Violences et Appels à l'Action
Les combats ont déjà fait plusieurs victimes, dont au moins deux civils tués et 23 autres blessés, selon les autorités séparatistes arméniennes. Cependant, Bakou, la capitale de l'Azerbaïdjan, affirme cibler uniquement des installations militaires, rejetant les allégations d'attaques contre des civils. La diplomatie arménienne a rapidement qualifié ces événements de "d'agression à grande échelle", accusant l'Azerbaïdjan de poursuivre un objectif de "nettoyage ethnique" dans la région. Elle a également appelé la Russie, garante d'un cessez-le-feu datant de 2020 avec des forces de paix déployées sur le terrain, à intervenir pour stopper l'offensive azerbaïdjanaise.
Le Premier ministre arménien, Nikol Pachinian, a sollicité l'aide de ses alliés traditionnels, notamment la Russie et l'ONU, pour faire face à cette crise. Erevan a déclaré ne pas avoir de troupes stationnées au Karabagh, laissant ainsi entendre que les forces séparatistes étaient seules dans leur lutte contre l'armée azerbaïdjanaise. De son côté, le ministère de la Défense azerbaïdjanais a justifié le lancement de ces opérations en invoquant des "opérations antiterroristes" visant à neutraliser les positions des forces armées arméniennes, en réponse à la mort de six Azerbaïdjanais dans l'explosion de mines sur un chantier routier.
Le Premier ministre arménien, Nikol Pachinian, a sollicité l'aide de ses alliés traditionnels, notamment la Russie et l'ONU, pour faire face à cette crise. Erevan a déclaré ne pas avoir de troupes stationnées au Karabagh, laissant ainsi entendre que les forces séparatistes étaient seules dans leur lutte contre l'armée azerbaïdjanaise. De son côté, le ministère de la Défense azerbaïdjanais a justifié le lancement de ces opérations en invoquant des "opérations antiterroristes" visant à neutraliser les positions des forces armées arméniennes, en réponse à la mort de six Azerbaïdjanais dans l'explosion de mines sur un chantier routier.
Appels à un "coup d'État" en Arménie
La diplomatie azerbaïdjanaise a prévenu que la seule voie vers la paix et la stabilité dans la région résidait dans le retrait inconditionnel et total des forces arméniennes du territoire contesté et la dissolution du prétendu régime séparatiste. Le ministère de la Défense arménien a, quant à lui, affirmé que l'Arménie ne disposait pas de forces armées déployées au Haut-Karabagh, suggérant ainsi que ses alliés séparatistes étaient seuls face à l'armée adverse.
Nettoyage ethnique et Appels à l'Intervention internationale
Les événements au Haut-Karabagh ont suscité une vive préoccupation sur la scène internationale. La diplomatie arménienne a condamné l'opération azerbaïdjanaise en la qualifiant d'agression à grande échelle et de tentative de nettoyage ethnique. Elle a également exhorté la Russie, garante d'un cessez-le-feu instauré en 2020 et disposant de forces de paix sur le terrain, à prendre des mesures pour mettre fin à l'offensive azerbaïdjanaise. Le Kremlin a exprimé sa préoccupation face à cette escalade brutale de la situation et a souligné l'importance de convaincre Erevan et Bakou de s'engager dans des négociations afin d'éviter davantage de pertes humaines.
La France Dénonce l'Opération
La France a également réagi fermement à la situation en cours. La ministre des Affaires étrangères, Catherine Colonna, a qualifié l'opération militaire d'illégale, injustifiable et inacceptable. Elle a souligné que la France tenait l'Azerbaïdjan pour responsable du sort des Arméniens du Haut-Karabagh. La ministre a annoncé que la France était en contact avec ses partenaires européens, les États-Unis, l'Arménie et l'Azerbaïdjan, et a appelé à la convocation urgente d'une réunion du Conseil de sécurité des Nations unies. Catherine Colonna a insisté sur la gravité de la situation et a exprimé sa volonté de poursuivre les échanges avec les ministres des Affaires étrangères de l'Arménie et de l'Azerbaïdjan ainsi que d'autres partenaires internationaux pour tenter de trouver une solution à cette crise.
La situation au Haut-Karabagh demeure préoccupante alors que l'Azerbaïdjan et l'Arménie s'engagent dans une nouvelle confrontation armée. Les appels à l'intervention internationale se multiplient, tandis que les deux parties s'accusent mutuellement de violence et d'agression. Il est impératif que les acteurs internationaux intensifient leurs efforts pour ramener la paix dans cette région déchirée par des décennies de conflits. La communauté internationale doit s'unir pour empêcher une escalade majeure de cette crise et trouver une solution pacifique pour le Haut-Karabagh.
La situation au Haut-Karabagh demeure préoccupante alors que l'Azerbaïdjan et l'Arménie s'engagent dans une nouvelle confrontation armée. Les appels à l'intervention internationale se multiplient, tandis que les deux parties s'accusent mutuellement de violence et d'agression. Il est impératif que les acteurs internationaux intensifient leurs efforts pour ramener la paix dans cette région déchirée par des décennies de conflits. La communauté internationale doit s'unir pour empêcher une escalade majeure de cette crise et trouver une solution pacifique pour le Haut-Karabagh.
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