La recherche de Gmail étendue à Google Docs
C'est une fonction qui devrait rendre service à bon nombre d'utilisateurs de Gmail. Google étend la fonction de recherche de son Webmail aux documents stockés sur Google Docs. Le moteur ne se contente plus de scanner vos e-mails et leurs pièces jointes, il va aussi éplucher vos fichiers textes, vos feuilles de calcul, vos présentations. Plus besoin de passer d'un service à l'autre pour effectuer la recherche. Les résultats d'une requête sont classés en fonction de leur origine : Gmail ou Google Docs. Google suggère également d'autres mots clés figurant dans les occurrences. Classique, mais toujours aussi pratique en cas de faute de frappe. La recherche au cœur des documents prend naturellement un peu plus de temps. Mais les résultats liés au contenu des e-mails s'affichent eux, en premier, sans plus de délai. Ce nouveau service fait pour l'instant partie des Gmail Labs, un espace qui réunit des fonctions en cours de test auprès des utilisateurs.(01.net)
Données Wi-Fi : Google convoqué chez une juge en Espagne
L'association espagnole pour la défense des droits des internautes APEDANICA (Asociación para la Prevención y Estudios de Delitos, Abusos y Negligencias en Informática y Comunicaciones Avanzadas) a déposé plainte le mois dernier contre Google dans l'affaire de collecte des données Wi-Fi non sécurisées. Ce lundi, la juge Raquel Fernandino a donné suite, et convoqué dans son bureau le représentant légal de Google en Espagne, dans le cadre d'une enquête policière. APEDANICA a publié un communiqué (en espagnol) de 8 pages expliquant les raisons de sa plainte, repris en français et résumé par l'AFP.La juge veut en particulier que la police trouve des éléments sur « les instruments utilisés pour la collecte des données », et sur le stockage de ces informations. APEDANICA indique, en ce basant sur des rapports de la presse et de l'ONG Privacy International que « le programme utilisé par les voitures de Street View, qui apparemment ne prenaient que des photos depuis la rue pour illustrer les cartes, enregistrait en fait le contenu qui circulait à travers les réseaux WiFi et le stockait ». Or, rien qu'à Madrid, « plusieurs centaines de milliers d'utilisateurs accèdent tous les jours à des réseaux Wi-Fi ouverts pour leurs communications personnelles et professionnelles, par lesquels de grands volumes de données de tous types peuvent être capturés ». Il convient donc que la justice espagnole vérifie elle-même les types de données collectées, leur utilisation, leur légalité et l'avenir qu'il faut leur réserver.(pcimpact)
Facebook passe à la géolocalisation
C'était dans l'air depuis des mois, c'est désormais officiel: Facebook se lance dans la géolocalisation. Mise en place durant la nuit de mercredi à jeudi sur l'application iPhone du réseau social, la fonctionnalité appelée «Lieux» permet d'indiquer à ses contacts sa position géographique, à la manière de services comme FourSquare. Sur le blog officiel de Facebook, le responsable du projet détaille le fonctionnement du service. Disponible pour l'instant uniquement aux États-Unis sur iPhone et sur la version «web mobile» du site, «Lieux» permet de se signaler à un emplacement répertorié et de voir les autres membres du réseau également présents. À la manière de ce qui est possible avec les photos, un système de «tag» de ses amis est disponible, afin d'indiquer leur présence à ses côtés. Le plus grand réseau social au monde marche ainsi sur les plates-bandes de services plus confidentiels, comme FourSquare, Gowalla ou encore Booyah. Si les deux derniers ont déjà annoncé vouloir intégrer leurs applications à Facebook, le premier (qui dominait jusqu'alors ce marché) est plus frileux. Son président, Dennis Crowley, s'en explique: «Si Facebook pense que la localisation est une bonne idée, c'est que nous sommes sur un bon filon.» Et de préciser les différences de philosophie entre les deux services: pour lui, FourSquare consiste à faire découvrir de nouveaux lieux quand il ne s'agit «qu'une fonction de plus» pour Facebook. La start-up préfère donc «s'amuser un peu avec "Lieux" pendant une ou deux semaines» avant de rentrer ou non dans le rang. Reste que la géolocalisation est un sujet sensible par essence, comme l'avaient montré les auteurs du site PleaseRobMe.com. Facebook, qui suscite régulièrement la controverse sur les questions de confidentialité, s'aventure donc en terrain miné.(slate)
