquant qu'il ne s'agit pas de «ses forces», ce qui n'est pas sans rappeler la défense de son ancien homologue libyen Mouammar Kadhafi, en son temps : «Je suis président. Je ne suis pas propriétaire du pays. Ce ne sont pas mes forces.» Interrogé sur les ordres qu'il aurait donnés, el-Assad préfère répondre de manière détournée : «On ne tue pas sa population... Aucun gouvernement dans le monde ne tue son propre peuple, à moins d'être mené par un fou.»(lefigaro.fr) Donc, le Président syrien ne mérite plus son poste puisqu'il ne peut plus empêcher son propre peuple de taper sur son armée et vice-versa. Ou peut-être est-ce une magouille étrangère?
Washington veut défendre les droits des homosexuels à l'étranger
Barack Obama et Hillary Clinton entendent mettre la discrimination contre les homosexuels au coeur de la diplomatie américaine. Ils ne vont pas aussi loin que le Premier ministre britannique David Cameron, qui avait menacé d'exclure des programmes d'aide les pays coupables de discrimination envers les gays. Le président Barack Obama a appelé à mettre la discrimination contre les homosexuels au coeur de la diplomatie américaine. Barack Obama a déjà pris plusieurs mesures en faveur des droits des homosexuels, électorat traditionnel des démocrates, dont l'adoption de la loi abolissant le tabou gay dans l'armée américaine. Il ne s'est en revanche pas prononcé en faveur du mariage homosexuel, indiquant seulement que sa position sur la question était "en train d'évoluer".(l'express.fr) Qu'un Etat ait un comportement différent envers les Hétéros-sexuelles et les Gays est déjà en soi un acte discriminant.
Le nouveau gouvernement égyptien a prêté serment
Le maréchal Tantaoui, qui préside le Conseil suprême des forces armées (CSFA) au pouvoir en Egypte, a fait prêter serment mercredi à un nouveau gouvernement qui, selon lui, aura plus de pouvoir que le précédent. Le maréchal Hussein Tantaoui a promis de transférer une partie des pouvoirs exécutifs du CSFA au Premier ministre Kamal el-Ganzouri, âgé de 78 ans. Ce dernier avait servi comme chef de gouvernement dans les années 90, pendant la présidence d'Hosni Moubarak. Les militaires n'ont pas précisé quels nouveaux pouvoirs aurait le nouveau gouvernement, mais ils ont fait savoir qu'ils continueraient à contrôler la Justice et les forces armées.(ap.org) Un Gouvernement qui prête serment sans savoir ce qu'il a à faire n'a pas vraiment prêté serment.
Source: Yahoo actualités
Dans une interview à la chaîne américaine ABC, le président syrien revendique le soutien de la population mais reconnaît que des erreurs ont été commises de la part «de certains responsables» lors des violences qui ont fait plus de 4000 morts depuis le 15 mars. «Il n'y a pas eu d'ordre demandant de tuer ou d'être violent.» Pour la première fois depuis le début de la contestation populaire qui secoue la Syrie , Bachar el-Assad s'est exprimé devant les caméras d' ABC, dans une interview diffusée ce mercredi. D'après les premiers extraits livrés par la chaîne américaine, le président syrien nie être responsable ou même coupable des violences qui ont fait au moins 4000 morts depuis mars. Tout au long de l'interview menée par Barbara Walters, le président el-Assad nie avoir ordonné une répression sanglante contre les manifestants qui demandent sa démission. À la question «ne pensez-vous pas que vos forces sont allées trop loin dans la répression ?», le Syrien se dédouane en expliquant qu'il ne s'agit pas de «ses forces», ce qui n'est pas sans rappeler la défense de son ancien homologue libyen Mouammar Kadhafi, en son temps : «Je suis président. Je ne suis pas propriétaire du pays. Ce ne sont pas mes forces.» Interrogé sur les ordres qu'il aurait donnés, el-Assad préfère répondre de manière détournée : «On ne tue pas sa population... Aucun gouvernement dans le monde ne tue son propre peuple, à moins d'être mené par un fou.»(lefigaro.fr) Donc, le Président syrien ne mérite plus son poste puisqu'il ne peut plus empêcher son propre peuple de taper sur son armée et vice-versa. Ou peut-être est-ce une magouille étrangère?
Washington veut défendre les droits des homosexuels à l'étranger
Barack Obama et Hillary Clinton entendent mettre la discrimination contre les homosexuels au coeur de la diplomatie américaine. Ils ne vont pas aussi loin que le Premier ministre britannique David Cameron, qui avait menacé d'exclure des programmes d'aide les pays coupables de discrimination envers les gays. Le président Barack Obama a appelé à mettre la discrimination contre les homosexuels au coeur de la diplomatie américaine. Barack Obama a déjà pris plusieurs mesures en faveur des droits des homosexuels, électorat traditionnel des démocrates, dont l'adoption de la loi abolissant le tabou gay dans l'armée américaine. Il ne s'est en revanche pas prononcé en faveur du mariage homosexuel, indiquant seulement que sa position sur la question était "en train d'évoluer".(l'express.fr) Qu'un Etat ait un comportement différent envers les Hétéros-sexuelles et les Gays est déjà en soi un acte discriminant.
Le nouveau gouvernement égyptien a prêté serment
Le maréchal Tantaoui, qui préside le Conseil suprême des forces armées (CSFA) au pouvoir en Egypte, a fait prêter serment mercredi à un nouveau gouvernement qui, selon lui, aura plus de pouvoir que le précédent. Le maréchal Hussein Tantaoui a promis de transférer une partie des pouvoirs exécutifs du CSFA au Premier ministre Kamal el-Ganzouri, âgé de 78 ans. Ce dernier avait servi comme chef de gouvernement dans les années 90, pendant la présidence d'Hosni Moubarak. Les militaires n'ont pas précisé quels nouveaux pouvoirs aurait le nouveau gouvernement, mais ils ont fait savoir qu'ils continueraient à contrôler la Justice et les forces armées.(ap.org) Un Gouvernement qui prête serment sans savoir ce qu'il a à faire n'a pas vraiment prêté serment.
Source: Yahoo actualités
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