Au Mali, le scénario «le pire qui soit»
Cité en exemple sur le continent africain comme l’exemple même du démocrate, le président Amadou Toumani Touré a raté sa sortie. A un mois et quelques de la fin de son second mandat consécutif à la tête du Mali, il a été déposé la nuit dernière par un groupe de putschistes inconnus au bataillon. Depuis la mi-janvier, le chef de l’Etat, surnommé «ATT», devait faire face à l’offensive de rebelles touaregs qui ont infligé de sérieux revers à son armée. Se plaignant de manquer de moyens pour écraser les insurgés, les militaires ne cachaient pas leur colère depuis des semaines contre le président malien. Mais, d’après des sources bien informées, ATT «était dans le déni». «Hier soir, il affirmait encore à ses interlocuteurs que la situation allait s’apaiser, selon ses propres termes.» La confusion la plus totale règne sur son sort. Ses proches affirment qu’il serait en «lieu sûr». D’après une source fiable, le président déchu ne serait pas détenu par les putschistes, mais sous la protection des Américains, sans doute à l’ambassade à Bamako. Il semble en tout cas avoir perdu la main, et plusieurs de ses ministres, dont celui des Affaires étrangères, sont aux arrêts.(libération.fr) Le président n'a pas l'air d'avoir opposé grande résistance.
Syrie: "la cohésion entre les communautés résiste encore
Les divisions de l'opposition syrienne menacent-elles la cohésion de la résistance au régime de Bachar el-Assad; Comment expliquer la recrudescence récente des attentats à Damas? le point de vue de Salam Kawakibi, directeur de l'Arab reform initiative. Salam Kawakibi, chercheur en sciences politiques et relations internationales, est directeur de l'Arab Reform Initiative, un réseau d'instituts de recherche arabes indépendants. La Syrie peut-elle d'évoluer vers une situation de guerre communautaire? La société syrienne n'est pas divisée, malgré des décennies d'instrumentalisation de la question religieuse, à tous les niveaux, par le pouvoir politique. Malgré les efforts cyniques du régime pour créer des fissures au sein du tissu social syrien, la cohésion résiste encore. La contestation n'a rien de religieux. Les différentes communautés sont présentes dans l'opposition et participent activement aux travail des coordinations locales. Il est déplorable cependant de constater que certain diplomates ou observateurs occidentaux tombent, en parlant de risque de guerre communautaire, si facilement dans le piège tendu par les autorités ou une partie du système sécuritaire.(l'express.fr) Comprenons les occidentaux, ils ne regardent pas la situation syrienne avec le même œil que le monde orientale, ils n’y voient donc pas les mêmes choses.
Le Mexique refuse la libération de Florence Cassez
Espoir déçu pour Florence Cassez, emprisonnée depuis plus de six ans à Mexico pour enlèvements. Mercredi 21 mars, la Cour suprême du Mexique a rejeté la proposition de libération de la Française, renvoyant la sentence à une nouvelle étude de son dossier. Elle devra rester derrière les barreaux en attendant un prochain verdict de la plus haute instance judiciaire du Mexique. 'Cette décision n'est pas celle que nous souhaitions, a réagi l'avocat mexicain de la trentenaire, Agustin Acosta. Mais elle reste positive puisque quatre des cinq juges ont reconnu les violations graves dans la procédure pénale.' Lors d'une séance publique, les magistrats de la première chambre de la Cour suprême ne sont pas parvenus à un accord sur le projet de 'libération immédiate', émis par le juge rapporteur de son cas, Arturo Zaldivar.(lemonde.fr) Les magistrats ne voient pas l'affaire de la même façon que les journalistes. C'est en ça que le journalisme est intéressant, il propose un regard décalé sur notre monde.
