Roméo Langlois est bien entre les mains des Farc, selon Bogota
Le président colombien Juan Manuel Santos a fait état lundi d'"indices très clairs" selon lesquels le journaliste français Roméo Langlois est bien entre les mains des rebelles des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc). Correspondant de la chaîne d'information France 24 en Colombie, Roméo Langlois a été fait prisonnier par les rebelles lors d'un affrontement samedi entre l'armée et les Farc. "Nous disposons d'indices très clairs selon lesquels le journaliste français est détenu par les Farc", a dit Juan Manuel Santos. "Les Farc ont promis il y a quelques semaines au pays qu'ils cesseraient leurs enlèvements: nous avons accueilli cette annonce avec satisfaction, nous avons dit que nous appréciions ce geste, qu'il s'agissait d'un geste en direction de la paix", a poursuivi le président colombien. "Nous demandons aux Farc de le libérer le plus vite possible." A Paris, le ministère français des Affaires étrangères a déclaré que la France tenait les Farc "pour responsables de la situation de (Roméo) Langlois".(fr.reuters.com) Vue le temps qu'il va passer là-bas, il pourra même écrire une saga sur ce qu'il a vue dans la jungle.
La Cédéao menace de recourir à la force en Guinée-Bissau
La Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao) a imposé lundi des sanctions à la Guinée-Bissau et menace de recourir à la force après l'échec de négociations avec les putschistes du 12 avril, qui refusent de céder le pouvoir. "Il s'agit de sanctions ciblées contre les dirigeants de la junte et de sanctions diplomatiques, économiques et financières contre le pays", a dit un responsable de la Cédéao. "Elles sont entrées en vigueur à minuit, la nuit dernière." Un communiqué diffusé par l'organisation ouest-africaine souligne que les chefs d'Etat de la Cédéao se réuniront jeudi prochain, le 3 mai, pour "envisager tous les autres moyens nécessaires, y compris l'usage de la force" contre la junte si elle continue à s'accrocher au pouvoir. Le détail des sanctions n'a pas été rendu public mais ces mesures devraient accentuer la pression sur la junte, qui a déjà retardé le versement des traitements des fonctionnaires.(fr.reuters.com) Si c'est une révolution uniquement militaire, mieux vaut s'en débarrasser au plus vite.
Nouveau procès à Guantanamo du "cerveau" présumé du 11-Septembre
Khaled Cheikh Mohammed, accusé d'avoir orchestré les attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis, et quatre autres suspects détenus à Guantanamo comparaîtront de nouveau samedi devant un tribunal militaire d'exception sur la base navale américaine dans l'est de Cuba. Accusés d'avoir planifié et exécuté les attentats du 11-Septembre, poursuivis notamment pour terrorisme, attentats contre des civils, meurtres en violation des lois de la guerre et complot, ils sont passibles de la peine de mort, une exception dans le code de la justice militaire américaine. Leur comparution devant une nouvelle juridiction est la conséquence de la réforme des tribunaux spéciaux de Guantanamo devant lesquels leur premier procès s'était engagé sous l'administration Bush. Khaled Cheikh Mohammed et ses quatre co-accusés avaient alors déclaré, fin 2008, qu'ils étaient prêts à plaider coupables et à reconnaître leurs responsabilités.(fr.reuters.com) Ces gens n'ont pas peur de mourir, puisqu'ils savent qu'ils mourront dans un camp comme dans l'autre.
Source: Yahoo actualités
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Le président colombien Juan Manuel Santos a fait état lundi d'"indices très clairs" selon lesquels le journaliste français Roméo Langlois est bien entre les mains des rebelles des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc). Correspondant de la chaîne d'information France 24 en Colombie, Roméo Langlois a été fait prisonnier par les rebelles lors d'un affrontement samedi entre l'armée et les Farc. "Nous disposons d'indices très clairs selon lesquels le journaliste français est détenu par les Farc", a dit Juan Manuel Santos. "Les Farc ont promis il y a quelques semaines au pays qu'ils cesseraient leurs enlèvements: nous avons accueilli cette annonce avec satisfaction, nous avons dit que nous appréciions ce geste, qu'il s'agissait d'un geste en direction de la paix", a poursuivi le président colombien. "Nous demandons aux Farc de le libérer le plus vite possible." A Paris, le ministère français des Affaires étrangères a déclaré que la France tenait les Farc "pour responsables de la situation de (Roméo) Langlois".(fr.reuters.com) Vue le temps qu'il va passer là-bas, il pourra même écrire une saga sur ce qu'il a vue dans la jungle.
La Cédéao menace de recourir à la force en Guinée-Bissau
La Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao) a imposé lundi des sanctions à la Guinée-Bissau et menace de recourir à la force après l'échec de négociations avec les putschistes du 12 avril, qui refusent de céder le pouvoir. "Il s'agit de sanctions ciblées contre les dirigeants de la junte et de sanctions diplomatiques, économiques et financières contre le pays", a dit un responsable de la Cédéao. "Elles sont entrées en vigueur à minuit, la nuit dernière." Un communiqué diffusé par l'organisation ouest-africaine souligne que les chefs d'Etat de la Cédéao se réuniront jeudi prochain, le 3 mai, pour "envisager tous les autres moyens nécessaires, y compris l'usage de la force" contre la junte si elle continue à s'accrocher au pouvoir. Le détail des sanctions n'a pas été rendu public mais ces mesures devraient accentuer la pression sur la junte, qui a déjà retardé le versement des traitements des fonctionnaires.(fr.reuters.com) Si c'est une révolution uniquement militaire, mieux vaut s'en débarrasser au plus vite.
Nouveau procès à Guantanamo du "cerveau" présumé du 11-Septembre
Khaled Cheikh Mohammed, accusé d'avoir orchestré les attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis, et quatre autres suspects détenus à Guantanamo comparaîtront de nouveau samedi devant un tribunal militaire d'exception sur la base navale américaine dans l'est de Cuba. Accusés d'avoir planifié et exécuté les attentats du 11-Septembre, poursuivis notamment pour terrorisme, attentats contre des civils, meurtres en violation des lois de la guerre et complot, ils sont passibles de la peine de mort, une exception dans le code de la justice militaire américaine. Leur comparution devant une nouvelle juridiction est la conséquence de la réforme des tribunaux spéciaux de Guantanamo devant lesquels leur premier procès s'était engagé sous l'administration Bush. Khaled Cheikh Mohammed et ses quatre co-accusés avaient alors déclaré, fin 2008, qu'ils étaient prêts à plaider coupables et à reconnaître leurs responsabilités.(fr.reuters.com) Ces gens n'ont pas peur de mourir, puisqu'ils savent qu'ils mourront dans un camp comme dans l'autre.
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