Source: Yahoo Actualités
C'est une fonction qui devrait rendre service à bon nombre d'utilisateurs de Gmail. Google étend la fonction de recherche de son Webmail aux documents stockés sur Google Docs. Le moteur ne se contente plus de scanner vos e-mails et leurs pièces jointes, il va aussi éplucher vos fichiers textes, vos feuilles de calcul, vos présentations. Plus besoin de passer d'un service à l'autre pour effectuer la recherche. Les résultats d'une requête sont classés en fonction de leur origine : Gmail ou Google Docs. Google suggère également d'autres mots clés figurant dans les occurrences. Classique, mais toujours aussi pratique en cas de faute de frappe. La recherche au cœur des documents prend naturellement un peu plus de temps. Mais les résultats liés au contenu des e-mails s'affichent eux, en premier, sans plus de délai. Ce nouveau service fait pour l'instant partie des Gmail Labs, un espace qui réunit des fonctions en cours de test auprès des utilisateurs.(01.net)
Données Wi-Fi : Google convoqué chez une juge en Espagne
L'association espagnole pour la défense des droits des internautes APEDANICA (Asociación para la Prevención y Estudios de Delitos, Abusos y Negligencias en Informática y Comunicaciones Avanzadas) a déposé plainte le mois dernier contre Google dans l'affaire de collecte des données Wi-Fi non sécurisées. Ce lundi, la juge Raquel Fernandino a donné suite, et convoqué dans son bureau le représentant légal de Google en Espagne, dans le cadre d'une enquête policière. APEDANICA a publié un communiqué (en espagnol) de 8 pages expliquant les raisons de sa plainte, repris en français et résumé par l'AFP.La juge veut en particulier que la police trouve des éléments sur « les instruments utilisés pour la collecte des données », et sur le stockage de ces informations. APEDANICA indique, en ce basant sur des rapports de la presse et de l'ONG Privacy International que « le programme utilisé par les voitures de Street View, qui apparemment ne prenaient que des photos depuis la rue pour illustrer les cartes, enregistrait en fait le contenu qui circulait à travers les réseaux WiFi et le stockait ». Or, rien qu'à Madrid, « plusieurs centaines de milliers d'utilisateurs accèdent tous les jours à des réseaux Wi-Fi ouverts pour leurs communications personnelles et professionnelles, par lesquels de grands volumes de données de tous types peuvent être capturés ». Il convient donc que la justice espagnole vérifie elle-même les types de données collectées, leur utilisation, leur légalité et l'avenir qu'il faut leur réserver.(pcimpact)
Facebook passe à la géolocalisation
C'était dans l'air depuis des mois, c'est désormais officiel: Facebook se lance dans la géolocalisation. Mise en place durant la nuit de mercredi à jeudi sur l'application iPhone du réseau social, la fonctionnalité appelée «Lieux» permet d'indiquer à ses contacts sa position géographique, à la manière de services comme FourSquare. Sur le blog officiel de Facebook, le responsable du projet détaille le fonctionnement du service. Disponible pour l'instant uniquement aux États-Unis sur iPhone et sur la version «web mobile» du site, «Lieux» permet de se signaler à un emplacement répertorié et de voir les autres membres du réseau également présents. À la manière de ce qui est possible avec les photos, un système de «tag» de ses amis est disponible, afin d'indiquer leur présence à ses côtés. Le plus grand réseau social au monde marche ainsi sur les plates-bandes de services plus confidentiels, comme FourSquare, Gowalla ou encore Booyah. Si les deux derniers ont déjà annoncé vouloir intégrer leurs applications à Facebook, le premier (qui dominait jusqu'alors ce marché) est plus frileux. Son président, Dennis Crowley, s'en explique: «Si Facebook pense que la localisation est une bonne idée, c'est que nous sommes sur un bon filon.» Et de préciser les différences de philosophie entre les deux services: pour lui, FourSquare consiste à faire découvrir de nouveaux lieux quand il ne s'agit «qu'une fonction de plus» pour Facebook. La start-up préfère donc «s'amuser un peu avec "Lieux" pendant une ou deux semaines» avant de rentrer ou non dans le rang. Reste que la géolocalisation est un sujet sensible par essence, comme l'avaient montré les auteurs du site PleaseRobMe.com. Facebook, qui suscite régulièrement la controverse sur les questions de confidentialité, s'aventure donc en terrain miné.(slate)
Source: Yahoo Actualités