Lors de sa conférence de presse de rentrée lundi matin à Paris, le ministre a notamment confirmé pour cette année scolaire 2009-2010 la généralisation du baccalauréat professionnel en trois ans, contre quatre années précédemment (deux ans de BEP et deux ans pour la préparation du bac).
Il a également annoncé que les grandes lignes de la réforme du lycée -remise totalement à plat après les manifestations lycéennes de la fin de l'année 2008- seraient présentées d'ici la fin du mois de septembre pour une mise en œuvre "à la rentrée 2010".
"J'ai pris le temps de l'écoute. L'écoute, l'échange, pour moi ce n'est pas une posture", a déclaré le ministre. "Mais soyons clairs", a-t-il ajouté. "Ecouter ce n'est pas renoncer à ses convictions, ce n'est pas renoncer à l'action. Je ne serai pas le ministre du statu quo".
"Je l'ai dit dès ma prise de fonction, je maintiendrais le cap des réformes voulues par le président de la République", a-t-il prévenu.
Quant aux suppressions de postes dénoncées par les syndicats - 13.500 en 2009, 16.000 annoncées pour 2010-, Luc Chatel a rappelé que Nicolas Sarkozy avait annoncé avant son élection qu'il prévoyait de ne remplacer qu'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite.
En matière de formation des maîtres, M. Chatel a confirmé la mise en oeuvre progressive du recrutement des personnels au niveau master -réforme dont les modalités sont elles aussi contestées par les syndicats et, dans le primaire, un nouveau plan national de formation des enseignants des maternelles.
Par ailleurs, un "pôle école maternelle" est créé dans chaque département. Dans ce cadre, 100 inspecteurs de l'Education nationale ont été recrutés spécifiquement pour "accompagner les enseignants des écoles maternelles dans leur travail et leur apporter la formation nécessaire", selon le ministère.
Enfin, le ministère entend renforcer l'évaluation des acquis de chaque élèves en fin de maternelle et introduit pour cela dans les livrets scolaires "un bilan des acquis en fin de grande section".
Source: Associated Presse via Yahoo News
Il a également annoncé que les grandes lignes de la réforme du lycée -remise totalement à plat après les manifestations lycéennes de la fin de l'année 2008- seraient présentées d'ici la fin du mois de septembre pour une mise en œuvre "à la rentrée 2010".
"J'ai pris le temps de l'écoute. L'écoute, l'échange, pour moi ce n'est pas une posture", a déclaré le ministre. "Mais soyons clairs", a-t-il ajouté. "Ecouter ce n'est pas renoncer à ses convictions, ce n'est pas renoncer à l'action. Je ne serai pas le ministre du statu quo".
"Je l'ai dit dès ma prise de fonction, je maintiendrais le cap des réformes voulues par le président de la République", a-t-il prévenu.
Quant aux suppressions de postes dénoncées par les syndicats - 13.500 en 2009, 16.000 annoncées pour 2010-, Luc Chatel a rappelé que Nicolas Sarkozy avait annoncé avant son élection qu'il prévoyait de ne remplacer qu'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite.
En matière de formation des maîtres, M. Chatel a confirmé la mise en oeuvre progressive du recrutement des personnels au niveau master -réforme dont les modalités sont elles aussi contestées par les syndicats et, dans le primaire, un nouveau plan national de formation des enseignants des maternelles.
Par ailleurs, un "pôle école maternelle" est créé dans chaque département. Dans ce cadre, 100 inspecteurs de l'Education nationale ont été recrutés spécifiquement pour "accompagner les enseignants des écoles maternelles dans leur travail et leur apporter la formation nécessaire", selon le ministère.
Enfin, le ministère entend renforcer l'évaluation des acquis de chaque élèves en fin de maternelle et introduit pour cela dans les livrets scolaires "un bilan des acquis en fin de grande section".
Source: Associated Presse via Yahoo News
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