Source: Yahoo actualités
Référencement Internet et création de sites Web ici
Cité en exemple sur le continent africain comme l’exemple même du démocrate, le président Amadou Toumani Touré a raté sa sortie. A un mois et quelques de la fin de son second mandat consécutif à la tête du Mali, il a été déposé la nuit dernière par un groupe de putschistes inconnus au bataillon. Depuis la mi-janvier, le chef de l’Etat, surnommé «ATT», devait faire face à l’offensive de rebelles touaregs qui ont infligé de sérieux revers à son armée. Se plaignant de manquer de moyens pour écraser les insurgés, les militaires ne cachaient pas leur colère depuis des semaines contre le président malien. Mais, d’après des sources bien informées, ATT «était dans le déni». «Hier soir, il affirmait encore à ses interlocuteurs que la situation allait s’apaiser, selon ses propres termes.» La confusion la plus totale règne sur son sort. Ses proches affirment qu’il serait en «lieu sûr». D’après une source fiable, le président déchu ne serait pas détenu par les putschistes, mais sous la protection des Américains, sans doute à l’ambassade à Bamako. Il semble en tout cas avoir perdu la main, et plusieurs de ses ministres, dont celui des Affaires étrangères, sont aux arrêts.(libération.fr) Le président n'a pas l'air d'avoir opposé grande résistance.
Syrie: "la cohésion entre les communautés résiste encore
Les divisions de l'opposition syrienne menacent-elles la cohésion de la résistance au régime de Bachar el-Assad; Comment expliquer la recrudescence récente des attentats à Damas? le point de vue de Salam Kawakibi, directeur de l'Arab reform initiative. Salam Kawakibi, chercheur en sciences politiques et relations internationales, est directeur de l'Arab Reform Initiative, un réseau d'instituts de recherche arabes indépendants. La Syrie peut-elle d'évoluer vers une situation de guerre communautaire? La société syrienne n'est pas divisée, malgré des décennies d'instrumentalisation de la question religieuse, à tous les niveaux, par le pouvoir politique. Malgré les efforts cyniques du régime pour créer des fissures au sein du tissu social syrien, la cohésion résiste encore. La contestation n'a rien de religieux. Les différentes communautés sont présentes dans l'opposition et participent activement aux travail des coordinations locales. Il est déplorable cependant de constater que certain diplomates ou observateurs occidentaux tombent, en parlant de risque de guerre communautaire, si facilement dans le piège tendu par les autorités ou une partie du système sécuritaire.(l'express.fr) Comprenons les occidentaux, ils ne regardent pas la situation syrienne avec le même œil que le monde orientale, ils n’y voient donc pas les mêmes choses.
Le Mexique refuse la libération de Florence Cassez
Espoir déçu pour Florence Cassez, emprisonnée depuis plus de six ans à Mexico pour enlèvements. Mercredi 21 mars, la Cour suprême du Mexique a rejeté la proposition de libération de la Française, renvoyant la sentence à une nouvelle étude de son dossier. Elle devra rester derrière les barreaux en attendant un prochain verdict de la plus haute instance judiciaire du Mexique. 'Cette décision n'est pas celle que nous souhaitions, a réagi l'avocat mexicain de la trentenaire, Agustin Acosta. Mais elle reste positive puisque quatre des cinq juges ont reconnu les violations graves dans la procédure pénale.' Lors d'une séance publique, les magistrats de la première chambre de la Cour suprême ne sont pas parvenus à un accord sur le projet de 'libération immédiate', émis par le juge rapporteur de son cas, Arturo Zaldivar.(lemonde.fr) Les magistrats ne voient pas l'affaire de la même façon que les journalistes. C'est en ça que le journalisme est intéressant, il propose un regard décalé sur notre monde.
Source: Yahoo actualités
Référencement Internet et création de sites Web ici
À lire également :
-
La Géorgie s'enflamme : le rêve européen attise les tensions
-
Donald Trump voit ses options en Ukraine
-
Restructuration massive chez Nissan : enjeux et perspectives
-
L'élection présidentielle américaine de 2024 : enjeux politiques et dynamiques entre Trump et Harris
-
Gérard Depardieu : L'Ombre du Scandale - Accusations et Procès